Des questions sur Micarna? Notre service de presse se tient volontiers à la disposition des journalistes.
Demande de contactService de presse
Pour tout renseignement, le service de presse de Migros se tient volontiers à la disposition des journalistes intéressés. Migros poursuit une politique de communication active et transparente. En plus de répondre aux questions des professionnels des médias, nous mettons une banque d’images à leur disposition.
Le service de presse de Migros est compétent pour toutes le groupe Migros. Sur le principe, des demandes d’interviews et des reportages sont également possibles. Toutefois, pour des questions de sécurité, d’hygiène et de production, les visites, films, enregistrements vidéo et audio ou des prises de rendez-vous aux délais très courts ne sont pas possibles à tout moment et pour tous les sites. Le service de presse de Migros examine chaque demande individuellement.
Sur cette page, vous trouverez nos récents communiqués de presse, du matériel graphique et les informations de contact du service de presse de notre groupe.
2022

Chaque trois ans les apprentis de Micarna ont un camp alliant activités sportives, culturelles ainsi que la conduite d’un projet. Ceci leur permet de développer des compétences de collaboration, de respect des délais, d’esprit d’équipe ou encore de créativité.
Le thème et le projet de cette semaine était le développement durable. Ils ont eu un moment à disposition tous les jours du camp pour réaliser une présentation sur l'un des 17 ODD (Objectifs de Développement Durable). Les ODD sont les objectifs qui doivent être atteint par tous les états membres de l'ONU d'ici 2030. Ceux-ci touchent également Micarna et la vie quotidienne de tout le monde.
Le sujet du "Nose-to-Tail" a également été abordé avec eux sous forme de présentation, de débat et de dégustation.
Les résultats des projets ont pleinement satisfait les attentes des organisateurs.

Allier un maximum de plaisir à une bonne conscience, telle est depuis toujours l'ambition de Micarna. En matière de bien-être animal et de durabilité, le Swiss Black Angus est un projet phare qui offre la possibilité d'introduire l'élevage allaitant dans notre assortiment.
De la viande de bœuf IP-Suisse labellisée «Swiss Black Angus» sera prochainement disponible dans certains magasins des coopératives Migros Aar, Zurich et Bâle. À long terme, la FCM prévoit d’étendre le label à l’ensemble des magasins Migros. Un excellent programme pour le bien-être animal et le développement durable!
✓ Race robuste et viande aromatique
✓ Les veaux restent avec leur mère au moins les huit premiers mois
✓ Liberté de mouvement au pâturage ou dans la cour d’exercice
✓ Étables avec aire de couchage sur de la paille et beaucoup d’espace
✓ Alimentation naturelle, uniquement de l'herbe et du foin, pas de soja
✓ Production en Suisse → distances de transport courtes
Collaboration avec la FCM et les Coopératives
Le projet Swiss Black Angus est le fruit d'une collaboration entre la FCM, les Coopératives Migros Aare, Zurich et Bâle ainsi que Micarna et Lucarna. L'objectif de tous les participants est d'établir ce thème à valeur ajoutée dans toute la Suisse en ce qui concerne le bien-être des animaux et la durabilité. Avec ce thème, nous associons un maximum de plaisir à une bonne conscience. De plus, nous avons la chance d'établir l'élevage allaitant dans notre assortiment et d'enthousiasmer ainsi nos clients.
Selon les normes IP-SUISSE
Micarna collabore avec plusieurs exploitations agricoles suisses qui produisent pour le programme Swiss Black Angus. Les agriculteurs qui élèvent du Swiss Black Angus selon les normes IP-SUISSE s'engagent pleinement pour une production proche de la nature. Ils convertissent toute leur ferme à la biodiversité. Ils créent sciemment des espaces de vie pour la faune et la flore locales, afin de favoriser la diversité des espèces et l'interaction entre l'homme et l'environnement. L'engagement des producteurs est vérifié par IP-SUISSE selon un système de points précis.

Le week-end dernier, 36 collaborateurs du groupe Micarna ont participé au 18e championnat suisse de désossage à Langnau. Résultat : de nombreux participants Micarna motivés et trois places sur le podium - deux en or et une en bronze.
Pour la 18ème fois, le championnat suisse de désossage a eu lieu samedi dernier à Langnau. Il s'agissait de désosser trois épaules de porc le plus rapidement possible en tenant compte de la propreté des os ainsi que des entailles dans la viande.
Les 36 participants de Micarna se sont acquittés de cette tâche avec brio, et près de la moitié d'entre eux ont même atteint la finale. Trois collaborateurs du groupe Micarna sont montés sur le podium : Rodrigo Cruz Morais a remporté le titre de champion suisse dans la catégorie des apprentis. Carlos Alberto Ferreira Pinho peut également être qualifié de champion suisse. Il a remporté la médaille d'or dans la catégorie boucherie de bureau. De plus, dans la catégorie apprentis, Paul Reichmuth a remporté la troisième place et donc la médaille de bronze.

André Dos Santos a obtenu son CFC cet été, terminant ainsi avec succès sa formation de boucher-charcutier au sein de la production de poulet du groupe Micarna à Courtepin. Une première: il est le premier à détenir un CFC de boucher-charcutier, orientation volaille, en Suisse. Une formation lancée par Micarna SA en 2018.
C'est avec brio et une note générale de 5,4 (6 à l'examen pratique) qu'André Dos Santos a terminé cet été sa formation de boucher-charcutier CFC, orientation volaille. Il avait auparavant suivi la formation de deux ans d'assistant en boucherie-charcuterie AFP. Une première suisse: il est en effet le tout premier à obtenir le CFC de boucher-charcutier, orientation volaille.
Étant donné que Micarna gère elle-même toutes les étapes du processus lié à la transformation de la volaille, il était naturel que ce soit un spécialiste en la matière qui donne l’exemple. Et c’est ce qu’a fait André Dos Santos. Mais le chemin que ce jeune homme, aujourd’hui âgé de 27 ans, a parcouru jusqu’à cette étape n’a pas toujours été facile.
Arrivé en Suisse depuis le Portugal à 11 ans
En 2003, André Dos Santos, alors âgé de 11 ans, est arrivé avec ses parents en Suisse depuis le Portugal. Au début sans parler un mot de français, il a suivi sa scolarité de la quatrième classe jusqu’à la fin de l’école secondaire (classe générale). Trouver une place d’apprentissage après la fin de sa scolarité n’a pas été simple. Ne disposant à ce moment-là d’aucune possibilité de formation, il a exercé divers métiers dans différentes entreprises pendant trois ans. À 19 ans, son chemin l’a mené à Micarna à Courtepin où il a occupé, en tant que travailleur temporaire, plusieurs postes dans le domaine de la volaille et a pu évoluer pour devenir chef d’équipe suppléant. La possibilité de suivre la formation d'assistant en boucherie-charcuterie AFP et de décrocher une formation initiale s’est présentée à lui en 2018, alors qu’il avait 25 ans. Les efforts d’André Dos Santos pour progresser au sein de Micarna et se développer professionnellement l’ont donc finalement conduit au but et lui ont permis, par la même occasion, d'effectuer une formation. Ce qu'il n'avait sans doute pas imaginé, c'est qu'il jouerait un rôle de pionnier en devenant le premier apprenti de Suisse à se spécialiser dans la volaille.
Micarna à l'avant-garde
Avec la formation d'André Dos Santos, Micarna a joué un rôle de précurseur. En 2018, elle est en effet la première entreprise de Suisse à intégrer la formation d'assistant en boucherie-charcuterie AFP, orientation volaille, dans son programme de formation. Et elle s'est montrée novatrice une fois de plus en étendant la formation à un CFC de boucher-charcutier, orientation volaille, si bien que la nouvelle formation d'assistant en boucherie-charcuterie AFP avec orientation production a été complétée par l’orientation transformation. Dans le cas d'André Dos Santos, deux années de formation supplémentaires ont été nécessaires jusqu'à l'obtention du CFC de boucher-charcutier avec orientation volaille. Au sein du groupe Micarna, André Dos Santos est aujourd'hui le seul collaborateur qui a travaillé dans tous les domaines de la volaille, y compris la charcuterie, du chargement des poulets chez le producteur jusqu'à la barquette prête à l'expédition. Ou pour résumer: de la ferme à l'assiette.
Avec volonté et détermination
«Nous avons besoin de collaborateurs compétents, spécialisés dans leur domaine. Une formation professionnelle de boucher-charcutier, orientation production, dans le domaine de la volaille nous permet d'assurer cette continuité», déclare Laurent Remy, responsable de la formation professionnelle au sein du groupe Micarna. Il salue l’attitude exemplaire d’André Dos Santos depuis son arrivée à Micarna: «Il s’est toujours montré attentif au cours de sa formation et n’a jamais cessé de vouloir s’améliorer.» Un exemple pour tous que l’on peut, avec de la volonté et malgré les difficultés, suivre sa route avec succès. «Nous avons développé au maximum ses capacités dans ce métier intéressant en repoussant toujours plus loin sa zone de confort. Les résultats prouvent qu'avec de la détermination et de la motivation, il est possible de réaliser des choses extraordinaires», résume Laurent Remy. Le succès d'André Dos Santos parle de lui-même.
Cet été, le prochain apprenti commence sa formation de boucher-charcutier CFC, orientation volaille, à l'ATV (Atelier de transformation de volaille) de Micarna à Courtepin. Un assistant en boucherie-charcuterie (AFP), orientation volaille, est déjà en formation depuis l'été passé. Un chemin qu'André Dos Santos a parcouru en tant que pionnier et qui a marqué de manière décisive la formation professionnelle de Micarna, en collaboration avec les responsables compétents dans le domaine de la volaille.

Nicole Aerni entre au 1er avril dans le groupe Micarna et prend la direction de la fonction Finance / IT.
Nous lui souhaitons la bienvenue au sein du groupe Micarna et lui souhaitons un bon départ et beaucoup de succès en tant que responsable Finance / IT.

Thierry Chevalley reprend la direction de la BU Oeuf / Favorit le 1er mars et intègre la direction du segment.
La direction du segment remercie Thierry Chevalley de son engagement au cours des dernières années et lui souhaite un bon début et plein succès dans sa nouvelle fonction de responsable de la BU Oeuf / Favorit.

Udo Manz intègre le groupe Micarna le 1er mars et reprend la direction de la BU Viande.
Nous souhaitons la bienvenue à Udo Manz au sein du groupe Micarna, ainsi qu'un bon début et plein succès dans sa nouvelle fonction de responsable de la BU Viande.

Sara Hinske sera la nouvelle responsable de la BU Volaille. Elle rejoindra le groupe Micarna au 1er février et reprendra la direction de la BU Volaille au 1er mars.
Nous souhaitons la bienvenue à Sara Hinske au sein du groupe Micarna et lui souhaitons, en sa qualité de responsable de la BU Volaille, un bon démarrage et plein succès dans ses nouvelles fonctions.
2021

Micarna, l’entreprise de transformation de la viande de Migros, a obtenu la première place du classement général, au concours de qualité de l’Union Professionnelle Suisse de la Viande (UPSV) 2021, qui s’est déroulé à Bulle (FR).
En triomphant dans les huit catégories de produits, elle s’avère «Simplement meilleure». Le groupe Micarna a fait honneur au slogan lors du célèbre concours de qualité de l’Union Professionnelle Suisse de la Viande (UPSV), en obtenant la première place au classement général, après 2 médailles d’argent en 2017 et 2019, ce qui lui vaut la médaille d’or et le titre de meilleure boucherie de Suisse 2021 - en tant qu’entreprise industrielle de transformation de viande. La joie de Peter Hinder, directeur de Micarna SA, est à la hauteur de la réussite: «En matière de viande et de produits carnés, la constance des achats dépend essentiellement de la qualité: les produits doivent être bons. Je suis très heureux que Micarna ait remporté la médaille d’or. Cela plaide en faveur de l’excellent rapport qualité-prix de nos produits et distingue le travail de nos équipes, qui œuvrent chaque jour en ce sens. Je félicite de tout cœur toutes les personnes qui travaillent à l’élaboration de nos produits pour leur excellente prestation.»
Les 25 médailles d’or font briller le rapport qualité-prix de Migros
Les 140 établissements membres de l’UPSV participants ont présenté un total de 953 produits, un chiffre record. Micarna a remporté 25 médailles d’or, 14 d’argent et 3 de bronze, dans les catégories saucisses crues, saucisses cuites, salaisons crues, salaisons cuites, produits prêts à consommer, produits prêts à cuire et produits sans numéros E. Cela reflète, d’une part, la compétence d’assortiment de la Business Unit Viande du groupe Micarna, et d’autre part, la qualité qui s’y attache. Les assortiments bio et IP-Suisse ont eu leur part de gloire, ainsi que les produits prêts à cuire et les produits à griller. À noter que l’hommage ne concerne pas seulement les secteurs haut-de-gamme, comme le bio ou IP Suisse, mais également des produits standard comme les M-Classic, ce qui illustre de façon impressionnante la performance de Migros en matière de rapport qualité-prix.
Bientôt, certains produits primés au classement général verront leur victoire signalée, dans les magasins Migros, par une étiquette dorée apposée à leur emballage.
Tableau des médailles de l’UPSV.
Une qualité-produit du plus haut niveau
Depuis près de cinquante ans, l’Union Professionnelle Suisse de la Viande (UPSV) présente les résultats du concours de qualité des produits carnés et préparations à base de viande, qui se déroule tous les deux ans, sous l’égide d’un jury indépendant formé de spécialistes, en collaboration avec le Centre de formation pour l’économie carnée ABZ, basé à Spiez (DE). Le Concours de la qualité est ouvert à tous les produits élaborés par les entreprises de l’économie carnée suisse membres de l’UPSV, à condition qu’ils satisfassent aux dispositions de la législation suisse. Le jury, composé d’expert-es reconnu-es de la branche carnée suisse, évalue les produits soumis dans les 8 catégories: saucisses échaudées, saucisses crues, saucisses cuites, salaisons crues, salaisons cuites, produits prêts à consommer, produits prêts à cuire et produits sans numéros E. Il évalue à chaque fois l’apparence, la consistance, l’arôme et la saveur de chaque produit. Afin de pouvoir exercer cette délicate activité, chaque expert-e doit avoir réussi une formation d’analyse sensorielle, mettant l’accent sur les produits à base de viande.

Vetroz, 5 novembre 2021 - La société Optisol, filiale du groupe Micarna est un important producteur d'engrais organo-minéraux. Elle a inauguré ce vendredi son nouveau site sur la commune de Vétroz. Ce nouveau bâtiment orienté vers l'avenir est la plus grande structure en bois du Valais et reflète le fort engagement du groupe Micarna en matière de durabilité.
Optisol, qui se trouvait auparavant à Saillon (VS), a dû changer de site en raison de sa situation dans la zone inondable de la correction du Rhône et se trouve désormais à Vétroz (VS). Depuis plus de 50 ans, Optisol transforme le fumier de poulet riche en éléments nutritifs en engrais organiques et organo-minéraux de haute qualité destinés à l'agriculture professionnelle et aux jardins privés, en vente notamment dans les Do it + Garden de Migros.
Contribution significative à l’économie circulaire au sein la chaîne de valeur de la volaille
Micarna SA est légalement tenue de recycler la litière provenant de la production d'œufs à couver des parcs d'œufs parents. Optisol joue donc un rôle central dans la chaîne de production d'œufs à couver, tout en permettant de boucler la boucle de la chaîne de production de valeur de la volaille, en recyclant ce qui peut se faire. Du stock parental au couvoir, puis de l'engraissement dans les fermes partenaires jusqu'à la transformation en produits de consommation, Micarna SA contrôle toutes les étapes du processus. Optisol contribue ainsi à fermer le cycle de cette économie en croissance et garantit des trajets de transport courts, grâce à un ancrage local tout en offrant une alternative durable en matière d'engrais.
Centrale électrique alimentée au bois, système photovoltaïque, traitement écologique de l'air vicié
La nouvelle usine Optisol de Vétroz est située à proximité immédiate du parc animalier parental de Micarna SA à Sierre, qui abrite 50'000 animaux. Elle bénéficie également des matières premières parcs animaliers parentaux de Saillon, Vernayaz et Martigny. Le nouveau bâtiment utilise les dernières technologies et répond aux exigences les plus strictes en matière de durabilité. Le traitement de l'air vicié respecte autant l’environnement que la législation en matière de qualité de l’air. Une filtration et une ionisation permetten de réduire la poussière, les odeurs ainsi que la libération d’ammoniac.
L'énergie nécessaire au séchage de la litière est renouvelable. Le séchoir est par exemple alimenté par la centrale thermique à bois installée sur la propriété voisine. "New Optisol" réduit donc ses émissions de CO2 grâce à ce système de chauffage à distance. En outre, Micarna SA loue la surface du toit de New Optisol au groupe Oiken qui y exploite une installation solaire comptant 1000 panneaux photovoltaïques prêts à produire 300 Kwh. Ils ont du pain sur la planche, car le soleil caresse les plaines du Valais de 2000 heures par an !
La biodiversité n’a pas été oubliée puisque des arbres aménageront les espaces verts du site et des nids ont été construits sous le toit, afin que les martinets et les faucons puissent se sentir chez eux dans le Valais central.
À propos de Micarna SA
Depuis plus d'un demi-siècle, Micarna est le premier producteur suisse de viande, de volaille, d'œufs et de fruits de mer. En tant que membre de Migros Industrie, elle contribue de manière significative au succès de Migros. Plus de deux millions de consommateurs en Suisse et en Europe apprécient chaque jour les produits de première qualité de Micarna. Avec ses directives strictes en matière de bien-être animal et de protection de l'environnement, la Suisse offre de bonnes conditions pour des produits écologiquement et socialement responsables. Par conviction, Micarna entretient une relation de partnariat avec l'agriculture suisse et promeut la valeur ajoutée de la viande suisse. Environ 70 % des animaux transformés par Micarna sont des animaux labellisés (par exemple IP-Suisse ou Bio) et bénéficient d'un bien-être animal supérieur à celui exigé par la loi. Avec plus de 4800 produits et des solutions complètes ses clients en Suisse et à l'étranger, Micarna est le plus grand producteur de viande Suisse en termes de ventes.

La décision relative à la succession d’Albert Baumann est tombée. C’est Peter Hinder, actuel responsable de la BU Convenience du segment III, qui prendra la direction de segment du groupe Micarna au 1er janvier 2022.
Après avoir officié près de trois ans dans le segment III (Fresh Food & Beverage Group), d’abord au titre de directeur de Bischofszell produits alimentaires SA (BINA), puis à celui de responsable de la Business Unit Convenience à partir de début 2020, Peter Hinder revient dans le groupe Micarna en qualité de directeur. Il intégrera le groupe Micarna dès le 1er octobre 2021 pour une période d’intégration. La passation de pouvoir proprement dite aura lieu le 1er janvier 2022, date à laquelle il deviendra directeur de segment à part entière.
Déjà 25 ans d’expérience au sein du groupe Micarna
Il s’agit d’un retour, car Peter Hinder a travaillé pendant 25 ans au sein de Micarna SA avant de bifurquer en 2019 chez BINA. Il peut donc se prévaloir d’une grande expérience dans le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de l’industrie Migros. À son dernier poste chez Micarna SA, de 2014 à 2019, Peter Hinder était directeur adjoint du secteur Marketing et communication. Auparavant, cet ingénieur agronome (EPF Zurich) a dirigé durant huit ans le secteur Viande fraîche de Micarna SA, où il avait la responsabilité de quelque 600 personnes réparties sur quatre sites.
«Bon réseau, droiture et intégrité»
Pour Armando Santacesaria, CEO de l’industrie Migros, cette vaste expérience de longue date à différentes fonctions dans le secteur de la viande a également été un critère prépondérant dans le choix de Peter Hinder à la tête du groupe Micarna. «Le bon réseau dont dispose Peter au sein de Migros, mais aussi en dehors de l’entreprise, sa droiture et son intégrité ainsi que son implication dans l’initiative Leadership (LSI) sont d’autres éléments importants», a-t-il ajouté.
Peter Hinder se montre lui aussi très heureux: «Je me réjouis beaucoup de contribuer activement, avec ma future équipe, à façonner les évolutions futures de ces aliments importants que sont la viande, la volaille, le poisson et les oeufs et de continuer à assurer la prospérité du groupe Micarna pour l’avenir.»
Albert Baumann restera au sein du groupe Micarna, cette fois à temps partiel, afin d’exercer des mandats externes de membre du conseil d’administration et de continuer à accompagner quelques projets clés.
2020

Les moulins, témoins du passé de toute une région
Les collaborateurs de Micarna Courtepin soutiennent l’association «Le Moulin» en lui remettant un chèque de 3’600 francs. Cette association régionale s’engage pour faire revivre le «Moulin de la Chapelle» dans la vallée du Gottéron, dans la volonté de préserver un pan de l’histoire industrielle fribourgeoise.
L’avenir repose sur le passé: en effet, les racines de notre réussite actuelle sont profondément ancrées dans notre histoire. Cela est vrai aussi bien pour un entreprise industrielle telle que Micarna que pour tout le canton de Fribourg. L’industrie et la technologie, la clairvoyance et le souci du bien commun ont toujours marqué cette région. Dès le Moyen Âge, les habitants ont exploré de nouvelles voies et utilisé la force de l’eau pour faire fonctionner une dizaine de moulins le long du Gottéron. Des vestiges de cette époque sont encore visibles aujourd’hui. Or il est essentiel de prendre soin de ces témoins du passé fribourgeois afin de les rendre accessibles à nos descendants et de transmettre cet héritage aux génération futures.
Rendre l’histoire tangible pour l’avenir
C’est le but de l’association «Le Moulin», qui souhaite redynamiser le bâtiment historique du «Moulin de la Chapelle» dans la vallée du Gottéron, pour le rendre accessible à un large public. «Nous voulons redonner vie à l’ancien moulin et faire découvrir ainsi aux Fribourgeois un volet de leur histoire. Le moulin de la Chapelle, situé au n° 13 du chemin du Gottéron, doit devenir un lieu de rencontre ludique et culturel», explique le président de l’association, Marc Bucher. Un témoin du passé, dont la préservation est également importante pour les collaborateurs de Micarna. En effet, l’entreprise industrielle du groupe Migros est sise depuis plus d’un demi-siècle à Courtepin et nombre de ses employés sont étroitement liés à la région de Fribourg et à son histoire.
Souligner notre responsabilité envers le passé
C’est pourquoi la commission du personnel de Micarna Courtepin a décidé de reverser les recettes provenant des boissons alcoolisées vendues lors de la fête du personnel de cette année à l’association «Le Moulin». «Nous souhaitons envoyer un signal fort et montrer que nous sommes fiers de notre histoire», explique Alain Thalmann, président de la commission du personnel de Micarna Courtepin. «Fribourg a toujours été un lieu moderne et tourné vers l’avenir, où l’innovation a joué un rôle important, et cela bien avant l’industrialisation proprement dite. Les anciens moulins établis le long du Gottéron témoignent de cet esprit d’avant-garde, que l’association «Le Moulin» entend mettre en valeur plusieurs siècles plus tard».
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Bref portrait du Segment Viande, Volaille, Poisson et Oeufs de la M-Industrie
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. En 2019, le segment 1 de la M-Industrie, avec ses quelque 3 400 employés, a réalisé des ventes de 140 832 tonnes.

La direction de Micarna a décidé d’annuler les deux journées portes ouvertes de la formation professionnelle des 6 et 7 mars 2020 sur le site de production de Bazenheid et des 13 et 14 mars 2020 sur le site de production de Courtepin. En raison de la situation actuelle et de l’incertitude qui règne concernant le coronavirus, l’entreprise industrielle s’abstiendra d’organiser des événements avec des visiteurs externes.
Les Mazubi Days se tiennent chaque année sur les deux principaux sites de production de Micarna, Bazenheid et Courtepin, et permettent chaque année à plusieurs centaines de visiteurs de jeter un coup d’oeil dans les coulisses de l’entreprise industrielle. Les journées portes ouvertes de la formation professionnelle présentent aux jeunes de la région le large éventail des possibilités de formation dans l’industrie alimentaire et permettent aux écoliers, aux parents et aux formateurs professionnels d’avoir un échange simple sur le travail, la formation et l’apprentissage.
La date de la tenue des Mazubi Days 2020 est actuellement ouverte. De plus amples informations sur la formation professionnelle en Micarna sont disponibles en ligne à tout moment à l’adresse suivante: ww.mazubi-island.ch

Les collaborateurs de Micarna Bazenheid soutiennent l’association régionale «Ostschweizer helfen Ostschweizern» avec un chèque d’un montant de 2’000 francs.
Fournir des lunettes spéciales pour une déficience visuelle particulièrement prononcée. Permettre à un enfant en détresse financière de partir en camp de vacances. Ou faire découvrir la fascination des sports d’hiver à une personne souffrant d’un handicap physique grâce à un monobob. Ce sont certes de petites choses, mais qui peuvent tellement améliorer notre vie! Car ce sont justement ces petites choses qui peuvent exclure les gens de la société, et leur empêcher de vivre tant de joies. C’est dommage. Et cela doit changer. Chacun de nous peut apporter son aide, en procurant de la joie ou en offrant un certain soulagement. Aider ne veut pas simplement dire soutenir financièrement, c’est aussi faire un geste. Faire preuve de solidarité envers des personnes qui sont dans le besoin; des personnes de notre région. La commission du personnel de Micarna Bazenheid a décidé de faire ce geste. Au nom de tous les collaborateurs du site de production de Bazenheid, elle fait don de la recette issue de la vente d’alcool lors de la fête du personnel d’un montant de 2’000 francs à l’association «Ostschweizer helfen Ostschweizern».
Un soutien pour les Suisses orientaux
L’association indépendante de Suisse orientale a vu le jour en 2005 sous l’égide du journal saint-gallois «St.Galler Tagblatt» et est encore aujourd’hui sous le patronat de la plus grande agence de presse régionale. Un soutien est apporté aux personnes seules et familles de Suisse orientale, qui ne sont pas gâtées par la vie sur le plan financier. Des personnes aux moyens très limités, qui sont passées pour diverses raisons à travers les mailles du filet social et qui ne peuvent bénéficier d’aucune aide officielle. «Nous sommes tous des Suisses orientaux. Nous faisons tous partie intégrante de cette région. Pour nous, le soutien est aussi synonyme de solidarité envers nos voisins», explique Robert Wild, président de la commission du personnel de Micarna Bazenheid.
Micarna est fière de ses origines régionales
Il importe d’autant plus au personnel du Groupe Migros non seulement de faire don d’argent, mais aussi d’attirer l’attention sur une association régionale à caractère important. «L’association soutient de nombreuses personnes seules et familles de la région. Souvent, ce sont de petits montants qui peuvent faire «LA» différence. Offrir un certain soulagement ou procurer de la joie pendant les jours fériés ou les vacances scolaires, c’est un soutien très précieux qui apporte au final quelque chose en plus à toute notre région», souligne Robert Wild. Micarna est fière de ses origines régionales et se réjouit de pouvoir rapprocher les gens de Suisse orientale grâce à la recette issue de la fête du personnel à Bazenheid.
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Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’400 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,8 milliard de francs en 2019.
2019

Suite à l’analyse détaillée du projet, Micarna a décidé de se concentrer sur une nouvelle construction de son établissement d’abattage et de transformation de volaille, dont la capacité sera en outre élargie. En conséquence, la construction d’un deuxième établissement dans la commune de Bütschwil / Ganterschwil n’entre pour l’heure pas en ligne de compte.
Dans le cadre de son plan directeur Volaille, Micarna planifie le développement de la chaîne de création de valeur, en réponse à la progression constante de la demande de poulet suisse. Dans ce contexte, un nouveau parc de poules parentales a été implanté en Valais et le couvoir le plus moderne de Suisse construit à Avenches au cours des dernières années. De plus, une étude regroupant l’évaluation de divers sites et un avant-projet de faisabilité a été menée à bien. Cette étude a conclu qu’il est préférable d’accorder la priorité à la reconstruction ou à la transformation de l’établissement d’abattage et de transformation de volaille à Courtepin et de ne pas poursuivre le projet d’implantation d’un deuxième établissement sur un nouveau site. «En tant que membre de M-Industrie, Migros dépend de l’ensemble du groupe Migros», explique Albert Baumann, directeur de Micarna. Suite à l’orientation stratégique de M-Industrie et face au besoin urgent d’un nouvel atelier de transformation de volaille (ATV) à Courtepin, Micarna a décidé de ne pas poursuivre actuellement le projet ATV Est dans la commune de Bütschwil / Ganterschwil.
Micarna continue de miser sur la volaille suisse
Cette décision ne réduit en rien l’importance que revêt la Suisse orientale pour l’entreprise, souligne Albert Baumann: «Nous exprimons toute notre reconnaissance à la commune et aux propriétaires de terrain. Nous avons toujours bénéficié d’une grande qualité d’écoute et nous sentons chez nous dans cette région. Micarna est liée depuis plus d’un demi-siècle à la Suisse orientale et entend maintenir cette implantation régionale. Si nous n’excluons pas la possibilité de construire un nouvel établissement d’abattage et de transformation de volaille ultérieurement, nous devons cependant nous concentrer sur la reconstruction ou la transformation de l’ATV Ouest.» En outre, l’accroissement de la capacité qui en découlera permettra à Micarna de couvrir pleinement la demande de volaille suisse au cours des années à venir. Une demande qui, selon l’entreprise traditionnelle suisse, ne manquera pas de croître à l’avenir également. «A mon sens, le développement global de la chaîne de création de valeur souligne notre engagement en faveur du poulet suisse», explique Albert Baumann. Etant donné qu’en matière de production de poulet, Micarna inclut toutes les étapes de la chaîne de création de valeur, elle évalue constamment les divers maillons et s’oriente en fonction du marché.
Investissements dans des parcs de poules parentales et un couvoir
Comme Micarna s’attend à une progression de la demande de poulet suisse, elle a fortement investi dans le développement de la chaîne de création de valeur au cours des dernières années. Ainsi, le parc de poules parentales le plus moderne d’Europe et son jardin d’hiver, une nouveauté absolue en matière d’engraissement de poulet, ont-t-il vu le jour à Sierre. Grâce à ce jardin d’hiver, mais aussi à la superficie de la halle et aux nids de ponte spacieux, les poules parentales du nouveau parc bénéficient de 40 pour cent davantage d’espace que leurs congénères dans des établissements comparables. En outre, Micarna a mis en service son nouveau couvoir, le plus moderne de Suisse, à Avenches. «Parallèlement à ces nouvelles constructions, nous accueillons quinze nouvelles halles d’engraissement chaque année. Or c’est précisément ce partenariat avec nos producteurs suisses qui assure le succès de notre chaîne de création de valeur. Voilà pourquoi nous mettons tout en œuvre pour assurer le développement en douceur de nos activités, selon les besoins du marché», souligne Albert Baumann. Et l’avenir dira si un deuxième établissement d’abattage et de transformation de volaille entrera en ligne de compte pour assurer ce développement.
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Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Pop-Bugs: gros plan sur les sources de protéines alternatives
Cette année, à l’occasion de l’Anuga, Micarna présente ses produits Pop-Bugs dans le pavillon suisse et deux innovations majeures dans le cadre de l’exposition spéciale «Taste 19». En outre, la société suisse traditionnelle montre les possibilités que d’autres sources de protéines nous offrent déjà dans notre diversité culinaire, et pourquoi les insectes sont une alternative durable à la production de viande classique.
Entre aficionados du steak et végétariens, entre moments de plaisir et recherche d’une philosophie nutritionnelle durable pour une population mondiale croissante – Anuga, le plus grand salon mondial du secteur de l’alimentation et de l’industrie alimentaire, se penche non seulement sur les derniers produits, mais également sur le problème sociopolitique que posent nos habitudes alimentaires. Les changements d’habitudes culinaires ne sont pas une nouveauté. La mondialisation ainsi que les développements techniques et agronomiques nous offrent aujourd’hui une variété de moments de plaisir qui auraient été impensables pour les générations précédentes. Ils nous posent cependant des défis inédits: réchauffement climatique, gaspillage alimentaire, déchets d’emballages, le tout dans le contexte d’une croissance de la population mondiale... qu’il faut nourrir.
Des insectes traités comme des éléments gustatifs
La production alimentaire en général, et la branche carnée en particulier, sont en mutation. Il est important de trouver de nouvelles approches en matière de production, de fabrication, mais aussi dans l’acquisition de sources alternatives de protéines. Cette année, Micarna présentera des réponses à ces développements avec ses produits Pop-Bugs dans le cadre de l’exposition innovante «Taste19», qui mettra en lumière les variantes possibles avec des sources de protéines alternatives. «Il ne s’agit pas de montrer pour choquer, mais de mettre en évidence la diversité que nous offrent des sources alternatives de protéines», souligne Ralph Langholz, 46 ans. Pour le responsable de sources alternatives de protéines chez Micarna, il ne s’agit pas en premier lieu de remplacer le steak juteux des consommateurs européens par des insectes entiers: «Pour nous, la transformation des insectes n’est pas une concurrence à la viande, mais plutôt un complément passionnant dans notre alimentation. Nous nous intéressons en outre moins aux insectes entiers dans notre régime alimentaire qu’à leur traitement. Nous utilisons donc les insectes comme apports de protéines et de composants aromatiques intéressants dans la fabrication de produits sans viande.» Les produits Pop-Bugs sont fabriqués à partir de vers de farine comme source de protéines. Outre les insectes, source de protéines, les produits Pop-Bugs contiennent des ingrédients naturels comme la carotte, le poireau ou le pois chiche. «Tous nos ingrédients sont 100 % naturels, sans OGM, sans exhausteur de goût ni autre ingrédient chimique», précise cet homme de 46 ans.
Une source de protéines durable et économique
Les insectes en tant que source alternative de protéines varient non seulement notre alimentation, mais ils peuvent également contribuer de manière durable à l’alimentation saine d’une population mondiale croissante. «Les insectes représentent une source de protéines animales prometteuse et durable pour les humains. Ils ont non seulement de bonnes valeurs protéiques, mais disposent aussi d’une teneur en matière grasse prometteuse, et sont de bons transformateurs de fourrage en termes de développement durable», explique Ralph Langholz. Dans un contexte marqué par les discussions sur le climat et la consommation des ressources, les insectes offrent un atout de taille: «Les insectes sont capables par exemple de produire un kilogramme de protéines pour deux kilos de nourriture. En comparaison, il faut jusqu’à dix kilos de nourriture aux bœufs pour atteindre le même résultat. Les insectes sont donc des recycleurs de nutriments très efficaces, nécessitent moins de surface agricole pour l’élevage que le bétail conventionnel, sont plus écologiques que les porcs et les bovins, produisent par exemple moins de gaz à effet de serre et ont un moindre besoin en eau. Cela semble génial.»
Des produits convaincants et un grand travail de sensibilisation
Malgré leurs bonnes valeurs protéiques et les minéraux importants qu’ils contiennent, comme le fer et le zinc, ou les acides gras insaturés essentiels, les insectes rebutent encore bon nombre d’entre nous. Pourtant, les insectes font partie intégrante du régime alimentaire de nombreuses cultures. «Selon les études actuelles, il existe environ 2000 espèces d’insectes qui pourraient convenir comme aliment. Aujourd’hui déjà, plus de deux milliards de personnes consomment régulièrement des insectes ou des produits à base d’insectes», explique Ralph Langholz. Et pour le gestionnaire de produits, il n’y a aucune raison pour nous, Européens, de tourner le dos à ces sources de protéines alternatives. Enfin, les insectes comestibles offrent un avantage de taille: ils présentent un taux d’exploitation bien plus élevé que les produits à base de viande. Ainsi, les vers utilisés dans les produits Pop-Bugs peuvent être exploités à 100 %. La clé pour conquérir le marché occidental est la sensibilisation des consommateurs et le fait que les produits Pop-Bugs reposent sur des insectes transformés. «Les produits à base d’insectes, auxquels nous ne sommes pas encore habitués, ne sont pas du goût de tous les consommateurs; pour certains, l’idée même de manger des insectes les répugne. C’est pourquoi il est essentiel de séduire les gens par des produits connus et délicieux comme les falafels ou les hamburgers. Ils ne doivent pas voir d’insecte entier. En outre, il est important que les consommateurs intéressés puissent expérimenter une fois ces produits. Cela permet de remplacer l’image répugnante par une expérience gustative agréable.»
Qui dit produit durable dit emballage durable
Nous devons par ailleurs les informer que les espèces d’insectes transformées proviennent d’élevages d’insectes alimentaires spéciaux soumis à des contrôles et à la législation alimentaire, mais aussi que le régime des insectes est fondamentalement végétarien et principalement composé de son ou de carottes par exemple. Et comme le critère de durabilité joue un rôle clé dans les sources de protéines alternatives telles que les insectes, nous avons aussi accordé une grande importance à l’emballage pour les produits Pop-Bugs. Ainsi les produits Pop-Bugs sont-ils conditionnés dans un emballage Skin innovant avec une pochette en carton, et l’enveloppe en PET a été remplacée par un carton certifié FSC. «Cela nécessite 70 % de plastique en moins que pour des emballages traditionnels», souligne Ralph Langholz. Avec ses produits Pop-Bugs, Micarna se présente à l’Anuga de cette année avec un ensemble complet pour une production alimentaire innovante et durable basée sur des sources de protéines alternatives. Les produits innovants Pop-Bugs sont disponibles dans le pavillon commun suisse «Swiss Pavillon», halle 3.1, stand D067. En outre, Micarna réserve aux visiteurs deux innovations majeures à l’exposition spéciale «Taste 19».
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Les produits Pop-Bugs de Micarna à l’Anuga 2019
L’Anuga est le plus grand salon professionnel au monde consacré aux aliments et aux boissons. Chaque année, quelque 170’000 visiteurs affluent à Cologne, où plus de 7500 exposants les emmènent dans un voyage culinaire. Avec ses produits Pop-Bugs, Micarna présente sa gamme de sources de protéines alternatives et nous surprend avec deux innovations lors de l’exposition spéciale innovation «Taste 19». L’ Anuga se déroulera du 5 au 8 octobre 2019 à Cologne. Les produits Pop-Bugs de Micarna sont disponibles dans le pavillon commun suisse «Swiss Pavillon»: halle 3.1 / stand D067
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

IP-Suisse et Micarna, l’entreprise de transformation de viande de Migros, s’allient pour fonder la plate-forme de commercialisation de porcs KOMIPS AG, sous réserve de l’autorisation de l’autorité de concurrence. L’objectif de cette nouvelle structure est d’optimiser le traitement de thèmes tels que le développement durable, la sécurité et la transparence tout au long de la chaîne de création de valeur.
IP-Suisse et Micarna ont décidé de fonder une plate-forme commune de commercialisation des porcs, qui sera baptisée KOMIPS AG. La Commission de la concurrence a été dûment informée de ce projet. En fondant KOMIPS AG, IP-Suisse et Micarna souhaitent faire face aux défis qui se posent actuellement à la filière porcine et renforcer à nouveau la confiance des consommateurs dans les produits à base de viande de porc. En effet, ce secteur subit aujourd’hui la pression globale imposée par un changement de comportement des consommateurs et d’autres évolutions du marché. Les missions de KOMIPS AG, outre l’achat de porcs d’abattage pour Migros et d’autres acheteurs sont la fourniture de diverses prestations ainsi que l’organisation et la coordination du transport des animaux.
Alignement de la chaîne de valeur sur le client
«En créant KOMIPS AG, nous entendons nous munir d’un instrument qui nous permettra de répondre au souhait de la clientèle qui est une plus grande prise en compte des critères de transparence, de sécurité et de développement durable dans la production de viande de porc. Pour Micarna, il est important d’orienter la chaîne de création de valeur sur les exigences des clients», a déclaré Albert Baumann, directeur de l’entreprise Micarna SA.
Contrats d’approvisionnement contraignants pour les producteurs
Andreas Stalder, président d’IP-Suisse, en est convaincu: «Grâce à la plate-forme de commercialisation commune que sera KOMIPS AG, nous proposerons à nos producteurs IP-Suisse, non seulement des contrats d’approvisionnement contraignants, mais aussi des prestations utiles et des services de conseil, notamment dans la gestion sanitaire, d’élevage et d’alimentation des animaux.» La fondation de KOMIPS AG s’inscrit dans la philosophie de Migros: offrir à la clientèle des produits durables de la façon la plus directe possible et au meilleur rapport qualité-prix.
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Les steaks du Micarna sont convaincants non seulement en termes de qualité, mais aussi en termes de production durable.

Mike Egger et Manuela Isenring, représentants de Micarna, à la cérémonie de remise des prix du World Steak Challenge 2019.
Micarna a été récompensée pour la deuxième fois consécutive de plusieurs médailles à l’occasion du célèbre World Steak Challenge (WSC). Les dix produits présentés par l’entreprise suisse ont tous été distingués lors de l’édition de cette année en Irlande.
L’été, le soleil et les grillades: de ci de là dans tout le pays, de nombreux amateurs et pros de la grillade s’essaient à préparer le steak parfait qui se doit d’être juteux, tendre et bien marbré. Un steak parfait, ce n’est pas un quelconque morceau de viande; non, c’est le symbole de l’été, du plaisir et de la joie de vivre. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’il déclenche aussi des émotions intenses. Mais qui décide au final quand et de quelle façon un steak est «parfait»? Une explication s’impose. Elle se présente sous la forme d’un jury indépendant international qui officie dans le cadre du célèbre World Steak Challenge. Ce championnat du monde de steak s’est déroulé pour la première fois de son histoire en Irlande.
La définition de la perfection n’est pas identique partout
Après une première réussie l’an dernier à Londres lors de laquelle elle a remporté trois médailles de bronze, Micarna est la première entreprise suisse à avoir participé à la deuxième édition du World Steak Challenge cette année. L’excitation n’en était pas moindre, soulignent Manuela Isenring et Mike Egger qui représentaient Micarna lors de la remise des prix en Irlande. «Bien sûr, il y a de quoi être tout excité. Non seulement en raison de l’ambiance qui règne, mais aussi au vu de tout le plaisir que procure le produit», explique Manuela Isenring. Spécialiste en achat et vente au niveau international, elle connaît la concurrence et s’attend à subit une âpre compétition: «La concurrence est rude. L’an dernier, c’est un produit finlandais qui s’est octroyé la première place. Nos principaux concurrents sont sans doute l’Irlande, la Grande-Bretagne, l’Amérique du Sud et les États-Unis.» Ce qui rend la compétition passionnante, ce n’est pas seulement le gain éventuel de médailles, mais aussi, et surtout, le fait que la définition du steak parfait n’est pas la même dans tous les pays. «Les Suisses apprécient particulièrement la viande maigre, par exemple, alors que d’autres pays considèrent que la viande est meilleure quand elle est bien marbrée», explique Mike Egger.
Une bonne qualité issue d’une production durable
Le fait que Micarna, qui représente un petit pays comme la Suisse, puisse gagner plusieurs médailles lors d’une manifestation internationale de cette ampleur a déjoué tous les pronostics. Plus de 300 steaks provenant de 25 pays ont été présentés. C’est un grand honneur de repartir avec une médaille. Micarna a pu se distinguer pas moins de dix fois. «Nous sommes extrêmement fiers. C’est la preuve que la qualité de nos produits issus de l’agriculture durable ne séduit pas uniquement en Suisse, mais également au niveau international», explique Mike Egger. Pour Manuela Isenring, ces distinctions soulignent que le développement durable et la qualité ne sont pas incompatibles: «Des produits de différents labels ou marques, comme Terra Suisse, Swiss Black Angus, Pure Simmental, Viande des Carpates ou Bœuf de pâturage Bio, ont remporté une médaille. La médaille d’argent de notre filet Bœuf de pâturage Bio est importante du point de vue du développement durable: ce label mise sur un élevage respectueux de l’environnement et des animaux, aspects qui sont non seulement importants pour Micarna, mais également pour les consommateurs suisses. Le fait que nous puissions faire jeu égal en matière de qualité avec ces produits issus de l’agriculture durable souligne le bon travail réalisé tout au long de la chaîne de valeur de la filière de la viande.»
Cinq médailles d’argent et cinq de bronze
Micarna a présenté dix pièces de viande de qualité, les meilleurs morceaux dans le filet, le faux-filet et l’entrecôte. Ces produits proviennent de quatre labels et ont été stockés selon différentes méthodes de maturation. «L’élevage, le choix des morceaux et surtout les méthodes de maturation influent de manière décisive sur le goût et la tendreté du produit final», explique Mike Egger. Il semble que le jury international ait justement apprécié ces qualités en Irlande. «Le jury évalue la viande à l’état cru et grillé. La qualité de la viande, c’est-à-dire l’aspect marbré, la consistance mais aussi les nuances gustatives, est déterminante.» Les cinq médailles d’argent et les cinq médailles de bronze qui ont été décernées à Micarna cette année lors du World Steak Challenge témoignent de son excellence dans ce domaine. Micarna est la seule entreprise suisse à avoir réussi cette performance exceptionnelle lors de cette manifestation internationale. Si vous souhaitez juger par vous-même de la qualité des steaks de Micarna, il vous suffit d’aller dans une boutique Micarna ou dans différentes filiales de Migros où vous pouvez acheter tous ces produits récompensés.
Micarna au World Steak Challenge 2019
Cinq médailles d’argent et cinq médailles de bronze ont été décernées à Micarna pour ses dix produits présentés au World Steak Challenge de cette année qui s’est déroulé en Irlande.
Médailles d’argent
- Bio-Weidebeef, filet
- Swiss-Black-Angus, filet
- Swiss-Black-Angus, entrecôte
- Karpaten Black Angus Beef, entrecôte
- Karpaten Black Angus Beef, faux-filet
Médailles de bronze
- Terra-Suisse, entrecôte
- Terra-Suisse, faux-filet
- Terra-Suisse, faux-filet (dry aged)
- Pure Simmental, entrecôte
- Karpaten Black Angus Beef, filet
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.


C’est avec une petite fête que Micarna a inauguré son nouveau couvoir fin avril à Avenches. Chaque année, près de 25 millions de poussins y naissent. Un projet pionnier pour le bien-être animal, souligne Micarna et le point de départ pour un élevage de poulets sains, affirme Jean-Daniel Staub, président de l’association.
Il s’agit de la plus grande écloserie en Suisse: le nouveau couvoir de Micarna à Avenches. Un demi-million de poussins y éclosent chaque année. Nulle part ailleurs, autant de vies ne commencent que dans le nouveau projet de Micarna dans le canton de Vaud. «Le couvoir est un maillon central dans la chaîne de valeur volaille d’envergure pour notre élevage de poulets», explique Jérôme Carrard, membre de la direction, lors des festivités d’inauguration. «Ici, la vie commence. Ici éclosent des poussins, qui iront exclusivement dans les fermes de nos partenaires. Nous connaissons chaque poussin et pouvons tracer à tout moment chaque poulet.» Micarna ne connait pas seulement chaque poussin, mais aussi leurs parents, ou tout au moins le parc de poules parentales: tous les œufs couvés à Avenches proviennent du parc de poules parentales Micarna au Valais. «Cette chaîne de valeur d’envergure est très importante pour nous. Elle nous donne le contrôle de toutes les stations: du bien-être des poules parentales à la haute qualité du produit lors de la transformation» Cette chaîne de valeur est unique en Suisse dans ce niveau de détails.
Début de vie moderne
Ce n’est pas uniquement la chaîne de valeur qui est unique, mais aussi le nouveau couvoir à Avenches. Il s’agit du couvoir le plus moderne de Suisse. Pour la toute première fois, la technologie innovante de couvaison Hach Care est utilisée en Suisse. «La grande particularité de la nouvelle technologie est que les poussins reçoivent de la nourriture, de l’eau et de la lumière immédiatement après leur éclosion. Ainsi nous avons fait un grand pas en avant dans le bien-être animal» explique Anton Grub, directeur du projet, aux invités lors de la visite. Jusqu’à maintenant, un poussin devait attendre dans sa caisse après l’éclosion, jusqu’à ce que le dernier de ses collègues ait éclos. Alors seulement, la prochaine étape commençait pour lui et il devait d’abord subir un transport sur une convoyeuse et être débarrassé des coquilles avant d’aller en ferme. Cela pouvait durer jusqu’à 24 heures pendant lesquelles le premier éclos devait attendre ses collègues, prisonnier entre les coquilles. «Dans le nouveau couvoir, nous travaillons dans le secteur des éclosions avec une caisse à deux étages. Cela signifie que lorsqu’un poussin éclot, il atterrit quelques centimètres plus bas dans une caisse propre. Cette caisse inférieure est son environnement durant les premières heures, Il peut s’y mouvoir, a accès à de l’eau et de la nourriture. Il a un meilleur départ dans la vie, bien plus naturel», souligne Anton Grub. Outre ces premières heures naturelles, la technologie du nouveau couvoir présente un autre avantage: moins de stress lié au transport. «Les poussins éclosent dans la caisse avec laquelle ils sont transportés chez l’éleveur. Les étapes intermédiaires encore nécessaires se déroulent dans le même environnement. La caisse supérieure contenant les coquilles est retirée, la qualité des poussins est contrôlée et les caisses sont complétées pour que le même nombre d’animaux arrivent dans la ferme.» Et c’est important, en fin de compte, les éleveurs doivent savoir combien ils reçoivent d’animaux.
Des poussins sains comme base pour un élevage à succès
Cette fiabilité du partenariat est décisive pour le succès durable de la production de volaille de Micarna, souligne Jean-Daniel Staub, président de l’association des producteurs de volaille de Micarna (APVM). Environ 500 exploitations partenaires travaillent avec Micarna dans toute la Suisse. «Beaucoup d’entre nous depuis déjà de nombreuses années. Cet étroit partenariat est unique et nous pouvons compter non seulement sur la date de livraison des poussins et la collecte des poulets, mais aussi sur la qualité des animaux», souligne Jean-Daniel Staub. Les premières mises en station des poussins depuis le couvoir, en particulier, se sont bien déroulées. «Le taux d’éclosion et la vitalité des poussins sont bons. Nous sommes confiants sur le fait que cela deviendra de plus en plus évident et que nous aurons besoin de moins d’antibiotiques qu’actuellement», souligne Anton Grub. Aujourd’hui déjà, Micarna est un pionnier en matière d’antibiotiques: environ 95 pour cent de tous les poulets Micarna n’entrent jamais en contact avec des antibiotiques dans leur vie. La santé des poussins est également une priorité pour Jean-Daniel Staub, dont la famille élève des poulets depuis 1963 à Cuarnens: «Les poussins provenant du nouveau couvoir me semblent plus vifs et actifs et sont restés en bonne santé, sans baisse.» Ce n’est pas un hasard, finalement les poussins passent par une sorte d’«entraînement en altitude», déjà avant leur naissance, comme l’explique Anton Grub lors de la visite. «Lors de la couvaison, aucun échange d’air n’a lieu dans le couvoir, ainsi la teneur en CO2 augmente régulièrement. C’est pourquoi, les poussins sont plus robustes. D’un point de vue biochimique, c’est comparable à l’entraînement en altitude d’un sportif de haut niveau.»
Entraînement en altitude pour des poussins de pointe
Lors de l’inauguration on peut rapidement voir que de nombreuses choses ne sont pas uniquement plus modernes et automatisées, grâce à la technologie moderne, Micarna peut également mieux contrôler l’ensemble du processus de développement embryonnaire dans l’œuf à couver. Ainsi les œufs sont couvés durant 18 jours, à 37,5 degrés Celsius, avant d’être placés dans les caisses d’éclosion pour les trois derniers jours. La température, l’humidité, la teneur en CO2 ou les fluctuations de poids des œufs sont en permanence contrôlés. Et les œufs sont constamment en mouvement durant la couvaison. «Les œufs sont légèrement remués à plusieurs reprises durant la couvaison, ce qui correspond au comportement naturel de la poule, qui les retourne régulièrement. C’est important, car sinon la partie interne de l’œuf pourrait coller à la coquille avec le placenta.» De plus, seuls les œufs dont la fréquence cardiaque indique qu’ils contiennent un poussin en vie sont couvés. Des œufs vides, donc des œufs sans embryons sont rejetés automatiquement. Le fait que Micarna couve ses propres poussins pour les éleveurs n’est pas nouveau. Le couvoir moderne à Avenches remplacera en 2019 le couvoir vieux de plus de 50 ans à Granges-près-Marnand. Situé désormais en plein milieu d’un quartier résidentiel, il atteint ses limites avec un maximum de 18 millions de poussins par an. «À Avenches, nous avons la possibilité de couver dans un premier temps 25 millions d’œufs par an», explique Jérôme Carrard, membre de la direction de Micarna. «Et le couvoir peut être élargi: théoriquement, le couvoir à Avenches pourrait contenir jusqu’à 50 millions de poussins.» Nous n’en sommes pas encore là. Surtout parce que Micarna respecte son concept de chaîne des valeurs: «Plus de poussins dans le couvoir signifie aussi plus de poules parentales dans le Vaud, qui produisent nos œufs de couvaison et plus d’éleveurs pour nos poussins.»
Les mâles et les femelles ensembles dans le poulailler
Pour Micarna et ses éleveurs, le sexe des animaux ne joue aucun rôle: pour l’élevage de poulets, aussi bien les mâles que les femelles sont élevés. «Les gens nous demandent toujours si nous tuons les poussins mâles. C’est certes un problème lié à la ponte d’œufs de poules destinés à la consommation, mais cela n’a rien à voir avec l’élevage de poulets», explique Anton Grub. La raison: Les poulets atteignent leur maturité sexuelle à 18 semaines, dans l’élevage de poulets ils sont abattus avant. «Certes les mâles et les femelles sont légèrement différents en ce qui concerne l’ingestion alimentaire, mais pas dans une mesure telle que cela serait pertinent pour un élevage.» Des éleveurs de poulets expérimentés tels que Jean-Daniel Staub, le confirment: «Un poulet sur deux chez nous dans le poulailler est un mâle. Parfois on le voit, pour d’autres, c’est plus difficile à reconnaître. Pour nous les éleveurs, ce qui est avant tout important, c’est un cheptel homogène et sain, pas le sexe.» Un contrôle sanitaire est certes effectué dans le nouveau couvoir, mais pas une détermination de sexe. Et peu importe que le poussin soit mâle ou femelle: Dans l’équipe du couvoir, nous nous réjouissons énormément lors de l’éclosion d’un poussin vital, même avec 25 millions de poussins par an. Finalement de nouvelles vies commencent à Avenches et sous les conditions les plus modernes dans la production de volaille industrielle, comme Patrice Pleyber, responsable du couvoir le constate avec joie. «Le couvoir est finalement une sorte de maternité. Cela signifie que tous les jours de nouvelles vies commencent et mon métier est une partie de ce moment. Sans passion pour le métier, on n’a rien à y faire. Lorsque je vois comment les poussins naissent et qu’ils vont bien, cela me rend très fier.»

C’est avec une petite fête que Micarna a inauguré son nouveau parc de poules parentales fin avril en Valais. 50’000 volailles y produiront 8 millions d’œufs pour l’élevage de poulets. Un projet phare pour Micarna, et un projet important pour le Valais, a déclaré le conseiller d’État Christophe Darbellay. Une visite dans l’une des installations les plus modernes d’Europe.
Qui est apparu en premier? L’œuf ou la poule? Ce n’est pas seulement une des énigmes philosophiques les plus obsédantes de l’humanité; c’est aussi l’une des questions sur lesquelles Micarna a dû se pencher lors de l’organisation de sa chaîne de valeur volaille. «Pour nous, la production de poulets ne commence pas dans l’usine de transformation à Courtepin ou à la ferme d’élevage; pour Micarna, la chaîne de valeur volaille commence beaucoup plus tôt: chez les parents, ici en Valais», explique Jérôme Carrard, membre de la direction de Micarna. Et c’est pour ces animaux que Micarna a ouvert fin avril un nouveau «parc de poules parentales» à Sierre. Ici vivent 50’000 parents, qui pondent les œufs qui seront ensuite acheminés à Avenches, au nouveau couvoir.
40% d’espace en plus
Le nouveau parc de poules parentales est en activité depuis ce printemps. Un projet phare. Un projet pionnier. Mais aussi une sorte de prototype, souligne Anton Grub, responsable du projet, lors de l’ouverture. «Nous sommes très satisfaits du fonctionnement de l’exploitation, du comportement des animaux et de la qualité des œufs. Bien sûr, tout est encore tout neuf. Pour nous aussi.» Il n’y a pas que pour les employés que tout change – pour les 50’000 volailles parentales récemment arrivées aussi. Grâce à l’agencement moderne, aux perchoirs surélevés et aux «jardins d’hiver», les poules et les coqs de Micarna disposent de 40% d’espace supplémentaire par rapport aux installations comparables. Les jardins d’hiver sont certainement une sensation, parce que les volailles à Sierre ont droit non pas à une, mais à deux zones de grattage-picorage par halle. «C’est une chose unique, non seulement en Suisse, mais aussi, à notre connaissance, dans le monde entier», explique Anton Grub. Jusqu’à présent, les volailles parentales n’avaient pas accès à des jardins d’hiver semi-extérieurs; Micarna a changé cela. «Nous souhaitons tirer parti de notre compréhension du bien-être animal tout au long de la chaîne de valeur, et cela inclut nos poules parentales du Valais, qui s’occupent quotidiennement des œufs et se trouvent ainsi au tout début de notre chaîne de valeur.»
Un climat propice à une progéniture en bonne santé
En parlant du Valais: ce n’est pas un hasard si les poules parentales Micarna ont emménagé dans le Valais. Après tout, la région est réputée pour son climat vivifiant et son hospitalité, a plaisanté le conseiller d’État Christophe Darbellay lors de son discours. Et il est bien vrai que le Valais a plus à offrir que de bons vins et de superbes pistes de ski: les conditions géographiques locales entretiennent un climat doux, et les chaînes de montagnes enserrant la vallée font qu’elle accueille peu d’oiseaux migrateurs. «C’est important, car les oiseaux migrateurs peuvent apporter des maladies», explique Anton Grub. Pour le responsable du projet, le choix de l’emplacement est donc crucial, et la mise en service du nouveau parc sera décisive pour la recherche de sites additionnels dans le canton. «Nous envisageons en effet de construire un autre parc de poules parentales, comme celui de Sierre. Grâce à ce projet pionnier, nous pourrons montrer au public à quoi ressemblent de telles installations, et ce que nous faisons en termes d’émissions de gaz et de bien-être animal.» Deux aspects importants, notamment dans les débats politiques, reconnaît Christophe Darbellay. «L’utilisation durable de nos terres nécessite de trouver un équilibre entre le progrès économique et la préservation de la nature, de notre région. Les solutions novatrices sont donc indispensables. Nous devons trouver des moyens de faire bon usage de nos ressources limitées.»
Pour nos volailles, l’architecture, c’est plus que de simples halles
Selon le conseiller d’État valaisan, ce parc de poules parentales est un exemple de gestion judicieuse et responsable des ressources, qui contribue par ailleurs au développement économique de la région. Le parc de volailles parentales de Micarna est situé dans la zone industrielle de Sierre. «La production d’œufs à couver ne relève pas de la réglementation agricole», explique Anton Grub. «D’une part, cela signifie que nous n’artificialisons pas des terres arables, et d’autre part que nous ne recevons pas de subventions publiques.» Le parc est donc plus une activité industrielle que fermière. Néanmoins, les 11’500 poules et 1’000 coqs qui vivent désormais dans chaque halle du parc reçoivent des soins complets. «Outre les halles pour les volailles, l’installation comprend un atelier et un bâtiment administratif, ainsi qu’un appartement pour le personnel. C’est important, car nous sommes responsables du bien-être de ces animaux – jour et nuit, et bien sûr le week-end aussi!» Cet attachement au bien-être animal était également une nouvelle expérience pour l’architecte Pierre-Antoine Masserey, spécialiste des constructions industrielles. «Je ne m’étais jamais intéressé d’aussi près aux besoins des poulets que ces derniers mois», sourit cet architecte expérimenté, tout en soulignant la complexité d’un tel projet. «La compréhension du bien-être des animaux est une chose, la prévention des émissions en est une autre. Dans un tel projet, il y a d’innombrables éléments à considérer simultanément.»
Un fumier de poulet riche en nutriments et des poussins en bonne santé
Pour limiter autant que possible les émissions de gaz, l’architecte et Micarna ont expérimenté quelques solutions inédites. Par exemple, la ventilation en tunnel garantit l’aération jusqu’au fond de la halle. Là, l’air est purifié plusieurs fois par des biofiltres et des filtres à poussière. De plus, un mécanisme sous les grilles transporte automatiquement les excréments jusqu’au bout de la halle, où ils sont séchés, puis ensuite transportés à Saillon, chez Optisol. Cette filiale de Micarna utilise en effet du fumier de poule pour produire des engrais agricoles et viticoles. Tandis que les déjections des poules sont ainsi réintroduites dans l’agriculture, les huit millions d’œufs pondus chaque année à Sierre sont acheminés à Avenches, dans le nouveau couvoir de Micarna. Et même si nous n’avons pas résolu la question fondamentale de l’œuf et la poule, Micarna a depuis longtemps trouvé une réponse en Valais pour sa propre chaîne de valeur: tout commence avec des parents sains et robustes.

La nouvelle unité de cuisson et de coloration des œufs de Lüchinger + Schmid a officiellement ouvert ses portes lors de la semaine sainte, et ce, juste à temps pour célébrer la fête de Pâques. 25 millions d’œufs sont cuits et colorés chaque année à Flawil.
Pâques est désormais derrière nous. Au cours des derniers jours, des centaines, ou plutôt des milliers d’œufs ont été cachés et (espérons-le) trouvés dans les jardins de Suisse. À aucune autre époque de l’année, nous ne consommons autant d’œufs cuits et colorés qu’à Pâques. Une fête à l’occasion de laquelle les usines de teinture d’œufs suisses tournent à plein régime. C’est également le cas pour la nouvelle usine de teinture d’œufs de Lüchinger + Schmid à Flawil. Officiellement inaugurée peu avant Pâques, les premières semaines ont été intenses pour ce spécialiste des œufs. Environ la moitié des 25 millions d’œufs cuits et colorés chaque année à Flawil sont produits au cours des dix semaines précédant la fête de Pâques. Une véritable performance organisationnelle qui marque l’avènement de cette nouvelle ère. «Cela me rend incroyablement fier que notre entreprise, qui fait partie des leaders du secteur des œufs en Suisse, cuise et colore à nouveau ses œufs par ses propres moyens», a déclaré Daniel Rüegg au cours des célébrations. Le directeur de l’entreprise n’a pas manqué d’adresser ses remerciements aux collaborateurs du département de production. «Le travail que vous avez fourni au cours des derniers jours et des dernières semaines est impressionnant. Nous ne nous sommes pas contentés de mettre en service notre nouvelle usine de teinture d’œufs au début de l’année, nous avons également su relever le défi de l’intense période d’activité pascale en mettant en place plusieurs équipes de travail.»
L’individualité supplante l’efficacité
Une joie que partage également Albert Baumann, responsable du segment 1 de l’industrie M. «Depuis presque deux ans, Lüchinger + Schmid fait partie de notre groupe. Et bien qu’au début, de nombreuses voix se sont élevées pour se demander ce qu’un spécialiste de la viande pouvait bien avoir de commun avec un spécialiste des œufs, nous pouvons constater aujourd’hui tout ce qui nous rassemble au-delà de ce produit. L’attachement à la tradition, à nos origines, et la confiance en notre chaîne de valeur sont autant de thèmes essentiels à nos deux entreprises.» Avec sa quarantaine d’invités, Albert Baumann a profité de l’occasion pour sillonner les couloirs de la nouvelle usine de teinture d’œufs. Lors d’une visite organisée des installations de production, les invités et les médias ont pu observer le fonctionnement de l’usine de teinture en période pré-pascale, et notamment celui des 78 petits pistolets à peinture qui décorent chaque œuf individuellement. «Avec la coloration par pulvérisation, nous pouvons colorer 12’000 œufs par heure», explique Daniel Rüegg. La teinture au rouleau constitue le deuxième procédé de teinture des œufs disponible. «Les œufs ne sont alors pas pulvérisés individuellement avec de la peinture, mais roulés sur des nattes imbibées de peinture. Même si cette méthode est beaucoup plus rapide, en nous permettant de colorer jusqu’à 16’000 œufs par heure, la coloration par pulvérisation reste largement préférée à la teinture au rouleau.» Environ 80 pour cent des œufs de Lüchinger + Schmid sont teintés individuellement à l’aide du procédé de coloration par pulvérisation, alors qu’à l’étranger, les producteurs d’œufs colorés utilisent presque exclusivement la teinture au rouleau. «Les consommateurs suisses apprécient l’individualité de chaque œuf, la diversité des motifs et le panaché de couleurs», estime le spécialiste des œufs.
Un filtre bio assure la pureté de l’air
Fait encore plus important que la méthode de coloration : les œufs sont teintés immédiatement après leur cuisson. «D’une part, nous utilisons des colorants alimentaires qui adhèrent mieux à l’œuf chaud, et d’autre part la teinture des œufs vise à protéger l’œuf», explique Daniel Rüegg. La cuisson de l’œuf entraîne l’élimination de la couche protectrice externe de l’œuf. Des bactéries risquent alors de pénétrer à travers les pores. Pour éviter un tel désagrément, les œufs sont scellés avec la peinture, et ce, directement après le processus de cuisson.» Environ 50 tonnes de peinture sont utilisées à Flawil. La manipulation de telles quantités de peinture a également une influence sur la conception technique du nouveau bâtiment, comme l’a souligné Daniel Küpfer lors de son discours. «Il s’agissait de concevoir cette nouvelle usine de teinture d’œufs en se demandant ce qu’il adviendrait de l’éthanol contenu dans les peintures. Nous disposons toujours de deux options: soit on s’en tient aux prescriptions légales, soit on va au-delà en élaborant nos propres règles encore plus strictes.» Avec le projet à Flawil, Lüchinger + Schmid a opté pour un chemin résolument tourné vers l’avenir. La nouvelle installation se distingue notamment par son biofiltre, utilisé pour la purification de l’air. «Après une première étape de purification de l’air au moyen d’un laveur d’air qui débarrasse l’air de ses particules de peinture solides et des COV avec un taux de dégradation de 82 pour cent, le biofiltre installé sur le toit, composé d’environ 350 mètres cube de copeaux de bois, permet à son tour d’atteindre un taux de dégradation de 75 pour cent», explique le directeur du bureau d’études Schiess ITI chargé de la construction de la nouvelle usine de teinture d’œufs.
À Pâques et tout au long de l’année
Avec un air pur évacué dans l’environnement et une peinture sans danger pour l’œuf, rien ne peut empêcher la nouvelle usine d’assurer une fête de Pâques riche en couleurs. Mais qu’adviendra-t-il au juste de la nouvelle usine une fois les célébrations pascales terminées? Les équipements seront-ils remisés en attendant l’année prochaine? «Nous produirons des œufs durs colorés tout au long de l’année», souligne Daniel Rüegg. Il s’agit là d’un aspect essentiel, en particulier pour les habitants de la commune. En effet, grâce à sa nouvelle usine de teinture d’œufs, Lüchinger + Schmid a créé environ deux douzaines d’emplois. «On est toujours heureux de voir des entreprises industrielles s’implanter sur un site de la région», confie le président de commune de Flawil, Elmar Metzger. «Et Lüchinger + Schmid est un producteur de denrées alimentaires orienté vers l’avenir: il y aura toujours de quoi nous nourrir.» L’ouverture de l’usine de teinture d’œufs a permis à Lüchinger + Schmid de créer plus de deux douzaines d’emplois. Et même si, le reste de l’année, une seule équipe de travail œuvrera au sein de l’usine, au lieu de deux en période pascale, il reste suffisamment à faire. En effet, à Flawil, on ne se contente pas de cuir et de colorer des œufs. Ceux-ci sont également classés, contrôlés et emballés pour être commercialisés comme œufs de consommation. 80 millions d’œufs sont transformés à Flawil chaque année. Ceux qui pensent que le lapin de Pâques se retrouve au chômage technique au simple prétexte que les fêtes de Pâques sont désormais terminées se trompent. Ses assistantes et assistants de l’usine de Flawil continuent à œuvrer tout au long de l’année pour faire de votre rayon œufs un univers resplendissant de couleurs.
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Lüchinger + Schmid en bref
Lüchinger + Schmid est le leader suisse de la production d’œufs et de produits à base d’œufs. Près de 120 collaborateurs travaillent quotidiennement dans les secteurs de l’achat, de la production et de la logistique de l’entreprise, où ils font preuve d’une compétence sans égale. Lüchinger + Schmid transforme plus d’un million d’œufs par jour. Chaque œuf est pesé, examiné à la lumière et contrôlé dans les moindres détails. Que l’œuf provienne d’un élevage bio ou d’un élevage en plein air, qu’il soit suisse ou européen, sa traçabilité est garantie jusqu’à la ferme. Des labels tels que «Swiss Certified» ou des concepts tels que «L’œuf avec le cœur» caractérisent la qualité des produits de Lüchinger + Schmid et la conception que l’entreprise se fait du bien-être animal. Reprise en 2015 par M-Industrie dans le cadre d’un règlement de la succession, l’entreprise a tout d’abord été dirigée par Saviva; puis, dans un second temps, le secteur de la production et de la transformation a été intégré dans le Segment 1 de M-Industrie. D’un point de vue juridique, Lüchinger + Schmid est une filiale indépendante et a rejoint la Business Unit Volaille sous son propre nom.

La commission du personnel de Micarna Courtepin remet un chèque de près de 3900 francs à l’association Sport Handicap Fribourg. Le produit de la fête du personnel permettra de soutenir des personnes atteintes d’un handicap mental, sensoriel ou physique avec pour objectif de leur proposer une activité sportive bénéfique.
Le sport. Pour nous, il est synonyme d’esprit de compétition, de détente et d’équilibre – il permet de faire le vide après une longue journée de travail ou de retrouver ses amis. Le sport, une forme de plaisir. Mais pour les personnes atteintes d’un handicap mental, sensoriel ou physique, les obstacles sont souvent nombreux lorsqu’il s’agit d’intégrer une équipe pour pratiquer un sport. Et c’est justement dans ce contexte que l’association Sport Handicap Fribourg peut apporter son aide. «Nous souhaitons offrir à nos membres la possibilité de pratiquer une activité sportive bénéfique. Ils doivent pouvoir se défouler et se dépasser malgré leur handicap. Ils doivent se sentir intégrés au sein d’une équipe et prendre du plaisir», explique le président de l’association Hans Zurkinden.
Le sport, bien plus qu’un simple exercice physique
Une contribution précieuse à l’intégration de personnes qui souhaitent vivre avec la plus grande autonomie possible, apporter leur pierre et participer à la vie sociale de la communauté – une contribution que Micarna soutient elle aussi. La commission du personnel de Micarna Courtepin a décidé de faire don à l’association du produit de la vente de boissons généré lors de la fête du personnel de cette année. «Quand on voit le plaisir et l’ambition avec laquelle ces personnes pratiquent une activité sportive, leur détermination et leur goût pour l’effort ou simplement le bonheur qu’ils ressentent à faire partie d’une équipe, leur joie est contagieuse», souligne Alain Thalmann, président de la commission du personnel de Micarna Courtepin.
Soutien bénévole et financier
Ce bonheur n’est possible que grâce à l’engagement des collaborateurs et membres de l’association et bien sûr, grâce au soutien financier des donateurs. «Non seulement les bénévoles de Sport Handicap Fribourg proposent à leurs membres un équilibre physique, mais ils apportent également une contribution importante en faveur de leur intégration. Nous sommes heureux de pouvoir soutenir ce travail si important avec le produit de la fête du personnel.» Le chèque d’un montant de près de 3900 francs a été remis à l’association lors d’un petit apéro organisé chez Micarna Courtepin.
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L’association Sport Handicap Fribourg en bref
Sport Handicap Fribourg s’engage en faveur des jeunes et adultes atteints d’un handicap physique, sensoriel ou mental afin de leur permettre de pratiquer une activité sportive bénéfique. Dans ce contexte, ses activités se concentrent sur le partage et le plaisir apporté par le sport. L’association offre à ses membres des possibilités diversifiées de faire de l’exercice. Un exercice régulier stimule de nombreuses fonctions corporelles. Le sport améliore l’équilibre, la coordination, la force et la condition physique. Pour les membres, cela implique une plus grande autonomie, une meilleure santé, un plus grand bien-être et ainsi une intégration plus facile au sein de leur environnement et de la société en général. Sport Handicap Fribourg est une association apolitique et laïque à but non lucratif créée en 1959 qui propose l’offre sportive la plus étendue pour les personnes souffrant d’un handicap dans le canton de Fribourg.
Micarna en bref
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,7 milliard de francs en 2018.

Le mardi 16 avril 2019, le spécialiste de l’œuf Lüchinger + Schmid ouvrira la nouvelle usine de coloration à Flawil. L’événement a lieu la semaine de Pâques. Les représentants des médias sont cordialement invités. En raison du nombre prévu de participants, l’inscription est obligatoire jusqu’au 12 avril.
C’est l’un des plus grands secrets de l’humanité: qui aide le lapin de Pâques avec ses nombreux œufs colorés? Depuis le printemps 2019, le lapin de Pâques reçoit le soutien de Lüchinger + Schmid. Le producteur d’œufs ouvre sa nouvelle teinturerie à Flawil. Environ 25 millions d’œufs sont cuits et colorés chaque année, dont la moitié dans les semaines précédant Pâques. «Par tradition, nous colorons nos œufs surtout à Pâques», explique Daniel Rüegg, chef d’entreprise.
Rendement de roulement
Par ailleurs, le fait que les œufs soient colorés a aussi une raison pratique: «Quand on fait bouillir un œuf, on enlève la couche protectrice la plus externe. L’œuf n’est plus aussi bien protégé et les bactéries peuvent pénétrer.» Afin que les consommateurs puissent compter sur un produit sain et de qualité même après la cuisson, les œufs durs sont scellés avec de la peinture directement après la cuisson. Les œufs de Flawil ne sont pas peints au pinceau par la suite. Vaporisé ou roulé. La coloration au rouleau est considérée comme l’une des méthodes de coloration les plus efficaces ; par conséquent, presque tous les œufs sont roulés à l’échelle internationale en couleur au lieu d’être colorés. «Dans la teinture au rouleau, nous enroulons jusqu’à 16 000 œufs par heure sur des tapis de caoutchouc mousse imbibés de couleur «, explique Dominik Gmür, directeur de production.
Une individualité qui gicle
Bien que la plupart des œufs puissent être colorés avec cette coloration au rouleau, en Suisse, l’aspect est plus important que l’efficacité: «Près de 80 pour cent de nos œufs sont colorés avec la coloration par pulvérisation. On peut teindre moins d’œufs ici, mais on a plus d’options.» Dans la coloration par pulvérisation, 78 petits pistolets à peinture permettent d’obtenir un motif individuel sur l’œuf. «On peut teindre un peu moins de 12 000 œufs par heure. C’est moins qu’avec la teinture au rouleau, mais il n’y a guère de limites à l’imagination», souligne Dominik Gmür. «Pendant que les œufs sont amorcés dans la première station, jusqu’à quatre couleurs superposées peuvent être pulvérisées dans les deuxième et troisième stations.» Et qu’elle soit roulée ou pulvérisée, la peinture est inoffensive pour le consommateur: seul le colorant alimentaire est utilisé,
Taches de couleur pour les professionnels des médias
Nous vous invitons cordialement à l’inauguration officielle de l’usine de teinture d’œufs de Lüchinger + Schmid afin de jeter un coup d’œil dans les coulisses du nouvel assistant du lapin de Pâques. L’événement aura lieu le mardi 16 avril entre 16 h et 18 h sur le site de production de Flawil. Entre autres choses, des visites des installations de production auront lieu et des experts seront disponibles pour des demandes de renseignements ou des entrevues (après l’événement officiel). Outre des représentants de Lüchinger + Schmid, de M-Industrie et de Migros, l’architecte Daniel Küpfer ainsi que des représentants politiques, entre autres le président communal Elmar Metzger et les deux conseillers communaux Pascal Bossart et Markus Lichtensteiger se sont inscrits à Flawil.
Le nombre de places étant limité, les inscriptions pour l’ouverture et les demandes d’interviews spécifiques (interviews 1 à 1) doivent être soumises par écrit au service de presse avant le 12 avril. Les inscriptions ultérieures ne seront pas prises en compte pour un trop grand nombre d’inscriptions.
- Mardi 16 avril 2019
- 16 h à 18 h
- Toggenburgerstrasse 23, 9230 Flawil
Lüchinger + Schmid en bref
Lüchinger + Schmid est le leader suisse de la production d’œufs et de produits à base d’œufs. Près de 120 collaborateurs travaillent quotidiennement dans les secteurs de l’achat, de la production et de la logistique de l’entreprise, où ils font preuve d’une compétence sans égale. Lüchinger + Schmid transforme plus d’un million d’œufs par jour. Chaque œuf est pesé, examiné à la lumière et contrôlé dans les moindres détails. Que l’œuf provienne d’un élevage bio ou d’un élevage en plein air, qu’il soit suisse ou européen, sa traçabilité est garantie jusqu’à la ferme. Des labels tels que «Swiss Certified» ou des concepts tels que «L’œuf avec le cœur» caractérisent la qualité des produits de Lüchinger + Schmid et la conception que l’entreprise se fait du bien-être animal. Reprise en 2015 par M-Industrie dans le cadre d’un règlement de la succession, l’entreprise a tout d’abord été dirigée par Saviva; puis, dans un second temps, le secteur de la production et de la transformation a été intégré dans le Segment 1 de M-Industrie. D’un point de vue juridique, Lüchinger + Schmid est une filiale indépendante et a rejoint la Business Unit Volaille sous son propre nom.

La commission du personnel de Micarna a remis un chèque d’un montant de 2000 francs à la Fondation Säntisblick.
La commission du personnel de Micarna a remis un chèque d’un montant de 2000 francs à la Fondation Säntisblick. Le bénéfice de la fête du personnel de cette année revient ainsi à une institution qui soutient des personnes souffrant d’un handicap mental. Les groupes d’habitation, les ateliers et le magasin de la fondation Säntisblick se trouvent à Degersheim.
Être fier de ce que l’on fait, apprécier son ouvrage, avoir du plaisir à travailler: une intégration professionnelle réussie est très importante pour tous. Le travail permet non seulement de mener une vie autonome, mais aussi de participer à la vie en société et d’échanger. Cette participation, qui est primordiale tout particulièrement pour les personnes handicapées mentales, ne va pas toujours de soi. La fondation Säntisblick s’emploie à la favoriser. «Les personnes en situation de handicap sont pour nous des partenaires égaux et à part entière de la société», souligne Jean-Luc Villing, directeur de la fondation. «Notre fondation se voit comme un prestataire de services et un représentant des intérêts de ces personnes, comme un centre de compétence et un réseau vivants pour adultes handicapés. L’autodétermination, la responsabilité individuelle et la participation active sont les maîtres-mots de notre vision.»
Se faire plaisir mutuellement
Micarna soutient cet engagement en faveur de l’intégration de personnes désireuses de vivre de manière aussi autonome que possible, qui veulent apporter leur propre contribution et participer activement à la vie sociale. La commission du personnel de Micarna a décidé de verser la recette de la vente de boissons lors de la fête du personnel de cette année à la fondation d’utilité publique. «Le plaisir de voir les résidents et résidentes au travail, l’identification avec leurs projets sont contagieux», explique Robert Wild, vice-président de la commission du personnel de Micarna. Que le don à la fondation Säntisblick provienne de la recette de la fête du personnel est à son sens tout à fait approprié: «La soirée du personnel est l’occasion pour nous, collaborateurs et collaboratrices de Micarna, de faire la fête, de nous faire plaisir et de partager ce plaisir entre nous. Il est bon que nous puissions maintenant transmettre une part de ce plaisir à d’autres.»
Un propre magasin à Degersheim
Mission réussie à voir les visages réjouis lorsque Robert Wild remet le chèque de 2000 francs à Jean-Luc Villing et son adjoint Dieter Köppel dans le cadre d’un petit apéro. «Nous sommes très heureux de votre invitation à Micarna et bien sûr aussi de votre don», confie le directeur d’institution. «Peut-être que des collaborateurs et collaboratrices de Micarna nous rendront visite un jour à Degersheim et passeront dans notre magasin. Nos collaborateurs et collaboratrices se réjouissent de chaque visite.» Sis à la Hauptstrasse 84, à Degersheim, le magasin de la fondation Säntisblick est vite trouvé et facilement accessible en transports publics. Un grand nombre de produits peuvent aussi être achetés dans la boutique en ligne de la fondation.
La fondation Säntisblick en bref
La «Stiftung Säntisblick» est une fondation d’utilité publique qui offre à des personnes adultes en situation de handicap mental un logement, un cadre de vie et du travail. Elle défend leurs intérêts et s’engage pour leur intégration dans la société. Les places en foyer et en appartements protégés ainsi que les ateliers de la fondation se trouvent à Degersheim. À l’heure actuelle, 100 personnes handicapées mentales y vivent et y travaillent; 31 habitent à la maison et viennent travailler à l’atelier pendant la journée. La fondation Säntisblick emploie 110 personnes pour 72 postes à plein temps dont 13 places de formation et 4 places de stage.
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.
2018

Le nouveau parc de poules parentales de Micarna à Sierre se compose de quatre halles, toutes agrémentées d’un jardin d’hiver, d’un atelier, d’un bâtiment administratif et d’un logement destiné à un spécialiste.

Pour la première fois au monde, les poules parentales obtiennent l’accès à un jardin d’hiver pour les poulets de chair. Dans chaque halle à Sierre, il y en a même deux, de telle sorte que les animaux puissent circuler dans un secteur au climat extérieur d
Le nouveau parc de poules parentales à Sierre est un projet exemplaire: pour la première fois dans l’histoire des poulaillers, les poules parentales reçoivent une aire à climat extérieur. 50 000 poules parentales vivront ici dès 2019. Avant que les poules et les coqs n’emménagent, les journalistes auront la possibilité de jeter un coup d’œil dans les coulisses de l’un des parcs de poules parentales les plus modernes au monde.
L’environnement pittoresque est la première chose qui saute aux yeux lorsque l’on visite le nouveau parc de poules parentales de Micarna à Sierre. Incorporées dans les vignobles du Valais, les quatre halles sont protégées entre les voies ferrées de la ligne Simplon et la rue principale en plein milieu du quartier industriel, mais bénéficient d’une vue unique. Une vue qui devrait moins intéresser les futurs habitants du parc, certes, mais le site du nouveau parc exemplaire a été choisi intentionnellement. En effet, dans ces quatre halles de plus de 2000 mètres carrés chacune, vivront à partir de 2019 les poules et les coqs qui pondront les œufs pour le poulailler. «Et le Valais est idéal pour les poules parentales», explique Anton Grub, responsable du projet. «Non pas parce que nos poules parentales aiment le vin du Valais, mais parce que l’environnement naturel local les protège.» Le Valais joue ainsi depuis toujours un rôle central dans l’histoire cinquantenaire de la chaîne de valeur «volaille» Micarna. «Le climat sec est d’une part bon pour la santé de nos animaux, et il n’y a ici d’autre part que peu d’oiseaux migrateurs et sauvages qui peuvent être porteurs de maladies», explique l’homme de 58 ans.
Nouveauté: aire à climat extérieur dans la production d’œufs à couver
Le fait que les 50 000 animaux qui vont emménager dans le parc de poules parentales auront accès à leur propre jardin d’hiver est notable. Une nouveauté, pas seulement en Suisse. «À notre connaissance, nous sommes les seuls au monde dans le secteur de la production d’œufs à couver à permettre un accès à un jardin d’hiver», confirme Anton Grub. Pour le responsable de projet, cela signifie que l’on ne fait pas que parler du bien-être des animaux, mais que l’on peut intégrer ce principe durablement dans un site de production. «Nous connaissons les jardins d’hiver chez les poules pondeuses, à Micarna nous connaissons aussi les jardins d’hiver près du poulailler, où tous les animaux qui vivent dans des fermes équipées de telles aires à climat extérieur appartiennent à la marque Optigal. Les poules parentales qui pondent les œufs n’ont accès à de l’air frais sous cette forme dans aucune autre exploitation.» Ceci change avec le nouveau parc exemplaire à Sierre. Les animaux bénéficient ici non pas d’un, mais de deux jardins d’hiver, Chaque animal de la halle se voit offrir l’accès à une aire de climat extérieur. Avec 12 500 poules et 1500 coqs répartis dans toute la halle, un seul jardin d’hiver serait éventuellement trop peu pour garantir que tous les animaux y aient effectivement accès. Grâce à ce jardin d’hiver, à la taille globale du poulailler ainsi qu’aux nids spacieux, les poules parentales de Micarna disposent de 40 pour cent de plus de place que leurs congénères dans des installations de production comparables en Europe.
Concurrence: comment des coqs âgés reprennent des forces
Outre la place, ce sont surtout des particularités techniques qui fascinent les visiteurs: des systèmes d’alimentation qui séparent les mâles des femelles lors des repas ou des installations de nébulisation qui garantissent un peu de fraîcheur pendant les journées chaudes de l’été. Il y a là aussi quelques petites astuces pour requinquer les mâles fatigués au cours du processus de couvaison. «Au bout d’un an, lorsque le taux d’œufs fécondés baisse, nous introduisons quelques jeunes coqs dans le poulailler. Cela motive les groupes existants car les coqs plus âgés reprennent du courage et veulent montrer ce qu’ils sont encore capables de faire», explique Anton Grub. C’est parfois difficile lorsque l’on est responsable de huit millions d’œufs à couver par an. Outre les trucs et astuces pour que les poules parentales gardent le moral, ce sont les installations modernes responsables de la répartition des aliments, du transport des œufs fécondés et de l’évacuation des fientes et de la poussière qui impressionnent. L’image interne de l’installation est elle aussi impressionnante: Les halles sont claires et modernes. Pierre-Antoine Masserey, l’architecte, confirme que ce n’est pas un hasard: «La structure portante du bâtiment est constituée de bois certifié d’origine suisse. Lors de la construction, nous avons intentionnellement fait le choix de plus de bois, de chaleur et de lumière et renoncé aux blocs de béton. Les constructions en bois rendent le parc plus chaleureux, accessible et offre plus de lumière aux animaux également.»
Écologie: de la chaleur du poulailler à l’air pur des environs
Tous les aspects de bien-être animal ainsi que les aspects écologiques ont été considérés dans le nouveau parc de poules parentales. En effet, penser uniquement au bien-être des animaux lors de la phase conceptuelle de ce projet aurait été trop superficiel. Une attention particulière a été accordée à l’utilisation des ressources ou de la limitation des émissions. «Le thème de l’écologie devient de plus en plus important dans un tel projet. Cela commence par l’isolation qui, du sol au toit en passant par la façade, répond aux normes européennes, puis s’étend à un concept d’éclairage comprenant des installations LED à faible consommation électrique, pour finir avec une production de chaleur durable grâce à une pompe de chaleur», explique Pierre-Antoine Masserey. L’air frais des jardins d’hiver qui rentre dans les halles est de plus soit tempéré soit refroidi dans des zones tampons à l’extérieur. À Sierre, l’air qui pénètre dans la halle est filtré et aucune bouffée d’air vicié n’est rejetée, et ce grâce à une ventilation en tunnel. «Ceci permet de nettoyer l’air des halles en arrière plan grâce à des filtres à poussière et des biofiltres», explique l’architecte qui confirme ainsi aux journalistes présents que les restes d’émissions sont aussi minimes que possible.
Engrais: les fientes de poules comme matériel fertile pour l’agriculture
Un avantage majeur du nouveau parc de poules parentales, selon Anton Grub, responsable du projet. Micarna comptera à l’avenir en effet sur d’autres parcs de la région et est donc à la recherche d’autres sites. Elle se heurte parfois au scepticisme de la population. «Surtout parce que la plupart des personnes ne connaissent pas ce genre de halles et parce qu’elles ne savent pas de quelles possibilités techniques elles disposent aujourd’hui», explique l’agronome. Cette problématique peut être clairement réfuté à l’aide de l’exemple de Sierre. «Nous avons ici l’opportunité de prouver qu’une telle technique d’élevage sera durablement possible à l’avenir, non seulement en considérant le bien-être des animaux, mais aussi par rapport aux émissions.» Ceci est dû, selon le responsable du projet, au fait que l’on intervient avant même l’apparition d’éventuelles émissions. «Nous surveillons donc déjà les endroits où des odeurs pourraient apparaître et non plus tard lorsqu’elles sont sur le point d’être rejetées.» Le meilleur exemple est la ceinture pour fumier installée juste en dessous des grilles-perchoirs des poules dans le parc de poules parentales. «Les fientes des animaux sont ainsi transportées automatiquement jusqu’à l’extrémité de la halle, ce qui diminue déjà au maximum les émissions d’ammoniaque, et ce dès le poulailler.» Arrivées à l’extrémité de la halle, les fientes sèchent avant d’arriver à Optisol: la fabrique d’engrais de Micarna. Pendant que les fientes de volaille deviennent un engrais agricole intégré à la chaîne de valeur «volaille» dans le Valais, les œufs à couver arrivent à Avenches dans la nouvelle écloserie. Le voyage des poussins du Valais fraîchement éclos vers des fermes partenaires dans toute la Suisse commence.
Remarque: une journée portes ouvertes officielle est prévue à Sierre fin avril 2019. Les visiteurs intéressés pourront ainsi aussi jeter un coup d’œil dans le parc de poules parentales. Ce ne sera plus vraiment dans les coulisses car les poules pondeuses se seront déjà installées dans le parc à cette date. Les intéressés obtiendront cependant un premier aperçu de l’un des parcs de poules parentales les plus modernes d’Europe.
- Tous les informations et des images sur le nouveau parc de poules parentales sont disponibles à l’adresse suivante: http://bit.ly/elterntierpark
- Un film sur le projet peut être trouvé sûr: https://youtu.be/vqFy2-9OMIc
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Les poussins ont accès à de l’eau et de la nourriture directement après l’éclosion. De plus, le compartiment d’éclosion est éclairé, ce qui simplifie l’accès à l’eau et à la nourriture.

A partir de 2019, 25 millions de poussins verront le jour chaque année dans le nouveau couvoir Micarna d’Avenches. Il s’agit du couvoir le plus moder ne de Suisse.
Avant la mise en exploitation officielle de son nouveau couvoir l’an prochain, Micarna permet aux journalistes de jeter un coup d’œil dans les coulisses de l’écloserie la plus moderne de Suisse. Elle présente à Avenches une façon de ne pas se contenter de parler de bien-être animal, mais aussi de procéder dans le secteur actuel, y compris avec des projets pionniers.
A première vue, la technologie de pointe est omniprésente dans le nouveau couvoir de Micarna. Il y a bien sûr les installations photovoltaïques sur le toit, mais aussi l’équipement à l’intérieur du bâtiment. Le couvoir le plus moderne de Suisse a été construit l’an dernier à Avenches, dans le canton de Vaud. Il est au top de la technique en matière d’énergie, mais aussi dans le domaine du bien-être animal. «C’est le premier couvoir de Suisse à être équipé de la technologie d’incubation innovante Hatch Tech, explique Anton Grub, chef de projet chez Micarna. Pour la première fois, les poussins destinés à devenir des poulets reçoivent de la lumière, de l’eau et de la nourriture dès leur sortie de l’œuf.» C’est surtout ce processus qui intéresse les représentants des médias invités à visiter le chantier à Avenches. La visite des installations du couvoir où naîtront 25 millions de poussins par an dès l’année prochaine permet aux journalistes d’obtenir un aperçu exceptionnel des coulisses de la plus grande écloserie de Suisse.
De la place, de la lumière, de l’eau et de la nourriture dès les premiers instants
Après des informations d’ordre général fournies par Philippe Messer, directeur du secteur volailles chez Micarna, et par Anton Grub, chef de projet, sur le développement de la chaîne de valeur volaille et sur l’importance du nouveau couvoir, Joost ter Heerdt, représentant de l’entreprise Hatch Tech, a suscité un vif intérêt en expliquant dans un allemand soigné mâtiné d’un léger accent néerlandais ce que vivront les poussins dans le nouveau couvoir. Alors que, dans tous les autres couvoirs de Suisse, les poussins nouveaux-nés sont rassemblés dans une caisse avant de recevoir de l’eau et de la nourriture, les poussins du nouveau couvoir Micarna profiteront d’un début de vie beaucoup plus naturel. «Auparavant, il pouvait s’écouler 24 à 36 heures entre la naissance du premier poussin et l’éclosion du dernier œuf. Les premiers poussins devaient attendre que tous les autres soient nés. Grâce à cette technologie innovante que nous mettons en place ici, les poussins tombent directement quelques centimètres plus bas dans une claie où ils disposent de lumière, d’eau et de nourriture. Et ils ont de l’espace pour bouger», raconte Joost ter Heerdt. Ce spécialiste des œufs à couver se réjouit de pouvoir mettre en œuvre un tel projet en Suisse avec Micarna. «On remarque qu’ici, le bien-être animal et l’écologie sont importants. On ne se contente pas de parler, on agit véritablement pour les animaux et l’environnement.»
Moins de stress pour rejoindre leur nouveau foyer
L’autre grand avantage de cette nouvelle technologie selon Anton Grub, est le fait que les animaux n’ont plus besoin d’être transférés après leur naissance. «Nos animaux arrivent à la ferme le jour-même dans la caisse où ils sont nés.» C’est une nouveauté. Dans les couvoirs traditionnels, les poussins doivent d’abord être triés à la main, nettoyés de leurs coquilles et répartis dans les caisses de transport. «Dans nos nouveaux couvoirs, nous pouvons non seulement offrir un début de vie plus naturel, mais aussi épargner beaucoup de stress aux poussins sur le chemin de la ferme.» Pour le chef de projet, outre les aspects de bien-être animal, les questions énergétiques sont aussi importantes. «Par exemple, nous utilisons l’évacuation d’air des couveuses à 37 degrés pour réchauffer l’air entrant. Ou encore, nous récupérons l’énergie de refroidissement au moyen d’une pompe à chaleur pour la réinjecter dans le circuit de chauffage.» De plus, un dispositif photovoltaïque sur le toit couvre les besoins en énergie de la totalité du couvoir. Il peut même être étendu si nécessaire à l’avenir.
Pieux, dispositifs photovoltaïques et couveuses spécifiques
Un projet d’une telle ampleur comporte de nombreux aspects à prendre en considération, notamment pour un architecte comme Vincent Spicher. S’il a déjà réalisé plusieurs bâtiments industriels dans le cadre de son cabinet «Atelier d’architectes», c’était la première fois qu’il était confronté à tant d’aspects spécifiques à Avenches. «Le processus de réalisation d’un tel projet est toujours identique, mais il a fallu ici tenir compte de nombreuses facettes. Cela commence par le bâtiment, continue avec les questions d’énergie et va jusque dans l’agencement intérieur, car il ne s’agit pas d’accueillir des produits industriels mais des créatures vivantes: des animaux naissent ici.» C’est ce dernier point qui a eu beaucoup d’influence sur le projet. L’architecte a été impressionné par la technologie mise en œuvre dans le couvoir. «Jusqu’à ce projet, j’ai peu eu affaire aux poules, et je n’avais aucune idée de la façon dont un poussin vient au monde. Le simple fait qu’ici, tous les œufs soient examinés après la précouvée pour vérifier le rythme cardiaque et la vitalité avant d’engager la couvée m’a étonné.» Le bâtiment en lui-même a été un petit défi: «Nous nous trouvons ici dans une zone traditionnellement marécageuse. Etant donné la faible portance du sol tourbeux, nous avons dû appuyer le bâtiment sur une dalle en béton armé supportée par 210 pieux de 15 mètres. C’est un petit chef-d’œuvre. Après une si longue période de préparation et de construction, je me réjouis que ce bâtiment accueille bientôt la vie.»
Tout préparer pour l’accueil de 25 millions de poussins
L’attente touche à sa fin pour Vincent Spicher et tous les acteurs de ce projet. Micarna lancera les premiers tests en fin d’année. L’entreprise prendra des œufs de l’ancien couvoir de Granges-près-Marnand pour tester tous les équipements. «Beaucoup d’installations sont neuves. Nous souhaitons nous assurer que tout fonctionne parfaitement pour le début de l’année prochaine», souligne Anton Grub. L’an prochain, le nouveau couvoir remplacera le bâtiment existant. A partir de ce moment-là, 25 millions de poussins verront le jour dans les quelque 14’000 mètres carrés aménagés pour eux. Le bâtiment a été conçu pour doubler la quantité de poussins à long terme, sans oublier d’impliquer l’autre stade de la chaîne de valeur. Car: «Chez Micarna, nous maîtrisons la totalité de la chaîne de valeur pour les volailles: des adultes pondeurs aux œufs acheminés à Avenches en passant par l’engraissement chez nos partenaires, et jusqu’à la transformation chez Courtepin. L’œuf de couvée est un maillon essentiel de cette chaîne. Si un de ces maillons est modifié, cela se répercute sur tous les processus en aval et en amont», explique Anton Grub. Pour le chef de projet, il est clair que le secret du succès de cette chaîne de valeur intégrée entretenue par Micarna depuis un demi-siècle réside dans sa gestion scrupuleuse. «Progressivement, et toujours en harmonie avec tous les acteurs impliqués. C’est une marque de respect: envers les hommes, les animaux et les générations futures.»
Remarque: Une journée portes ouvertes officielle à Avenches est prévue fin avril 2019. Les personnes intéressées pourront alors jeter un coup d’œil à l’intérieur du nouveau couvoir. Même s’il sera impossible de voir toutes les coulisses, car il y aura alors déjà des poussins dans le bâtiment, ce sera une occasion unique de découvrir le couvoir le plus moderne de Suisse.
- Tous les documents, images et autres informations sur le nouveau couvoir de Micarna: http://bit.ly/brüterei
- Un film sur le projet: https://youtu.be/fm6Q9r4G1uc
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Ernst Maurer: Un pionnier du lard conquiert la Suisse
Chef d’entreprise, chef de famille, amateur de lard: Ernst Maurer est un patron qui met la main à la pâte, fabrique lui-même chaque produit et passe chaque jour plusieurs heures dans la production. Cette année, la manufacture de lard à Flüh fête ses 50 ans et le pionner du lard du canton de Soleure revient sur une génération influencée par l’artisanat et la passion de cette région.
La première chose qui frappe est la taille, ou plutôt la cohérence. La deuxième chose est l’arôme fumé qui accroche tout-de-suite notre nez lorsque l’on visite Maurer Speck. Une fumée agréable mêlée d’épices, de sel et d’une prise de tradition suisse. C’est cette partie de l’histoire suisse du lard que la petite manufacture fête cette année: 50 années de tradition familiale, de ferveur et de passion. «Je suis fier de ce que nous avons accompli ensemble en tant que famille et qu’entreprise pendant ce demi-siècle», souligne Ernst Maurer dans le cadre de son discours anniversaire et avec tant d’enthousiasme et de joie qu’il n’y a aucun doute que le pionnier du lard gardera cette passion à l’avenir.
Un patron met la main à la pâte
L’avenir a une origine: Ce qui nous a marqué auparavant fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. Et ce sont ces caractéristiques qui mèneront une entreprise vers le succès à l’avenir, le pionnier du lard en est convaincu. «Nos racines, l’artisanat traditionnel et la passion que nous mettons dans nos produits sont de plus en plus importants aujourd’hui.» À une époque où tout doit toujours aller plus vite, tout doit être plus grand et moins cher, les client apprécient le calme, le caractère régional et l’histoire derrière les produits qu’ils consomment. «Un bon lard a besoin de temps et d’énergie. On peut de nos jours naturellement faire beaucoup avec des machines, mais pas chez nous: les produits Maurer sont tous faits main.» Un tour de force qui incombe à la direction chez Maurer-Speck. Aujourd’hui encore, l’homme de 58 ans est présent chaque jour dans la production, traite environ 500 morceaux de lard, 360 jambons, 120 carrés et 180 cous de porc. Chaque année, ce sont 300 tonnes de viande finalisées à la main, salées et fumées, qu’il voit passer.
Une génération de travailleurs
Une performance physique, mais aussi un lien avec le métier qu’il a appris, qui impressionne ses compagnons et partenaires. «C’est justement cette activité corporelle qui conserve ta jeunesse physique et mentale», résume Albert Baumann, le responsable du segment 1 de l’industrie M. «Ce sont la joie palpable au travail, l’amour du produit et l’enthousiasme sans bornes avec lequel Ernst Maurer effectue son travail chaque jour qui distinguent les produits Maurer. Cette passion se reflète dans leur goût», continue le responsable de segment. Et même si beaucoup de choses ont changé depuis l’ouverture de la boucherie en 1968 par Ernst Maurer senior dans le petit faubourg de Flüh, il y a 50 ans, l’amour de l’artisanat et du produit est resté le même à travers toutes ces décennies. Selon Ernst Maurer, qui décrit les débuts de la manufacture, c’est une question de génération. «De nombreux ateliers artisanaux fêtent leur jubilé cette année. Les signes précurseurs étaient là il y a 50 ans et ce dynamisme a été transmis de génération en génération. Il ne tient maintenant qu’à nous de conserver cette passion dans les prochaines générations», affirme le patron. Toute personne qui visite la petite entreprise à Flüh, qui accueille sa clientèle depuis 2017 dans un charmant petit magasin d’usine, ne peut douter que des artisans passionnés comme Ernst Maurer perpétueront leur tradition à l’avenir. Un avenir qui, grâce à des manufactures telles que Maurer-Speck, continueront à porter une touche d’histoire au lard suisse.
Maurer Speck en bref
L’entreprise Maurer Speck fabrique du lard et du jambon du pays fumé dans une enclave soleuroise située au cœur du canton de Bâle-Campagne. Ernst Maurer fournit depuis de cinquante ans ses produits d’exception aux coopératives Migros. Il utilise de la viande de porc provenant exclusivement de la région et la prépare de manière traditionnelle, n’ayant recours qu’aux meilleurs ingrédients pour la salaison et le fumage. Le lard de la maison Maurer est ensuite soumis à une fabrication artisanale et assaisonné avec un mélange d’épices maison. Pendant que son épouse, Sylvia, se charge de la comptabilité, Ernst Maurer et ses collaborateurs produisent jusqu’à une tonne de lard par jour. Au cours des dernières années, l’entreprise familiale a été récompensée à plusieurs reprises par le très convoité «Prix des Meilleurs», une distinction décernée par la Société Allemande d’Agriculture (DLG). Dans le cadre d’un règlement de la succession, Maurer Speck a rejoint la division Charcuterie de Micarna SA en 2015.

Peter Hinder nommé nouveau directeur du BINA
Peter Hinder, l’actuel directeur-adjoint de Micarna SA, quittera la société à la fin de l’année et reprendra au 1er janvier 2019 la Direction de la société Bischofszell Produits alimentaires SA (BINA). Il succédera ainsi à Beat Welti qui a quitté BINA fin septembre 2018.
Peter Hinder (51 ans) travaille depuis environ 25 ans au sein de l’entreprise Micarna de M-Industrie. Depuis 2014, il est responsable du secteur Marketing et Communication en tant que directeur-adjoint. Auparavant, il a dirigé pendant huit années le secteur Viande fraîche dans lequel il menait quelque 600 collaborateurs répartis sur quatre sites.
Après des études d’agronomie ayant abouti à l’obtention d’un diplôme d’ingénieur-agronome à l’EPF de Zurich, il a suivi diverses formations continues à l’Université de Saint-Gall. Le 1er janvier 2019, il reprendra la Direction de la société Bischofszell Produits alimentaires SA; une nouvelle aventure. «Je me réjouis énormément de relever ce nouveau défi. Le moment est parfait: d’une part, je suis heureux, sur le plan personnel, de pouvoir faire encore de nouvelles expériences et d’autre part, je considère qu’il s’agit également d’une opportunité pour l’entreprise elle-même. Nous acquérons beaucoup de connaissances dans les diverses entreprises de M-Industrie et c’est une chance de pouvoir transmettre cette expérience à d’autres. Reprendre la direction de BINA s’inscrit à mes yeux dans une suite logique et je m’en réjouis vivement.»
Un avis partagé par Walter Huber, responsable de M-Industrie et membre de la direction générale de la Fédération des coopératives Migros: «Je me réjouis que nous ayons pu nommer en la personne de Peter Hinder une personnalité très compétente forte d’une expérience de longue date et d’un ancrage local au poste de directeur de Bischofszell Produits alimentaires SA.»
Peter Hinder exercera ses fonctions au sein du Micarna jusqu’à la fin de l’année. À compter du 1er janvier 2019, Roland Pfister, actuellement responsable adjoint de cette direction, dirigera la Direction Marketing et Communication jusqu’à nouvel ordre.
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Le futur polymécanien Daniel Roth a gagné la médaille de bronze lors des Swiss Skills de Berne.
Le futur polymécanien Daniel Roth a gagné la médaille de bronze lors des Swiss Skills de Berne. Malgré cette performance impressionnante, ce jeune homme de 19 ans reste simple et se concentre sur son examen de fin d'apprentissage chez Micarna Bazenheid, dont la date approche.
Selon Daniel Roth, c'est une «sensation agréable» de décrocher la médaille de bronze aux Swiss Skills de Berne. Il raconte avec fierté: «Bien sûr, c'est spécial: l'ambiance est différente et les spectateurs sont nombreux.» S'imposer face à plusieurs concurrents et apporter la preuve de ses qualifications professionnelles dans une compétition, c'est avant tout, pour lui, une motivation. «Je me suis complètement concentré sur ma tâche, j'ai fait abstraction de tout le reste.» C'est seulement après avoir reçu sa médaille et les félicitations du Conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann qu'il a pris conscience du niveau de sa performance. «Je suis fier de ce que j'ai fait. Mais je dois maintenant aller de l'avant: au printemps, mon apprentissage se termine. C'est là-dessus que je dois me concentrer.»
Particulièrement perspicace
Concentré et opiniâtre, dans la compétition comme dans sa formation chez Micarna: actuellement, le jeune homme de 19 ans est en quatrième et dernière année de formation de polymécanicien. Daniel Roth a trouvé pour ainsi dire la préparation parfaite à l'examen de fin d'apprentissage qui l'attend en obtenant la médaille de bronze lors des Championnats suisses des métiers dans la catégorie «Polymécanicien CFC, Automation». Avec 75,7 points, Daniel Roth n'est qu'à 1,5 point derrière le champion de Suisse, alors que ses débuts dans la compétition sont laborieux. «Les premiers jours, nous avons dû nous affronter les uns les autres dans les catégories Perçage, Fraisage et Tournage, et je n'étais pas encore au point», explique Daniel Roth, qui n'occupait alors que la sixième place. S'ensuit une remontée spectaculaire et le programme libre de ce natif du Toggenburg: quand il s'agit d'effectuer le montage des pièces fabriquées précédemment et d'installer le câblage électrique des machines, il double tout le monde. Seuls deux apprentis réalisent toutes les tâches dans le délai imparti: le futur vainqueur Thomas Schranz de Frutigen, et Daniel Roth de Lütisburg Station.
Sept métiers techniques différents chez Micarna
Une performance impressionnante, de l'avis de Thomas Fust, responsable des formateurs techniques chez Micarna. Il est fier de son protégé: «Lors des Swiss Skills, c'est l'élite des jeunes professionnels de Suisse qui concourt. Ce sont les meilleurs de nos professions. Gagner une médaille dans ce contexte, c'est une performance sensationnelle. Avec ce succès, Daniel Roth souligne la diversité des formations techniques chez Micarna.» Il existe sept métiers techniques enseignés dans l'entreprise industrielle de Bazenheid. «Après les professionnels de la viande et les technologues en denrées alimentaires, nous représentons le deuxième groupe en effectifs», explique le formateur. «Mais beaucoup de gens n'ont pas conscience de tout ce qu'on peut apprendre chez Micarna, et tout ce dont une grande entreprise industrielle a besoin pour fonctionner. Cela nécessite beaucoup de technique.» C'est précisément pour cette raison que des jeunes motivés et ambitieux sont formés. Des gens qui, comme Daniel Roth, remportent une médaille à l'occasion des Championnats suisses des métiers et apportent une contribution importante au bon fonctionnement de la plus grande entreprise de transformation de viande de Suisse.
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Les Mazubi Days sont destinés aux élèves qui se penchent sur leur orientation professionnelle, qui réfléchissent à ce qu’ils souhaitent devenir.

Le samedi, l’affluence était particulièrement forte devant les ateliers de formation des professionnels de la viande et des techniciens.
Quelque 200 visiteurs ont participé du jeudi 27 septembre au samedi 29 septembre aux Mazubi Days 2018 à Micarna Courtepin. Pour la première fois, les jeunes ont eu l’occasion durant trois jours de portes ouvertes de jeter un œil dans les coulisses d’une entreprise industrielle.
Comment découpe-t-on un porc? De quelles machines a-t-on besoin pour le fonctionnement impeccable d’une entreprise industrielle et que fait d’ailleurs un spécialiste de l’économie domestique chez un transformateur de viande? Ces questions et d’innombrables autres ont fait l’objet d’une discussion lors des Mazubi Days 2018 à Micarna. En effet, lors de ces trois jours de formation professionnelle, les jeunes de la région et leurs questions très personnelles ayant trait à une possible formation ont été au centre des préoccupations. «Les Mazubi Days sont destinés aux élèves qui se penchent sur leur orientation professionnelle, qui réfléchissent à ce qu’ils souhaitent devenir, et aux possibilités qui s’offrent à eux», explique Sabrina La Gioia, responsable projet de la formation professionnelle de Micarna.
Une grande importance
Il s’agit d’une décision importante dans la vie de chacun. C’est pourquoi l’intérêt porté aux Mazubi Days sur trois jours était grand. Environ 200 visiteurs intéressés sont venus le jeudi et vendredi après-midi ainsi que le samedi à Micarna Courtepin. Parallèlement à la présentation des métiers et à la possibilité d’échanger avec les enseignants et les apprentis, ce sont surtout les possibilités de visite au sein de l’exploitation industrielle qui ont connu un grand engouement. «On ne peut pas jeter tous les jours un œil dans les coulisses d’une telle entreprise. C'est passionnant non seulement passionnant pour les jeunes, mais aussi pour les parents», confirme Sabrina La Gioia. «Justement le secteur des professionnels de la viande, mais aussi le propre atelier de formation à nos métiers techniques ont eu un vif succès. Et beaucoup étaient certainement étonnés de voir que l’on peut apprendre 18 métiers différents à Micarna; rien que chez nous, à Courtepin, il existe 15 orientations différentes.»
Un vif intérêt
Une grande diversité de formations qui attire tous les ans de nombreux jeunes. Environ 130 apprenants effectuent actuellement leur formation professionnelle de base dans l’un de ces domaines professionnels, soit ici au siège principal, soit en Suisse orientale. À côté de l’offre de formation variée, ce sont surtout les formateurs en apprentissage commercial ou en informatique qui ont retenu l’attention des visiteurs de l’événement. Mais aussi les professionnels de la viande ou les technologues en denrées alimentaires ont été confrontés à d’innombrables questions. Le samedi, l’affluence était particulièrement forte devant les ateliers de formation des professionnels de la viande et des techniciens. D’après les responsables de projet, le concept d’extension de la journée portes ouvertes à trois jours et d’en faire les Mazubi Days a fait ses preuves. «Nous avons eu des jeunes qui sont venus le jeudi à la session d’information et qui sont repassés le samedi avec leurs parents pour déposer leur dossier de candidature car ils peuvent s’imaginer un avenir ici avec nous», se réjouit Sabrina La Gioia. Actuellement, il n’a pas encore été décidé si l’année prochaine également il sera possible de découvrir les coulisses d’une entreprise industrielle nationale pendant trois jours. «En tous cas nos trois Mazubi Days ont été passionnants, intenses et instructifs pour tous les participants!»
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Le distributeur de viande à côté du shop Micarna a fait ses preuves

Pour la première fois sans espèces
Sur ses sites de production de Bazenheid, Courtepin et Tinizong, Micarna propose des distributeurs automatiques de viande avec paiement par carte. Pour la première fois dans la région, il est possible d’acheter des produits de boucherie frais ainsi qu’une sélection de spécialités régionales, sans espèces et à toute heure.
Nous les avons tous déjà rencontrés dans les gares, la plupart du temps pour prendre une boisson ou un petit en-cas: les distributeurs de snacks. Il y a un an, sur son site de Bazenheid, Micarna a adapté un automate similaire à sa gamme de produits et l’a soumis à une analyse détaillée des besoins. Après une phase de test de six mois, les responsables du projet ont dressé un bilan positif: «Le distributeur de viande à côté de notre shop Micarna a fait ses preuves, les retours de nos clients étaient positifs. Ils apprécient la possibilité d’acheter des produits frais le soir sur le chemin de la maison ou le dimanche pour un barbecue ou un repas de famille improvisé», explique Jakob Rüegg, responsable du projet chez Micarna.
La flexibilité d’est en ouest
Les expériences accumulées durant la phase de test ont conforté les responsables dans leur idée d’étendre leur offre au-delà des horaires d’ouverture habituels et à installer les distributeurs de viande de manière définitive. Ainsi, le site du Toggenburg a été rejoint par les deux sites de production de Courtepin (Fribourg) et de Tinizong (Grisons). «Avec les deux shops Micarna, aujourd’hui déjà, les sites de Bazenheid et Courtepin proposent à leurs clients une gamme étendue de viandes, volailles et fruits de mer, mais également des spécialités locales ou les produits de l’entreprise des apprentis Mazubi. De plus, les deux sites sont connus de la clientèle locale et bien établis», poursuit Jakob Rüegg pour justifier le choix des sites d’implantation des distributeurs. «Tinizong vient en complément: Les produits de viande séchée renommées Natura sont appréciés aussi bien des locaux que des touristes et n’ont pas besoin d’être réfrigérés, leur site de production à Tinizong était donc prédestiné à accueillir un distributeur de viande.»
Pour la première fois sans espèces
Outre deux sites supplémentaires, l’entreprise propose une autre nouveauté: Pour la première fois, les distributeurs de viande fonctionnent sans espèces. Le client n’a plus besoin d’avoir la monnaie nécessaire sur lui, et peut régler simplement et confortablement par carte de crédit, carte bancaire ou postale. «Dans leurs retours, une grande partie des clients a mentionné la possibilité de payer sans espèces dans les suggestions d’amélioration. Nous avons tenu compte de ce souhait», raconte Jakob Rüegg. Pour ce faire, l’entreprise de transformation de viande a dû mettre au point une solution spéciale avec le fournisseur des distributeurs puisque jusqu’ici, de tels distributeurs d’extérieur fonctionnaient uniquement avec de l’argent liquide. Désormais, les amateurs de barbecues improvisés et les fans de fondue et de viande séchée ne sont plus freinés dans leurs élans: ni par les horaires d’ouverture des magasins, ni par le manque de monnaie.
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Manfred Bötsch

Pirmin Aregger
Suite au départ à la retraite de Manfred Bötsch, responsable de la direction du développement durable et membre de la direction de Micarna, le 31 juillet 2018, les directions du développement durable et du développement d'entreprise ont fusionné. Appelée «Développement durable et développement d'entreprise», la nouvelle direction a été placée sous la houlette de Pirmin Aregger.
Membre de la direction de Micarna depuis 2011, Manfred Bötsch (64) a élaboré la stratégie de développement durable de Micarna et de M-Industrie et mené à bien de nombreux projets. Dans le cadre d'un double mandat, il a en outre assuré la responsabilité de la direction Développement durable et gestion de la qualité de la Fédération des coopératives Migros (FCM) de 2013 à 2017. Après avoir passé de nombreuses années à la tête de l'Office fédéral de l'agriculture, Manfred Bötsch a non seulement pu faire valoir sa grande expérience du domaine de l'agriculture et d'un développement entrepreneurial durable mais a également favorisé les liens entre les secteurs de l'agronomie et de l'économie.
Poursuite de son activité en tant que chef de projets de développement durable
Fin juillet 2018, Manfred Bötsch a pris sa retraite après avoir passé sept années à la tête de la division puis de la direction du développement durable de Micarna; de ce fait, il a également mis fin à son mandat au sein de la direction de M-Industrie. «Ces dernières années ont été passionnantes mais également particulièrement intenses. J'ai participé à l'élaboration de nombreux projets, aussi bien à Micarna qu'à la FCM. Je me réjouis de la période plus calme à venir, même si les projets intéressants ne manqueront pas», explique Manfred Bötsch. En effet, même retraité, l'agronome et juriste expérimenté restera lié à Micarna étant donné qu'il participera à des sous-projets en tant que chef de projet externe.
Nouveau responsable du développement durable et du développement d'entreprise
Depuis le 1er août 2018, la responsabilité du développement durable est assumée par Pirmin Aregger. L'ingénieur agronome, jusqu'alors à la tête de la direction du développement d'entreprise, assure désormais la conduite de la nouvelle direction «Développement durable et développement d'entreprise» et demeure membre de la direction de Micarna SA. Âgé de 45 ans, Pirmin Aregger a rejoint Micarna en mai 2015 après avoir travaillé pour l'organisation Switzerland Global Enterprise (S-GE), où il était entre autres responsable de l'accès aux nouveaux marchés. L'organisation soutient sur mandat du Secrétariat d'Etat à l'économie les entreprises suisses en les aidant à exploiter de nouveaux potentiels à l’international. Pirmin Aregger a étudié l'agronomie à l'EPF de Zurich et est titulaire d'un MBA en Supply Chain Management.
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment 1, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Favorit Geflügel, Fleury, Lüchinger + Schmid, Maurer Speck, Mérat & Cie., Micarna, Natura Bündner Fleischtrocknerei, Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Oberschwäbische Geflügel et KM Seafood. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Fabrice Zumbrunnen et Albert Baumann

Le Micarna-Chor
Les festivités dans le cadre de son week-end d’anniversaire débutent par une cérémonie réunissant dans les halles Olma à Saint-Gall environ 300 représentants issus des branches les plus diverses, telles que la filière viande, le secteur de l’agriculture et les milieux politiques. Outre les félicitations, Micarna aborde des questions, telles que la consommation de viande, de l’importance de la confiance et de la production alimentaire durable en Suisse dans son discours.
Lorsque la première pierre de Micarna fut posée à Courtepin, il y a 60 ans de cela, l’entreprise industrielle Migros devait servir au départ de petite entreprise test. On voulait «découvrir les secrets de la production de saucisses», comme le rappelle le livre anniversaire. Ces secrets ont été découverts de manière impressionnante au cours des dernières décennies. Aujourd’hui, Micarna transforme plus de viande, de volaille, de seafood et d’œufs que n’importe quelle autre entreprise en Suisse. «Ce succès nous oblige aussi à devoir répondre à de nombreuses attentes de part et d’autre», souligne Albert Baumann, directeur. «Cet objectif ne peut être atteint qu’ensemble. Comme dans le sport, on ne peut réussir que si on se serre les coudes. Cette règle s’applique aussi en économie.» Cela ne veut pas dire que nous devons forcément avoir toujours la même opinion. «La culture du dialogue pour trouver des solutions, qui est mutuellement entretenue, est essentielle pour un avenir commun.» La liste des invités démontre la volonté Micarna de parvenir à une solution commune: Outre des représentants de Migros, de la filière viande et de l’agriculture, nos concurrents, le Fonds mondial pour la nature (WWF) ainsi que des représentants politiques étaient également présents. Environ 300 participants ont célébré l’anniversaire de Micarna et ont également pris part à un discours sur l’importance de la viande, du développement durable et des projets communautaires. «C’est seulement en tant que groupe ou au sein de la chaîne de création de valeur, de l’agriculture et de la filière viande, que nous pouvons subsister et faire la différence sur l’échiquier mondial. Nous devons donc réussir à devenir encore plus compétitifs, même avec des frontières de plus en plus ouvertes», a souligné Albert Baumann.
Ivo Bischofberger: La viande est un sujet émotionnel
Dans son discours d’ouverture, Ivo Bischofberger (Conseil des États), a également souligné l’importance de la communauté. Sous le thème «La viande, un péché sociopolitique?», le chef de l’Union professionnelle suisse de la viande a discuté des thèmes d’actualité concernant la filière suisse de la viande, l’agriculture et l’importance d’une base de confiance communautaire. La viande est probablement l’un des aliments qui suscite le plus d’émotions, parce qu’au départ un animal doit toujours mourir. Ces émotions suscitent non seulement de nombreuses attaques de toutes parts, mais offrent également un vaste champ d’action sociopolitique. Bien que la viande soit l’une des denrées alimentaires les plus importantes pour la majorité des consommateurs, et que ceux-ci apprécient la qualité suisse et exigent la transparence dans la production, il existe des mouvements politiques qui tentent de compromettre cette maturité des consommateurs. Les initiatives politiques, comme l’actuelle Fair Food Initiative, sont les meilleurs exemples d’une réglementation mal comprise, d’une clientèle condescendante et de la Suisse en tant que site économique et artisanal. «Mais quiconque s’engage dans une telle discussion émotionnelle ne peut pas riposter avec des émotions. Si on combat le feu par le feu, on n’aura rien d’autre que des cendres. Nous devons démontrer notre expertise et notre expérience par des actions convaincantes, crédibles et dignes de confiance.» Pour pouvoir convaincre avec expertise sur le long terme, il est important que la profession de boucher se préoccupe de la perte de l’image du boucher, de l’image de l’homme en gilet taché de sang. «Le métier de boucher est aujourd’hui un métier polyvalent et créatif. Nous devons raviver notre fierté de boucher. Même si sur le plan médiatique et sociopolitique, on aime donner plus de poids aux autres voix, la majorité de la population apprécie nos spécialités de viande et se fie à notre qualité suisse par conviction.»
Fabrice Zumbrunnen: La liberté oblige les gens à prendre leurs propres responsabilités
La fierté et la confiance en soi sont aussi les mots-clés de Fabrice Zumbrunnen. Dans son discours, le nouveau directeur général de la Fédération des coopératives Migros a souligné l’importance de la fierté professionnelle. «J’ai été un peu surpris lorsque j’ai lu les titres des présentations en préparation de mon discours. Des titres, comme «La viande – un tueur de l’environnement?» ou «La viande – un péché politique?» soulignent l’orientation du discours actuel sur l’un des produits les plus importants du commerce de détail suisse. Pour nous, en tant que Migros, une Micarna constitue non seulement un élément central. Mais aussi, en raison de la large gamme de produits de consommation. La viande est et restera une partie intégrante et importante de notre alimentation.» En même temps, la confiance des clients dans les efforts de l’entreprise est importante. «Ce qui est important pour nous, nous le faisons nous-mêmes, tel est le slogan de l’industrie M, et la viande est importante pour nous. La viande est un sujet émotionnel, la chaîne de création de valeur de l’alimentation jusqu’aux côtelettes finies est incroyablement large, nous devons nous-mêmes faire face à cette responsabilité , nous pouvons, nous ne voulons pas les déporter.» En sa qualité de chef du Groupe Migros, Fabrice Zumbrunnen a également exprimé des attentes allant dans le même sens à Micarna, à l’agriculture, à la branche et surtout aux acteurs politiques. «Nous devons prendre soin du niveau de qualité en matière de bien-être animal et de nos produits. Cela nécessite des partenaires fiables, de bonnes conditions-cadres, mais aussi une certaine liberté économique.» Gottlieb Duttweiler, fondateur de Migros, a dit un jour: «Le bénévolat est le prix de la liberté». Migros est prêt à payer ce prix. «Micarna est le meilleur exemple de la manière dont nous, en tant que groupe d’entreprises, assumons nos responsabilités, nous nous engageons volontairement dans une production durable et remettons en question nos actions au quotidien. Et cette approche volontaire visant à renforcer la Suisse en tant que centre des affaires et site de production est unique en son genre.»
Thomas Vellacott: Ne prêchons pas, faisons le ensemble
Thomas Vellacott a mis l’accent sur le caractère volontaire de la prise de responsabilité. Le CEO du WWF Suisse a souligné combien il est important de prendre l’initiative pour un avenir durable sans condition et que nous ne pouvons y faire face ensemble que parce que les défis qui nous attendent en tant que société dépassent la force de l’individu. Il sait très bien qu’un représentant du WWF fait l’objet d’un regard critique à l’occasion de l’anniversaire d’un transformateur de viande. «Je ne suis pas un prédicateur, je ne leur pointe pas le doigt. Le WWF n’est pas un guérisseur, mais ce que nous voulons, c’est stimuler le dialogue. Le fait que vous m’invitiez à votre célébration d’aujourd’hui souligne la volonté de Micarna et de Migros dans leur ensemble de nous rejoindre dans ce dialognue.» Et ce dialogue est important: «Nous surexploitons nos ressources depuis 40 ans. Cela signifie que nous utilisons plus de ressources que ce que la nature est capable de nous offrir. Notre monde ne se terminera pas du jour au lendemain, mais les risques sur notre planète augmentent de façon spectaculaire». Thomas Vellacott montre avec des graphiques impressionnants que ce n’est pas seulement le WWF qui a prophétisé ces changements et explique là où se situent les plus grands moteurs du changement actuel. «D’une part, nous parlons ici de la transition énergétique, qui a une influence directe sur l’industrie. Mais le développement financier et la révolution industrielle jouent également un rôle central. D’autre part, c’est surtout le changement des modes d’alimentation qui a une influence directe sur la filière viande en général et sur Micarna en particulier». Malgré l’examen critique du thème de la viande, Thomas Vellacott souligne qu’il ne s’agit pas d’envisager une alimentation sans viande à l’avenir. «Vous devez toujours vous demander où vous vivez: En Suisse, nous avons besoin de l’agriculture, nous avons besoin de l’industrie de la viande.»
David Bosshart: La nourriture n’est plus une culture, la nourriture est un culte
David Bosshart, PDG de l’Institut Gottlieb Duttweiler (GDI), a également abordé la question de cette compatibilité de l’utilisation agricole dans une vision presque philosophique de notre société et des changements auxquels elle est soumise. «Si, il y a 60 ans, lors de la fondation de Micarna, vous disiez à quelqu’un qu’aujourd’hui tout le monde photographie sa nourriture avant de manger, nos grands-parents nous auraient qualifiés de fous. Aujourd’hui, c’est normal. On mange d’abord avec le smartphone.» Plus les aliments ont une longue durée, plus il y a de moyens de divertissement, d’esthétique et de politique de prix. «Notre alimentation est de plus en plus politisée. La nourriture n’est plus une culture, mais plutôt un culte et les fans deviennent des fanatiques». Le développement des médias permet également aujourd’hui aux minorités d’être entendues. «Dans le passé, ils devaient convaincre avec des arguments pour constituer une majorité, ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils ont eu la chance de réussir». La publicité médiatique d’aujourd’hui permet même aux minorités qui ne sont pas tolérantes d’apparaître en public. «L’information, c’est le pouvoir, et la structure du pouvoir social est en train de changer: Les minorités qui ne sont pas tolérantes, en tant que dictature, ont la possibilité d’influencer l’opinion publique.» Qu’est-ce que cela signifie pour Micarna? «Il ne s’agit pas en soi de savoir si nous continuerons de manger de la viande à l’avenir, mais plutôt de connaître l’origine de cette viande.» Viande de laboratoire, protéines végétales et nouveaux concepts: L’avenir de la filière viande se présente sous de multiples facettes. «En tant que société, nous allons devoir trouver un équilibre dans notre production alimentaire entre une production efficace et des aliments scientifiquement et socio-politiquement acceptables.» C’est cette question centrale qui se pose non seulement pour une Micarna en tant qu’usine de transformation, mais aussi pour la société dans son ensemble: «Comment pouvons-nous développer une relation raisonnable, durable et saine avec la viande et son origine et surtout, quelle relation voulons-nous?»
Albert Baumann: Se projeter dans l’avenir avec un sentiment de satisfaction
Le fait que la viande ne soit pas simplement un produit comme les autres a été démontré de façon impressionnante par tous les intervenants de l’événement de l’industrie Micarna. «La viande est importante. Non seulement, elle jouit d’une grande importance sur le plan social, mais reste également source d’émotions», a conclu Walter Huber, responsable de M-Industrie. «Micarna prouve avec son engagement quotidien, mais aussi avec la célébration d’aujourd’hui et les invités et intervenants présents, qu’elle est prête à s’exposer à ce dialogue, qu’elle est prête à assumer cette responsabilité.» Albert Baumann a déclaré que l’avantage de la filière viande est qu’elle a accès à un réseau bien établi depuis des décennies. «Et ces partenariats deviendront de plus en plus importants à l’avenir au-delà même de notre propre entreprise et de notre industrie. De nombreux défis auxquels nous sommes confrontés dans la filière viande ne peuvent être relevés qu’avec de nouveaux modèles de coopération.» C’est donc cet esprit de partenariat que Micarna qui était au départ une petite entreprise test dans les années 1950 est devenue le plus important transformateur de viande suisse. «L’avenir, c’est le passé», souligne le directeur. «Nous devons toujours nous souvenir de notre histoire, savoir d’où nous venons, où nous en sommes aujourd’hui. C’est la seule façon d’aborder l’avenir.» Tous les invités étaient d’accord sur le fait que la viande a un avenir. Où, comment et sous quelle forme nous montrerons l’avenir. «Je regarde l’avenir avec confiance. C’est une période passionnante, une période qui change rapidement, nous ne nous ennuierons certainement pas.» Et je me réjouis de faire face à ce changement avec mes collaborateurs, avec nos partenaires, nos concurrents, nos amis, nos critiques et nos partenaires tout au long de la chaîne de valeur.» Avant de s’engager dans cette nouvelle phase, Micarna veut célébrer son anniversaire avec ses collaborateurs dans un premier temps. «La halle Olma sera placée samedi sous le signe d’un édifice de la famille Mircana spécialement construit pour cette occasion», a expliqué Albert Baumann. «Nous célébrons tous ensemble un grand Street-Food-Festival dans notre propre Micarna Park et dans le centre-ville. En plus de l’événement sectoriel et donc d’une fête plutôt publique, une fête des collaborateurs «privée» me tient également à cœur notre entreprise, en tant que directeur. Nos 3’000 employés sont le socle de notre entreprise ce sont eux qui s’accompagneront activement dans cette voie du changement. C’est à la fois un honneur et un plaisir d’aborder l’avenir.
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Natura, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.
Des photos de la célébration de l’anniversaire du 31 août, ainsi que d’autres informations sur l’anniversaire de Micarna sont disponibles en ligne: http://bit.ly/micarna2018. Et la vidéo de l’anniversaire à http://bit.ly/FilmAnniversaire

Micarna élargit sa palette de formation dans le domaine de la boucherie
Dès cet été, Micarna forme des bouchers-charcutiers et des bouchères-charcutières dans l’orientation «Production». Elle élargit ainsi sa palette de formations et propose aux futurs professionnels du secteur de la boucherie le choix entre les orientations «Production» et «Transformation».
130 apprentis sont en formation dans l’une des 18 professions proposées par Micarna. Près de la moitié d’entre eux sont des bouchers-charcutiers et des bouchères-charcutières dans l’orientation «Transformation», qui bénéficient d’un propre atelier et de l’accompagnement de formateurs aguerris pour acquérir leur formation à Bazenheid et à Courtepin. Dès cet été, Micarna élargit sa palette de formations et propose également l’orientation «Production» aux futurs professionnels du secteur de la boucherie. «Nous sommes particulièrement heureux d’offrir dorénavant deux orientations à nos apprentis bouchers-charcutiers», souligne Laurent Remy, responsable de la formation professionnelle à Micarna.
Choix entre deux orientations dès 2018
Cela fait plus de 20 ans que Micarna forme des bouchers-charcutiers et des bouchères-charcutières. La profession a fortement évolué durant ce laps de temps: alors que la production de viande faisait autrefois partie intégrante de tout apprentissage de boucher-charcutier, les jeunes en formation peuvent dorénavant choisir entre trois orientations.
- Dans l’orientation «Production», les apprentis acquièrent des compétences professionnelles dans les domaines de l’abattage, de la découpe et du désossage et des connaissances approfondies des principes et directives en matière d’éthique animale.
- Dans l’orientation «Transformation», ils confectionnent diverses sortes de saucisses, du jambon, de la viande des Grisons, des préparations de viande, et bien plus encore.
- Dans l’orientation «Commercialisation», l’accent est mis sur la préparation de plats froids, de mets tout prêts et d’articles de traiteur ainsi que sur la présentation attrayante et promotionnelle des produits.
Jusqu’à présent, Micarna mettait l’accent sur la transformation de la viande. «L’ordonnance sur la formation professionnelle initiale prévoyait, pour l’orientation «Production», l’apprentissage de la découpe de deux espèces au minimum. Or nous pouvons désormais axer notre formation et concentrer nos efforts sur une seule espèce», explique Laurent Remy.
D’abord la volaille, ensuite le porc
Dès cet été, les apprentis peuvent choisir entre les orientations «Production» et «Transformation». Un premier apprenti a d’ailleurs saisi cette nouvelle opportunité et a commencé sa formation en août à Courtepin. Dans le cadre d’une formation professionnelle pour adultes selon l’article 32, il effectue une formation de deux ans de boucher-charcutier avec orientation «Production» dans le domaine de la volaille. La nouvelle orientation «Production» ne se limite cependant pas à la volaille. «Nous évaluons actuellement la possibilité d’élargir la formation de boucher-charcutier dans l’orientation «Production» au porc», confirme Laurent Remy. En effet, c’est naturellement vers cette deuxième espèce que Micarna pense se tourner étant donné qu’elle exploite son propre abattoir de porcs à Courtepin.
Mazubi Island: la plate-forme de formation de Micarna I www.mazubi-island.ch
Micarna est une entreprise industrielle du groupe Migros et le premier producteur de viande et de produits de la mer en Suisse. Notre principale mission est de fournir des viandes, volailles et poissons de qualité à un prix défiant toute concurrence. L’entreprise regroupe 3000 collaborateurs répartis sur 25 sites en Suisse. Environ 130 apprentis terminent leur formation dans une des 18 professions enseignées. Depuis l’été 2018, les futurs bouchers-charcutiers et bouchères-charcutières ont la possibilité de choisir entre les orientations «production» et «transformation» : les apprentis qui optent pour la production apprennent tout ce qu’il y a à savoir sur les techniques d’abattage, de découpage et de désossage en tenant compte des dispositions légales en la matière et des principes de l’éthique animale, tandis que ceux optant pour la transformation suivent une formation axée sur la fabrication de différentes sortes de charcuteries, de jambon, de viande des Grisons et de nombreuses autres spécialités.

Micarna rend le développement durable mesurable et transparent
Micarna présente pour la première fois son rapport de développement durable au public. Les directives de la Global Reporting Initiative (GRI) permettent de se confronter aux divers aspects du développement durable sur des bases transparentes et comparables et montrent aussi bien les succès que les échecs.
Le développement durable: une évidence pour tous. Pourtant rares sont ceux qui évaluent leurs résultats en fonction d’objectifs concrets et publient un rapport à ce sujet. Or c’est précisément ce qu’a décidé de faire Micarna en définissant une stratégie de développement durable spécifique avec des objectifs concrets et en communiquant les résultats obtenus de manière transparente dans un rapport élaboré selon le standard international de la Global Reporting Initiative (GRI). Les directives de la GRI permettent non seulement de contrôler dans une large mesure les efforts entrepris en matière de développement durable mais également de comparer les entreprises et les projets selon un standard d’importance internationale. «Les Nations Unies ont collaboré à l’élaboration des directives de la Global Reporting Initiative, créant ainsi une base visant à garantir l’exhaustivité, la transparence et la comparabilité. Ces trois aspects jouent un rôle crucial pour l’évaluation d’objectifs de durabilité à long terme et la crédibilité du rapport», explique Manfred Bötsch, responsable du développement durable à Micarna.
Transparence des résultats et des objectifs non atteints
Micarna présente pour la première fois ses prestations en faveur du développement durable selon le standard international de la Global Reporting Initiative, confirmant ainsi son rôle pionnier au sein de la branche. Les divers aspects du développement durable font depuis des années partie intégrante de la culture d’entreprise de Micarna. «Nous souhaitons communiquer de manière transparente notre engagement pour le développement durable de notre entreprise et la plus-value qui en résulte pour la société et l’environnement.» A cet égard, la Global Reporting Initiative ne porte pas seulement sur les projets fructueux mais englobe de manière détaillée tous les aspects du développement durable; le rapport inclut donc également les projets que nous n’avons pas réussi à réaliser avec succès. Ainsi Micarna n’a pas encore atteint son objectif en matière de consommation d’eau, qui vise une réduction de 6,7% par tonne produite d’ici 2020.
Succès, entre autres, sur les plans du bien-être animal et du recyclage
Des projets ont par contre été couronnés de succès dans les domaines de l’énergie, du recyclage et du bien-être animal. «Nous avons fait passer la proportion de produits labellisés à 71%. Il s’agit là d’un aspect particulièrement important pour une entreprise de transformation de produits carnés. En effet, nous attachons une grande importance aux conditions d’élevage des animaux.» Par ailleurs, nous avons réduit de 4% nos émissions de CO2 grâce à des investissements en matière de récupération de la chaleur, d’énergies renouvelables et d’installations efficaces. Et grâce au tri sélectif et à la valorisation des déchets, notre taux de recyclage a progressé de 2% pour atteindre 77%. «Le taux élevé de recyclage des co-produits d’origine animale, qui s’est établi à 81%, est particulièrement réjouissant. Nous avons ainsi contribué à ménager les ressources limitées de notre planète», souligne Manfred Bötsch.
Le groupe Micarna
Les entreprises du segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Natura, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Les «Pop-Bup Burgers»: succulents, avec une touche de vers de farine
Entre le 26 et le 28 juin, le restaurant Migros Topolino à Zurich aura au menu le tout nouveau «insect-burger» de Micarna. Le «Pop-Bug Burger»: fabriqué à partir d’ingrédients naturels et comprenant 35% de farine d’asticots, il promet une expérience gustative unique!
Les insectes. Sincèrement, en entendant ce mot, qui d’entre nous pense à un délicieux burger, plutôt qu’à la panique qui nous gagne lorsqu’on sent des petites pattes fourmiller sur notre corps? C’est faire aux insectes une injustice: Non seulement ils jouent un rôle essentiel pour notre agriculture, et pour la survie de notre flore et notre faune, mais plusieurs espèces sont un aliment de base pour des millions de gens sur la planète. En Suisse – et en Europe en général –, le rôle alimentaire des insectes est encore trop peu connu. Et si c’est le cas, ils sont présentés de la façon la plus effrayante possible. «C’est vraiment dommage, car c’est justement dans le traitement des insectes que résident les principales innovations», estime Ralph Langholz, responsable produit Insectes chez Micarna.
«Pop-Bug»: l’innovation sans le facteur épouvante
Et c’est précisément à cela que travaille Micarna, le spécialiste des viandes, volailles et fruits de mer de Migros. Après que l’automne dernier, le groupe a obtenu le prix de l’innovation pour ses «Pop-Bug Balls», il y a désormais un insect-burger dans les rayons! Outre les dégustations publiques ou les food-trucks, le nouveau pop-bug-burger pourra être dégusté la semaine prochaine au restaurant Migros Topolino à Zurich. «Nous allons préparer notre Pop-Bug Burger sur place, afin que les clients voient comment est préparé leur produit et que les insectes vivants n’envahissent pas la place!» Car c’est exactement dans ce préjugé que le responsable produit voit le principal obstacle: «Beaucoup, à l’entente du mot, s’imaginent des insectes entiers écrasés entre deux tranches de pain. C’est certes une image répugnante, mais c’est très loin de la réalité!» Car en effet, nos classiques boulettes de bœuf ne comprennent pas d’yeux ou de sabots – pourquoi devrait-il en être autrement de nos boulettes de vers de farine?
Des dégustations pour essayer, évaluer, améliorer
Ainsi, à première vue, le Pop-Bug Burger de Micarna ne fait pas exactement penser à une masse de vers grouillants, ni à une source particulière de protéines. Or il comporte 35% de vers de farine (larves du ténébrion meunier), ce qui en fait le burger le plus riche en vers de farine. «La farine d’insectes est certes une source de protéines dans un produit sans viande, mais aussi, du fait de sa saveur de noix, c’est un élément de saveur très intéressant.» Outre les vers de farine, le goût délicat du burger est dû à du quinoa bio, des oignons, des œufs et diverses épices et fines herbes. Les produits Pop-Bug sont élaborés dans notre nouvelle cuisine expérimentale à Sissach. «Nous sommes convaincus que le marché recèle un potentiel pour les produits dérivés des insectes. On se sait toutefois pas encore comment évoluera ce marché.» Il est donc d’autant plus important d’organiser et de promouvoir les dégustations de produits Pop-Bug. «Ces manifestations nous permettent de recueillir les commentaires des clients et de les intégrer directement dans la conception des produits.»
Essayez donc vous aussi! Mardi 26 juin – jeudi 28 juin 2018, Restaurant Migros Topolino, Zurich
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Le groupe Micarna
Les entreprises du segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, qui appartiennent au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Natura, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, ces entreprises atteignent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le segment Viande, volaille, poisson et œufs de M-Industrie, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de francs en 2017.

Sortir les gens de leur isolement
La Commission du personnel de Micarna a remis à la Fondation Le Tremplin un chèque de 3’800 francs. La recette tirée de la fête du personnel contribuera ainsi à la réinsertion de personnes en situation d’addictions ou en grande précarité sociale.
Se lever chaque matin, aller au travail et bénéficier du soutien de sa famille et de ses amis: ce qui semble une évidence pour nous ne l’est pas forcément pour les personnes dont la situation familiale est compliquée, qui sont atteintes d’une maladie sexuellement transmissible ou qui sont en situation d’addictions. La Fondation Le Tremplin vise à offrir un soutien à ces personnes, à créer les structures adéquates et à proposer des perspectives d’avenir. La Fondation dispose de différents centres de jour, de lieux d’accueil de nuit, d’ateliers et d’espaces de conseils. En outre, elle encadre, conseille et accompagne les personnes pour que celles-ci retrouvent une existence ordinaire.
L’intégration sociale comme condition de base
La Fondation Le Tremplin endosse un rôle social essentiel en offrant aux personnes concernées non seulement du soutien et de la compréhension, mais surtout des conseils et un accompagnement. Autant d’aspects qui ont trouvé un écho favorable auprès de la Commission du personnel de Micarna Courtepin. C’est pourquoi la représentation du personnel a décidé de reverser à la Fondation le produit de la vente des boissons lors de la fête du personnel. Alain Thalmann, Président de la Commission du personnel, se félicite de cette démarche, qui lui tient particulièrement à cœur: «Chez Micarna, nous accordons une grande importance à l’intégration sociale de nos collaborateurs, peu importe leur origine, leur culture ou leur langue. Telle est notre conception du vivre-ensemble. Le Tremplin est un maillon fondamental car il soutient les personnes en marge de la société, que cela soit en raison d’addictions, d’une maladie sexuellement transmissible ou de problèmes psychologiques.»
Projet soutenu par les collaborateurs de Micarna
C’est lors d’un petit apéritif à Courtepin que le chèque de 3’800 francs a été remis à Cédric Fazan, Directeur de la Fondation. «Nous sommes ravis que la Commission du personnel de Micarna soutienne nos objectifs, d’autant plus que cette commission représente de nombreux collaborateurs. C’est extrêmement important pour l’intégration sociale des personnes concernées.» Pour le Directeur de la Fondation, il ne fait aucun doute que ces marques de soutien sont essentielles pour les personnes concernées, qui cherchent à mener une existence normale. La contribution financière résultant de la fête du personnel ainsi que le soutien apporté par les collaborateurs de Micarna Courtepin favorisent de façon non négligeable la réinsertion sociale des personnes concernées.
La Fondation Le Tremplin en bref
Créée en 1982, la Fondation Le Tremplin est un centre de réinsertion socioprofessionnelle pour les personnes toxicodépendantes. La Fondation est basée à Fribourg et reçoit des mandats tant cantonaux que fédéraux. Les professionnel-le-s de la Fondation sont actifs dans les domaines des addictions et de la grande précarité sociale. La Fondation a pour but la prise en charge de personnes en difficulté, notamment à la suite de problèmes liés à l’addiction, aux infections sexuellement transmissibles (IST) ou à la délinquance liée aux addictions, en vue d’une réinsertion socioprofessionnelle ou d’un accompagnement social. Pour réaliser ce but, la fondation organise des services d’accueil, des centres de jour, des foyers d’hébergement, des atéliers de réinsertion et des foyers protégés.
Le groupe Micarna en bref
Depuis plus d’un demi-siècle, Micarna est la principale entreprise de production de viande, de volaille et de poisson en Suisse. En sa qualité d’entreprise de M-Industrie, elle contribue grandement au succès du groupe Migros. Plus de deux millions de consommateurs, en Suisse et en Europe, savourent quotidiennement les produits haut de gamme et d’une qualité irréprochable de Micarna. Soumise – en comparaison internationale – à des directives très sévères en matière de protection des animaux et de l’environnement, l’agriculture suisse assure une production respectueuse de l’environnement et socialement viable. Avec plus de 4’800 articles et solutions globales pour des groupes de clients spécifiques en Suisse et à l’étranger, Micarna SA est la principale entreprise de production de viande en Suisse en termes de vente.

Devenir fournisseur direct grâce à «Micarna E-Direct»
Micarna lance son application «Micarna E-Direct» dédiée aux producteurs permettant aux fournisseurs d’accéder directement à l’entreprise de transformation. Les producteurs de Micarna profitent de plus de flexibilité, d’une planification personnalisée, d’une prise en charge prioritaire et des prix du marché par bête livrée à l’abattoir
Jusqu’à présent, si un agriculteur souhaitait inscrire une bête à l’abattage, il la vendait à un marchand de bétails. Il dépendait d’une étape intermédiaire en termes de temps et de finances. Les choses changent à partir du mois de avril: grâce à «Micarna E-Direct», les fournisseurs de porcs et de bovins de Micarna deviennent des fournisseurs directs. Les producteurs obtiennent ainsi la possibilité de vendre leurs bêtes directement à l’entreprise et de profiter non seulement d’une prise en charge prioritaire, mais aussi des prix du marché par bête livrée à l’abattoir.
En quelques clics, l’agriculteur peut inscrire ses bêtes à l’abattage chez Micarna et décide personnellement s’il souhaite organiser le transport des bêtes par lui-même ou s’il le confie à Micarna. Le producteur reçoit ensuite directement sur son téléphone portable toutes les informations importantes comme l’heure précise de livraison, ou encore un rappel la veille du chargement bêtes. De plus, les documents annexes nécessaires sont générés automatiquement, et la notification de sortie des animaux est inscrite directement dans la base de données sur le trafic des animaux. A tout moment, l’agriculteur dispose d’une vue d’ensemble des données d’abattage et peut consulter l’historique ainsi que la situation actuelle depuis chez lui.
«Micarna E-Direct», la nouvelle application destinée aux producteurs de porcs et de bovins de Micarna, est désormais disponible gratuitement au téléchargement sur l’App Store et Google Play.
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2017

Dans le cadre du salon alimentaire Anuga de cette année, Micarna a présenté pour la première fois ses Pop-Bugs: ce produit original à base de farine d’insectes a également reçu deux prix de l’innovation dans le cadre de l’exposition «Taste 17» ainsi que du magazine «Lebensmittelpraxis».
Quelles seront les saveurs de demain? Comment parviendrons-nous à encore surprendre nos consommateurs dans les années à venir? Et comment allons-nous parvenir, dans les siècles à venir, à nourrir une population mondiale en croissance constante? C’est précisément sur ces questions que s’a penché la plus grande foire alimentaire, Anuga. Ce sont en effet plus de 200 000 visiteurs et plus de 7 000 exposants issus de 100 pays qui s’ont retrouvé à Cologne pour présenter les derniers produits et tendances du marché. En outre, les créations les plus novatrices ont été récompensées dans le cadre de l’exposition spéciale «Taste 17». À cette occasion, Micarna sera récompensée pour ses Pop-Bugs, une spécialité culinaire exclusive à base de farine de grillon. Après le prix de l’innovation pour les «Paprika Wave Chips» (2013) et le «Chicken Gelati» (2015), le prix de cette année a été donc le troisième prix de l’innovation dont se voit récompenser Micarna à la célèbre foire alimentaire. En plus du prix de l’innovation à la foire elle-même, Micarna a également reçu le «ShowStar» par le magazine alimentaire «Lebensmittelpraxis» dans la catégorie de l’originalité.
Un emballage innovant pour le grillon
Les Pop-Bugs sont de petites boulettes fabriquées à base de farine de grillons comme source de protéines. Les Pop-Bugs sont comparables à des boulettes de viande panées, sauf que dans les Pop-Bugs on utilise de la farine de grillons comme source de protéines, au lieu de viande. «Les Pop-Bugs sont notre premier snack aux protéines d’insecte», se réjouit le directeur d’entreprise Albert Baumann. «Cela se justifie d’une part parce que la branche insecte constitue un complément intéressant pour notre alimentation et fait régulièrement les grands titres. Mais nos Pop-Bugs ont aussi une optique attrayante.» Emballés dans une boîte en carton innovante avec fonction de service intégrée, les Pop-Bugs peuvent être présentés et consommés directement dans l’emballage avec les sauces fournies. «Cela garantit non seulement un plaisir gustatif, mais aussi un sujet de conversation parfait.»
Les insectes sont plus qu'une idée de produit
Dans le domaine des insectes, il s’agit pour Micarna de plus qu’un produit innovant. «Nous sommes convaincus que le marché recèle un potentiel pour les insectes comme fournisseur alternatif de protéines.» «Il ne s’agit pas seulement de consommer les insectes entiers, ceux-ci seraient également sous forme de farine, par exemple, des sources de protéines intéressantes pour d’autres produits.» Afin de conduire cette recherche fondamentale, nous avons engagé en avril de cette année un gestionnaire de produits insectes. «Ses tâches principales consisteront aussi à élaborer des connaissances de base dans ce domaine, et à définir par example ce qui sera légalement possible mais aussi à réfléchir à la mise en place d’un système dans le respect du bien-être des animaux.» Micarna estime que ce travail fondamental prendra environ deux ans. Elle présente ses premiers produits innovants avec les Pop-Bugs dès cet automne.
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: KM Seafood et Stauss Geflügel. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.

Ernst Maurer lance son propre Maurer-Shop sur le site de production de Flüh. Dans nos sites de production petits par la taille mais grands par la qualité, ce sont notamment les amateurs de speck qui vont être ravis.
Dans ce petit faubourg de Bâle, qui appartient encore au canton de Soleure, la maison de Maurer Speck à Flüh ne paye pas de mine à première vue. Une enclave. Une niche. Il s’agit d’un cas unique, à l’image des produits qu’Ernst Maurer et ses collaborateurs élaborent à la main. Voilà près de 50 ans que le célèbre Maurer Speck est commercialisé; depuis ce week-end, ce produit du terroir d’Ernst Maurer bénéficie d’un magasin dédié, directement sur le site de production de Flüh. «C’est un moment très spécial», s’est confié avec émotion Ernst Maurer alors qu’il entamait son discours d’ouverture. «C’est une période aussi captivante qu’intense et fatigante qui s’achève. Mais je suis comblé de fierté de me retrouver ici dans notre nouveau magasin et de voir nos produits.»
Estime et amour des produits
Depuis un demi-siècle, les spécialités de speck de la famille Maurer sont réputées pour leur finesse, bien au-delà des frontières du canton. Fondée en 1968 par Ernst Maurer Senior, Ernst Maurer Junior est la deuxième génération à gérer la société, intégrée au groupe Micarna depuis deux ans. Au cours de ses 40 années passées en tant que chef d’entreprise, Ernst Maurer a non seulement façonné l’entreprise familiale, mais il a également laissé une empreinte au sein de Migros. A l’occasion de la célébration de l’ouverture du magasin, on retrouve donc de nombreux représentants du groupe Micarna et des autorités locales, avec Albin Oeschger et Bruno Imfeld, ainsi que deux responsables des coopératives Migros Bâle et Lucerne à Flüh. Pour Albert Baumann, le directeur du groupe Micarna, il s’agit aussi d’un signe d’estime envers un compagnon de longue route. «Avec ses spécialités de speck, Ernst Maurer est l’un des pionniers des lignes de produits Migros «Dans cette région. Pour la région.» Sa passion pour le produit, le coeur à l’ouvrage qu’il met à la fabrication de ces délicatesses, son attachement à la provenance des produits et la tradition du boucher sont uniques.»
Raffinés par le patron en personne
A la rencontre des traditions conservées et de la nouveauté, le magasin Maurer-Speck est directement accolé au site de production de Maurer-Speck: les amateurs de spécialités trouveront, en plus du célèbre Maurer Speck, d’autres classiques suisses de viande sèche, achalandés selon les normes industrielles en vigueur, avec un grand souci du détail et de l’origine des produits, à l’instar de viande des Grisons Natura de Tinizong ou des spécialités valaisannes de Gabriel Fleury. Aller visiter le magasin Maurer, c’est aussi plonger dans un autre monde: loin de la transformation industrielle de viande, ici, chaque morceau de speck est encore enrobé à la main de sel de mer et d’un mélange d’épices secret, fumé avant d’être stocké pendant plusieurs semaines. Pas de machine: les produits sont raffinés directement par Ernst Maurer en personne. «Ernst Maurer est un patron qui met la main à la pâte.» Et Albert Baumann d’insister: «Il travaille lui-même les produits avec beaucoup de passion, de coeur à l’ouvrage et de fierté.» Les amateurs de speck pourront se laisser convaincre de cette passion dès ce week-end, dans le nouveau magasin Maurer de la Talstrasse 55 à Flüh.
Maurer Speck, Flüh
L’entreprise Maurer Speck fabrique du lard et du jambon du pays fumé dans une enclave soleuroise située au coeur du canton de Bâle-Campagne. Ernst Maurer fournit depuis près de cinquante ans ses produits d’exception aux coopératives Migros. Il utilise de la viande de porc provenant exclusivement de la région et la prépare de manière traditionnelle, n’ayant recours qu’aux meilleurs ingrédients pour la salaison et le fumage. Le lard de la maison Maurer est ensuite soumis à une fabrication artisanale et assaisonné avec un mélange d’épices maison. Pendant que son épouse, Sylvia, se charge de la comptabilité, Ernst Maurer et ses collaborateurs produisent jusqu’à une tonne de lard par jour. Au cours des dernières années, l’entreprise familiale a été récompensée à plusieurs reprises par le très convoité «Prix des Meilleurs», une distinction décernée par la Société Allemande d’Agriculture (DLG). Dans le cadre d’un règlement de la succession, Maurer Speck a rejoint la division Charcuterie de Micarna SA en 2015 et fait désormais partie du groupe Micarna.

Dans le cadre d’une journée portes ouvertes, Cédric Losey a présenté sa nouvelle halle de production de poulets Optigal aux familles, amis et éleveurs intéressés. À 43 ans, cet homme originaire de Prévondavaux est le 500e engraisseur de volailles sous contrat avec Micarna.
Le week-end dernier, lors d’une belle journée d’automne, Cédric Losey a ouvert les portes de sa nouvelle exploitation de poulets Optigal. Depuis le début de l’année, l’agriculteur fait partie des engraisseurs de poulets de Micarna. Il a saisi l’occasion de cette journée portes ouvertes pour donner aux visiteurs intéressés un aperçu de son bâtiment et de l’activité d’élevage de poulets. «Nous avons déjà eu des poussins de Micarna à cinq reprises, que nous avons élevés dans notre nouvelle exploitation. Cela se passe très bien. Nous voulions saisir cette occasion pour donner la possibilité aux autres de jeter un oeil dans les coulisses une fois dans leur vie», explique Cédric Losey.
L’occasion d’un échange mutuel
Cette journée portes ouvertes a été organisée en collaboration avec Micarna, notamment en signe de reconnaissance. «Nos producteurs doivent être fiers de ce qu’ils font et pouvoir mettre à l’honneur leur activité quotidienne», déclare Cédric Hoffmann, chef secteur production volaille. «Ce genre de journée est aussi l’occasion de se rencontrer dans un cadre décontracté.» Une occasion saisie par quelques 110 visiteurs intéressés en cette belle matinée d’automne, dont Jean-Yves Cruchet, chef de vente de Migros Vaud, et de nombreux représentants de la Business Unit Volaille de Micarna. «C’est positif de pouvoir rencontrer personnellement ces personnes dans un tel cadre. Avant aujourd’hui, je ne connaissais pas la plupart d’entre elles», déclare Cédric Losey.
La confiance: la base d’une collaboration fructueuse
En tant qu’engraisseur, l’agriculteur occupe une position en amont dans la chaîne de création de valeur et à ce titre, il est rarement en contact direct avec les chefs de vente de Micarna ou Migros. Une journée portes ouvertes sur l’exploitation permet de faire connaissance et favorise la compréhension mutuelle. Selon Jean-Daniel Staub, président de l’association des producteurs de volailles de Micarna, cet échange contribue largement à la collaboration fructueuse et durable entre les engraisseurs, Micarna et Migros. «Lors de ce type d’événement, nous ne parlons pas que du travail, mais faisons également mieux connaissance, ce qui instaure la confiance et renforce notre collaboration.» Une collaboration que Cédric Losey ne peut que chaudement recommander lui aussi: «Jusqu’à présent, nous sommes très satisfaits de notre nouveau bâtiment de production de poulets et de notre partenariat avec Micarna.
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: KM Seafood et Stauss Geflügel. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.

Lors de l’édition 2017 d’Anuga, le groupe d’entreprises Micarna présentera des produits traditionnels suisses, comme la fameuse viande des Grisons Natura allégée en sel, mais aussi un vaste projet pour le bien-être animal mené dans une exploitation d’engraissement de poulets (Alpigal) ainsi que trois grandes innovations dévoilées dans le cadre de l’exposition spéciale «Taste 17» – dont les snacks Micarna à base de farine d’insectes.
Nos habitudes alimentaires évoluent. Aujourd’hui, il ne s’agit plus seulement de créer de nouvelles saveurs mais principalement d’élaborer des solutions d’un genre nouveau pour produire, fabriquer et transformer la viande. La production des denrées alimentaires, en général, et la filière viande, en particulier, sont en pleine mutation. L’apparition de nouveaux aliments, comme les insectes, et notre besoin croissant d’en-cas simples et rapides, exigent une grande force d’innovation de la part des fabricants. Micarna, qui participera à l’Anuga en tant que groupe d’entreprises, apportera justement des réponses face à ces nouvelles tendances. «Nous voulons montrer les opportunités que nous offre cette mutation, quels nouveaux composants gustatifs nous pouvons créer et à quels changements nous devons également nous attendre en matière d’élevage», explique Albert Baumann, directeur du groupe Micarna.
Pop-Bugs: Un dip d'insectes raffiné qui fait beaucoup parler de lui («Taste 17»)
Quel goût a le monde de demain? Comment surprendre encore nos clients dans les années à venir? C’est précisément les thèmes qu’a choisi d’illustrer cette année le salon alimentaire de Cologne. Micarna profitera de l’exposition spéciale «Taste 17» pour présenter trois produits tout à fait inédits, dont les nouveaux Pop-Bugs. «Officiellement, c’est notre premier snack à base de protéines d’insectes», se réjouit Albert Baumann. Le directeur du groupe Micarna, qui a naturellement testé depuis longtemps la nouveauté, se dit lui-même séduit par ces boulettes de haché à base de farine d’insectes. «D’une part, parce que la question des insectes comme complément à notre alimentation est un grand sujet d’actualité. Et d’autre part, parce que nos Pop-Bugs sont appétissants à l’oeil.» Conditionnés dans une barquette en carton audacieuse avec plateau de service intégré, les Pop-Bugs peuvent être directement présentés et dégustés dans leur emballage raffiné, accompagnés des dips également fournis. «Le plaisir gustatif est au rendez-vous et le sujet de conversation tout trouvé.»
Chickies: Le plein de protéines en déplacement («Taste 17»)
Les matières premières de nos aliments évoluent, et notre mode de consommation aussi. Une évolution que le deuxième produit «Taste 17» illustre parfaitement: les Chickies. Ce petit snack de volaille découpé en dés est l’en-cas idéal, à déguster aussi bien dans la cour de l’école, qu’en randonnée ou qu’au sport entre amis. «Les Chickies de Micarna sont la réponse parfaite au débat actuel sur l’alimentation “Low Fat”», déclare Albert Baumann. «L’association des dés de volaille, des cerises et du miel ne promet pas seulement une expérience gustative unique mais constitue aussi un en-cas bien plus sain que tous les autres snacks sucrés.» Présentés dans un emballage refermable, les Chickies de Micarna sont parfaits pour faire le plein de protéines en déplacement.
Fleur de Viande: Un mélange d'aromates pour les amoureux des alpes («Taste 17»)
La nouvelle Fleur de viande a davantage été conçue pour de tranquilles soirées à la maison que pour un repas pris sur le pouce. Voici un mélange d’aromates raffiné à base de viande. Derrière cette idée surprenante se cache l’association de deux produits haut de gamme fabriqués en Suisse. «Fleur de viande est composée de notre viande des Grisons Natura, enrichie d’herbes aromatiques des Alpes.» Le moulin à aromates innovant à compartiment double permet, à table, de doser individuellement la proportion de viande et celle d’arômes. De quoi alimenter la discussion autour du mélange préféré de chacun. Le nouveau mélange viande-aromates se décline en plusieurs saveurs: Alpen-Chili, Salat-Mix et Raclette-Mix. Il se marie ainsi avec de nombreux plats, des pâtes au risotto en passant par de délicieuses salades.
Alpigal: Une production locale et durable de poulets
A Micarna, l’innovation va bien au-delà des produits. «Innover c’est aussi mener une réflexion sur les modes de production, remettre en question l’engraissement agricole et explorer de nouvelles voies», explique Albert Baumann. Ces derniers mois, Stauss Geflügel GmbH, une co-entreprise de Micarna et de Bio-Geflügel Stauß, a mené avec succès l’un de ces projets: Alpigal. Pour les consommateurs, la production locale et durable de poulets est le gage de volailles d’excellente qualité, provenant de l’installation d’engraissement intégrée, dont les normes en matière de bien-être animal sont plus strictes encore que les exigences de l’ordonnance sur la protection des animaux. «Alpigal comble la brèche entre mode de production bio et mode de production conventionnel. Il interpelle les clients pour qui le bien-être des animaux et l’origine locale des produits sont importants», ajoute Robert Stauß, directeur de Stauss Geflügel. En d’autres termes: les poulets Alpigal disposent d’un espace de vie suffisant, de possibilités de refuge et d’un jardin d’hiver. Les poulaillers Alpigal, dont la superficie n’excède pas 660 m2, doivent être reliés à une aire de grattage d’une superficie de 165 m2. De plus, 10 % de la superficie du volailler sont aménagés comme perchoirs surélevés. «Nous n’administrons pas d’antibiotiques à titre préventif à nos animaux», déclare Robert Stauß. Enfin, les poulets vivent tous sur des exploitations certifiées, situées à 200 kilomètres au plus de l’unité d’abattage et de transformation de Stauss Geflügel à Ertingen. «En garantissant un transport aussi court, nous évitons un stress inutile aux animaux. Cela fait aussi partie de notre vision durable et innovante du bien-être animal.»
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: KM Seafood et Stauss Geflügel. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.

Mazubi Courtepin, l’entreprise gérée par les apprentis de Micarna, fait don de 100 ordinateurs à l’organisation Ecoval qui propose la réintégration des personnes au chômage dans la vie professionnelle.
Avoir une entreprise industrielle sans ordinateurs est impensable de nos jours. Une entreprise nationale comme Micarna utilise des milliers de matériels informatiques, softwares et accessoires-IT différents. Lorsqu’il est question de changer ce matériel informatique, de nombreux ordinateurs encore fonctionnels sont remplacés. C’est ainsi que Mazubi Courtepin, l’entreprise gérée par les apprentis de Micarna, a eu l’idée de s’occuper de ce problème. «Après le dernier changement de matériel informatique, nous nous sommes rendus compte que des centaines d’ordinateurs remplacés, fonctionnent encore très bien. Ces anciens modèles n’étaient tout simplement plus compatibles avec les besoins de notre entreprise» explique Théo Brand, apprenti informaticien en troisième année de formation.
Integration dans le monde du travail
Du matériel informatique pas récent ne veut pas dire qu’il n’est plus opérationnel. Au contraire: «les ordinateurs remplacés sont supers, ils fonctionnent sans problème et on arrive encore bien à travailler avec» explique l’apprenti de 17 ans. Mazubi a reconnu ce potentiel et a fait la demande au département informatique et à la direction d’utiliser le matériel informatique pour commencer un nouveau projet. Ce dernier consiste à la «réintégration des ordinateurs dans le monde du travail». Les responsables de Micarna soutiennent cette idée et donnent carte blanche aux apprentis pour l’utilisation d’une centaine d’ordinateurs, d’une cinquantaine de claviers et souris, ainsi que deux douzaines d’écran.
Vision innovante de jeunes gens
A la recherche d’un partenaire pour ce projet, Mazubi prend contact avec Ecoval, une organisation d’entraide qui encourage les personnes au chômage et les personnes bénéficiant de l’aide sociale à reprendre un rythme de travail et à s’intégrer dans une équipe de travail au moyen d’ateliers. «Grâce au généreux soutien de Mazubi, nous avons pu utiliser la centaine d’ordinateurs pour permettre aux personnes concernées d’acquérir de nouvelles compétences professionnelles et personnelles pour la réintégration dans le monde du travail» explique Véronique Franzin. Pour la responsable de l’atelier informatique/logistique/vente chez Ecoval, le soutien de Mazubi est également précieux pour d’autres raisons: «Je suis contente de voir que de jeunes gens pensent à nous pour ce type d’action. C’est encourageant de voir ces jeunes apprentis qui au milieu de leur formation arrivent à se rendre compte qu’il y a des organisations comme nous qui ont besoin de soutien. C’est altruiste.»
Portrait Mazubi
Mazubi est une entreprise virtuelle de Micarna SA gérée par les apprentis. A Mazubi, les apprentis développent, travaillent, produisent et vendent leurs propres produits. Le but de cette entreprise est de donner aux apprentis des responsabilités, la possibilité de travailler de manière indépendante et de pouvoir réaliser des projets. Grâce à ce concept de formation Mazubi, les apprentis de Micarna ont l’opportunité de gérer une entreprise pendant leur formation.
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Micarna assiste, conjointement avec les réfugiés du projet de formation et d’intégration «Maflü», à un après-midi destiné à favoriser l’esprit d’équipe à Gibloux (FR). Ensemble, les Suisses et les réfugiés apprennent à se connaître d’un point de vue totalement nouveau; eux-mêmes et leur nouveau pays.
Faire du «Talerschwingen», tirer à l’arbalète ou se déplacer sur des skis: des activités suisses qui sont justement totalement inconnues des réfugiés. Des réfugiés, comme les 14 premiers participants au projet Maflü de Micarna, qui sont venus d’Afghanistan et d’Érythrée en Suisse. Le transformateur de viande du groupe Migros a lancé au début de cette année un projet de formation et d’intégration et offre aux réfugiés motivés la possibilité d’effectuer une formation au sein de Micarna et de se constituer ainsi une perspective professionnelle en Suisse. L’objet de Maflü est que les collaborateurs restent dans l’entreprise après leur formation. «Ainsi, nous favorisons l’intégration de ces personnes et en même temps, cela nous aide à combattre la pénurie de main d’oeuvre dans le secteur», explique le responsable de l’entreprise Albert Baumann.
Le chocolat est le point de départ de toute intération
Micarna s’est vu décerner le Prix de la Migration du canton de Fribourg au printemps de cette année pour ce projet Maflü. «Avec l’argent du prix, nous voulions faire quelque chose dont puissent aussi bénéficier nos participants au projet, quelque chose qui resterait longtemps dans leur mémoire», explique Sabrina La Gioia, chef de projet. Vendredi après-midi, les 14 participants au projet Maflü de Courtepin ont effectué une excursion dans la pure tradition suisse avec des représentants de Micarna ainsi que le partenaire Caritas. «Nous ne voulions pas «simplement» faire une excursion, nous voulions que nos participants au projet vivent une expérience et favoriser par ce biais l’échange culturel mutuel.» Et le premier arrêt de ce voyage d’intégration a prouvé qu’une telle sortie peut tout à fait aussi passer par l’estomac: au cours de la visite de la fabrique traditionnelle de chocolat de la Maison Cailler, il n’y avait pas que les coeurs des réfugiés qui battaient plus fort mais également tous ceux des accompagnateurs typiquement suisses qui ont pris plaisir à goûter eux aussi un petit morceau de la Tradition Suisse.
Donner un sentiment de chez-soi
Le point d’orgue de cette excursion était cependant prévu pour l’après-midi: en collaboration avec l’organisation «Une bonne idée.ch», un véritable concours helvétique a été mis sur pied. Cela consistait à apprendre le folklore suisse en petits groupes durant plusieurs heures. «Les participants suisses ont eux aussi fait des découvertes, comme le Talerschwingen ou encore le tir à l’arbalète.» Tous les participants ont fait peuve d’une adresse étonnante, confirme Sabrina La Gioia. Pour la cheffe de projet, l’expérience a été un réel succès et pas seulement du fait des nombreuses activités. «L’échange entre les personnes a été impressionnant. Non seulement entre les participants au projet qui viennent de pays différents, mais également l’échange, c’est-à-dire la confrontation avec la Suisse; leur nouveau pays. Chacun d’entre nous a trouvé ici une approche nouvelle et différente de notre Suisse.» Cette expérience «born to be swiss» s’est bien sûr terminée, comme toute bonne soirée folklorique suisse, par une fondue «maison». «Je dois dire que nos participants ont su formidablement préparer ce classique du fromage», souligne Patrick Bussmann de Caritas. Cette organisation à but non lucratif est partenaire de Micarna depuis le début du projet et apporte son soutien à l’entreprise et aux réfugiés dans le cadre leur formation. «Je trouve que Maflü est un super projet, avant tout parce qu’une entreprise s’approprie le thème de l’intégration et met sur pied un tel concept. C’est super de voir à quel point nos participants au projet ont évolué au cours des six derniers mois.»
L'avenir du projet reste ouvert
La première édition du projet Maflü a failli se terminer par cette soirée typiquement suisse pour faire connaissance. 14 réfugiés à Courtepin et 6 sur le site de Bazenheid ont pu suivre une formation au sein de Micarna cet été en tant que premiers participants dans le cadre du projet de formation et d’intégration. Accompagnés d’un cours de langue intensif et d’une formation pratique, ils ont été préparés à une éventuelle intégration dans l’entreprise formatrice classique. De nombreux participants à Maflü peuvent rester au sein de Micarna à la fin du projet et soit effectuer une formation, soit poursuivre une activité professionnelle. «Nous sommes fiers de nos réalisations au cours des mois passés», souligne Albert Baumann, 57 ans. En tant que responsable de l’entreprise, il était l’initiateur de ce projet et de ce fait les succès individuels sont d’autant plus réjouissants. «Nous avons commencé le projet sur un bout de papier, et après avoir travaillé de manière intensive sur un concept et échangé avec des partenaires, comme Caritas, nous avons pu proposer cette année pour la première fois une telle opportunité à des réfugiés. C’est beau de voir avec quelle motivation ils ont participé.» Reste encore à savoir si et quand une deuxième édition du projet aura lieu. Les résultats de cette première édition sont en cours d’analyse et seront évalués d’ici la fin de l’année. Ce qui est sûr, c’est que pour les réfugiés qui ont pu découvrir le folklore suisse ce vendredi après-midi dans la région de Fribourg, la participation au projet en valait la peine. Même s’ils ne sont peut-être pas encore tout à fait «born to be swiss», ils sont sur la bonne voie pour se construire un avenir dans notre pays.
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: KM Seafood et Stauss Geflügel. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.
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Micarna permet aux visiteurs intéressés de découvrir un poulailler Optigal transformé de 300 m². Lors d’une visite exclusive, les employés et les éleveurs de volaille informent sur les défis et les possibilités en matière de production durable de volaille et expliquent quelles sont les opportunités en matière d’efficacité énergétique et de bien-être animal dans un tel projet.
Le poulet suisse est très apprécié, par les consommateurs comme par les éleveurs. Chez Micarna aussi, la production de volaille a une grande importance. L’entreprise industrielle Migros gère elle-même toute la chaîne dans la production de poulet. Cela signifie que l’ensemble du processus est sous la responsabilité de Micarna, des géniteurs, en passant par le couvoir et la période d’engraissement sur les exploitations partenaires, jusqu’à la transformation spécialisée. Une telle chaîne de production de valeur implique un partenariat spécial avec les éleveurs de poulets.
La transformation comme élément de la stratégie de développement durable
Actuellement environ 500 producteurs de volaille travaillent en partenariat avec Micarna. La majorité d’entre eux produit dans des poulaillers de 300 m². «Ces poulaillers répondent toujours à toutes les exigences légales et supralégales de Micarna pour Optigal, mais certaines commencent à dater», explique Andreas Berger, Conseiller en production de volaille chez Micarna. Aujourd’hui, on a évolué justement sur le plan de l’efficacité énergétique et d’autres possibilités sont applicables. «Le groupement des éleveurs de volaille Micarna est venu nous voir pour savoir quelles étaient nos possibilités de développement pour de tels poulaillers. Le poulailler Optigal transformé de Bösingen est notre prototype dans ce domaine.» Dans le cadre d’une visite pour les médias, Micarna a permis aux journalistes intéressés de découvrir le poulailler de 300 m² et leur a montré les possibilités d’une telle transformation grâce à l’exploitation de Hugo et Susanne Käser. «La période d’engraissement dans les fermes représente une partie importante du bilan écologique de la production Optigal», explique Lucien Dorthe, Spécialiste énergie dans la production de volaille chez Micarna. «Grâce aux mesures qui ont été prises lors de cette transformation, nous avons pu largement contribué à la stratégie de développement durable de Micarna.»
Un projet clairvoyant
La transformation du poulailler existant de 300 m² de la famille Käser a eu lieu au printemps et a impliqué, outre la collaboration active de la famille, de renoncer à une période d’engraissement. «Pour nous, c’était important d’oser franchir ce pas pour l’avenir», explique Hugo Käser. En pensant aussi à la génération suivante. «Les poulaillers et la production Optigal marchent très bien. Mais au niveau des bâtiments, il était temps d’aller plus loin et de rendre notre poulailler lucratif aussi pour nos enfants.» Le bien-être des animaux mais aussi les aspects énergétiques ont joué un rôle important dans cette décision. Ainsi, le climat dans le poulailler et par conséquent le bien-être des animaux sont nettement améliorés notamment par une nouvelle installation de brumisation dans le poulailler; indispensable quand les températures grimpent en été. «Sur le plan de l’énergie, il y a de nombreux aspects qui, réunis, sont très pertinents. Ainsi, par exemple, l’isolation a été complètement revue, les panneaux en fibrociment ont été déposés et éliminés dans les règles, des tôles trapézoïdales ont été posées, le sol a été entièrement refait et les lignes électriques et les dispositifs de suspension revus», décrit Lucien Dorthe. «En outre, nous prenons une toute nouvelle direction en matière de bilan énergétique: grâce à l’installation photovoltaïque sur le toit et au chauffage par pellets, qui remplace le chauffage conventionnel au mazout, Hugo Käser produit aujourd’hui dans un bâtiment d’élevage neutre en CO2.»
Utiliser le potentiel existant
La transformation vaut aussi la peine pour l’éleveur de volaille. «Grâce au nouveau revêtement de sol que nous avons installé, le nettoyage et la désinfection sont beaucoup plus faciles et sont surtout plus approfondis», explique Hugo Käser. Pour l’agriculteur qui exploite la ferme avec son épouse Susanne, c’est une raison supplémentaire pour justifier la transformation. «L’air dans le poulailler est meilleur, et c’est bon pour les animaux. Et grâce à la nouvelle répartition d’air chaud, nous pouvons mieux contrôler la température dans le poulailler, ce qui est mieux pour les animaux.» Le prototype de Bösingen ne doit pas rester le seul poulailler de 300 m² transformé chez Optigal. «Nous avons organisé une journée portes ouvertes pour nos producteurs existants afin qu’ils puissent se faire une idée sur place de la transformation et de ses avantages. Cela les a beaucoup intéresssés», se réjouit Andreas Berger. Pour le conseiller des producteurs de volaille, il s’agit, dans un premier temps, de clarifier les besoins et les possibilités. «Nous étudions les réponses des éleveurs, nous regardons ce qui est possible, ce qui devrait être fait aussi, et nous sommes en contact avec nos fournisseurs et nos partenaires de projet concernant les coûts de la transformation.» En effet, l’objectif est clair: avec de tels projets de transformation, comme le poulailler de 300 m² de Bösingen, Micarna souhaite continuer à utiliser les installations existantes. «Nous ne voulons pas détruire les bâtiments certes anciens, mais qui sont bons, pour construire de nouveaux poulaillers», explique Lucien Dorthe. «Nous voulons utiliser les bons systèmes qui existent et les améliorer pour l’avenir.» Une approche qui n’a aucun mal à convaincre aussi bien les éleveurs de volaille que les représen ants des médias et les visiteurs.
Micarna en bref
Les entreprises des segments viande, volaille, poisson, oeufs de la M-Industrie produisent des produits de haute qualité issus de la transformation de la viande, de la volaille et du poisson. Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Le segment englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca. Les entreprises situées en Allemagne KM Seafood et Stauss Geflügel appartiennent également à Micarna. Grâce à des installations de production parmi les plus modernes et les normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises de Micarna atteignent l’excellence. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3000 collaborateurs, Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.
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Vincent Genoud

Cédric Hoffmann
Vincent Genoud quitte Micarna pour une autre entreprise de M-Industrie, Lüchinger + Schmid, où il occupera les fonctions de responsable de la production primaire d’oeufs et de directeur suppléant. Quant à Cédric Hoffmann, il reprend les rênes du secteur de la production vivante de la division Volaille Micarna.
Six mois après avoir intégré le segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie, Lüchinger + Schmid, dont le siège principal se trouve à Kloten, voit ses rangs renforcés par l’arrivée de Vincent Genoud: dès le 1er juillet, cet agronome de formation, grand spécialiste des domaines de la volaille et des fourrages, occupera en effet la fonction de responsable du secteur de la production primaire d’oeufs. Âgé de 45 ans, Vincent Genoud a assumé, au cours des quatre dernières années, la responsabilité de la production vivante à Micarna.
Renforcement dans les domaines de la production d’oeufs et de la vente
Fort d’une longue expérience et de solides connaissances, Vincent Genoud occupera la fonction de responsable de la production d’oeufs à Lüchinger + Schmid et se concentrera davantage sur la chaîne de création de valeur de la production primaire d’oeufs. Il occupera également la fonction de suppléant du directeur Daniel Rüegg. Cédric Hoffmann succède à Vincent Genoud à la tête du secteur de la production vivante au sein de la Division Volaille de Micarna. Âgé de 34 ans, il sera ainsi responsable des parcs de poules parentales, du couvoir et de l’engraissement. Son poste de responsable du processus Elevage a été mis au concours et attribué pour le 1er septembre.
Exploitation des synergies et partage des compétences
Tous les changements de personnel font suite à l’intégration de l’entreprise au sein du groupe Micarna et vise à renforcer l’exploitation des synergies dans le domaine de la volaille. «Ces adaptations nous permettent de partager nos compétences tout au long de la chaîne de création de valeur et de profiter de la longue expérience et des connaissances des deux entreprises dans les domaines de l’engraissement des poulets et de la production d’oeufs», explique Lutz von Strauss, responsable de la Business Unit Volaille.
Micarna en bref
Les entreprises des segments viande, volaille, poisson, oeufs de la M-Industrie produisent des produits de haute qualité issus de la transformation de la viande, de la volaille et du poisson. Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Le segment englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca. Les entreprises situées en Allemagne KM Seafood et Stauss Geflügel appartiennent également à Micarna. Grâce à des installations de production parmi les plus modernes et les normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises de Micarna atteignent l’excellence. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3000 collaborateurs, Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.
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Dans le cadre d’un projet de coopération, Micarna SA et IP Suisse soutiennent l’élevage de grands porcs blancs suisses. Une génétique rigoureuse permet de favoriser les races porcines indigènes, dont les animaux, robustes et résistants au stress, fournissent une viande de grande qualité. L’agriculture suisse bénéficie ainsi de mesures visant à promouvoir aussi bien le bien-être animal que la biodiversité dans l’agriculture suisse.
La viande de porc, dont la production annuelle s’élève à près de 200‘000 tonnes en Suisse, est très appréciée. Pour Micarna aussi, la production de viande de porc constitue un secteur de première importance. A cet égard, l’élevage répondant aux spécifications du label TerraSuisse joue un rôle essentiel, comme le souligne le directeur de l’entreprise, Albert Baumann: «Plus de la moitié de nos porcs proviennent d’élevages labellisés, ce qui signifie que les animaux jouissent de normes de bien-être supérieures à ce que prescrit la loi.» Cette problématique a toujours été une préoccupation de l’entreprise. «Voilà plus de trente ans que nous participons au groupe de travail «Qualité de la viande porcine», qui englobe l’ensemble de la chaîne de production. Nous mettons tout en oeuvre pour être à la hauteur de nos responsabilités envers nos clients et nos partenaires en nous engageant durablement en faveur du bien-être et de la santé des animaux.»
Des animaux sains grâce à la génétique
Génétique et santé des porcs sont des aspects que Micarna entend développer e en collaboration avec IP-Suisse. L’entreprise industrielle de Migros et l’association d’agriculteurs réfléchissent au développement de TerraSuisse dans le but de promouvoir durablement les spécificités de l’élevage porcin suisse et de renforcer la plus-value que représentent les modes d’élevage et de détention indigènes. Outre l’alimentation, la santé, la traçabilité et le transport, la génétique joue un rôle essentiel. «Nous entendons utiliser exclusivement des porcs provenant des races Grand Porc Blanc (GPB) et Landrace suisse (LS) ainsi que de leurs croisements. L’élevage porcin suisse fonde son succès sur la qualité irréprochable de la viande, issue d’animaux en bonne santé», souligne Andreas Stalder, président de IP-Suisse.
Qualité élevée de l'abattage et de la la viande
Etant donné que Micarna cherche continuellement à améliorer la qualité de ses produits, l’objectif consiste, dans les années à venir, à utiliser exclusivement les races suisses génétiquement sélectionnées. Ces animaux présentent des performances de reproduction, d’engraissement et d’abattage de même niveau. «De cette manière, nous pouvons promouvoir le bien-être et la santé des animaux en nous fondant sur nos propres critères d’élevage, sans que nos partenaires du secteur agricole n’aient à craindre de quelconques désavantages. Bien au contraire, la génétique suisse est synonyme de viande, de graisse et de carcasse de grande qualité», souligne Albert Baumann. A ses yeux, même si la qualité de la viande de porc est excellente en Suisse, il est important de travailler à la poursuite de son développement. «La qualité de la viande de porc suisse est supérieure à celle que l’on trouve à l’étranger. Si nous souhaitons conserver et même améliorer cette avance qualitative à l’avenir également, nous devons réfléchir aujourd’hui déjà à son développement.»
Promotion de la diversité des espèces suisses
Un développement continu est essentiel pour l’agriculture suisse, souligne Andreas Stalder. «En collaboration avec un partenaire de l’industrie tel que Micarna, nous pouvons entretenir et promouvoir la diversité des espèces indigènes et établir nos races suisses dans le secteur agricole».
Le positionnement clair de l’élevage TerraSuisse et son développement durable visent à assurer à long terme la santé des animaux et la qualité de notre production porcine et, grâce à une génétique rigoureuse fondée sur des races suisses, à fournir des animaux sains, robustes et résistants au stress, en utilisant aussi peu de médicaments que possible. L’objectif consiste à garantir des performances de reproduction, d’engraissement et d’abattage comparables et ainsi une viande de porc TerraSuisse de première qualité.»
Micarna en bref
Les entreprises du segment Viande, volaille, poisson et oeufs de M-Industrie produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu’entreprise de transformation de viande de Migros, le groupe Micarna englobe aujourd’hui les entreprises sises en Suisse que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca, ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le groupe Micarna, dont l’effectif s’élève à quelque 3’000 collaborateurs, dont 122 apprentis, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,5 milliard de francs en 2016.
IP-Suisse en bref
IP-SUISSE est une association d’agriculteurs produisant sur leurs exploitations familiales des aliments pour les besoins quotidiens en respectant les règles en matière de protection des animaux et de la nature. La production IP-SUISSE est sans OGM et renonce en grande partie à l’utilisation de fongicides et de pesticides. Les animaux détenus dans les exploitations IP-SUISSE peuvent vivre selon leur mode de vie naturel et profitent de sorties en plein air ainsi que d’un affourragement sain. IP-SUISSE s’engage pour la production d’une alimentation saine et respectueuse de la nature. Elle privilégie une agriculture respectueuse de l’environnement et une détention animale conforme aux besoins de l’espèce, établit des directives pour la production labellisée (label de qualité) et promeut la production et la commercialisation des produits labellisés. De plus, elle défend les intérêts de ses membres face aux partenaires commerciaux et aux autorités. www.ipsuisse.ch

La commission du personnel (COPE) de Micarna Courtepin remet à chacune des deux associations qui sont La Tuile et Le sentier des abeilles un chèque de 2250 francs suisses. Les recettes de la fête du personnel profitent autant à l’homme qu’à l’animal.
Micarna emploie près de 3000 personnes. Tous les employés ont un métier, un toit et de nombreuses possibilités d’évoluer au sein de l’entreprise. Mais tous les humains n’ont pas cette chance. Il y a des gens qui, pour différentes raisons, n’ont pas de toit au-dessus de leur tête. L’association La Tuile vient en aide à ces gens en mettant à leur disposition des endroits pour dormir.
Plus qu'un simple lit
«L’association joue un rôle important dans notre société», explique le président de la COPE Alain Thalmann. «Il ne s’agit pas seulement de mettre à disposition des lits, mais aussi de lutter contre l’exclusion sociale. Micarna attache en effet beaucoup d’importance à l’intégration professionnelle et sociale de ses collaborateurs. Soutenir un tel projet nous tient à coeur.»
Une maison pour les abeilles
Avec l’aide de Micarna, ce ne sont pas seulement des hommes, mais aussi des abeilles qui trouvent un refuge. La COPE attribue la seconde partie des recettes tirées de la fête du personnel à l’association Le sentier des abeilles de Courtepin et participe ainsi à l’acquisition de nouvelles ruches. «C’est notre façon de remercier ces gens engagés qui consacrent leur temps libre aux abeilles et de favoriser ensemble la biodiversité de notre région», déclare M. Thalmann. «En offrant cette somme à l’association Le sentier des abeilles, Micarna souligne son attachement à la nature et à l’environnement», s’en réjouit Erwin Fuhrer. Employé chez Micarna à Courtepin et membre du comité de l’association, il défend la répartition des recettes entre ces deux associations régionales. «Cet engagement témoigne de la conception globale de la durabilité de Micarna. Il est la preuve que l’entreprise accorde autant d’importance à l’homme qu’à l’animal.»
Micarna en bref
Les entreprises des segments viande, volaille, poisson, oeufs de la M-Industrie produisent des produits de haute qualité issus de la transformation de la viande, de la volaille et du poisson. Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Le segment englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca. Les entreprises situées en Allemagne KM Seafood et Stauss Geflügel appartiennent également à Micarna. Grâce à des installations de production parmi les plus modernes et les normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises de Micarna atteignent l’excellence. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3000 collaborateurs, Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.

La Commission pour l’intégration des migrant-e-s et contre le racisme du canton de Fribourg salue Micarna pour son projet d’intégration «Maflü». Ce projet vise à offrir une perspective professionnelle aux réfugiés et à pallier la pénurie de main-d’oeuvre dans l’industrie alimentaire.
Les visiteurs du salon des métiers START, qui se tient actuellement à Fribourg, verront des jeunes à la recherche de leur avenir professionnel. Des personnes qui ont grandi en Suisse, sont allées à l’école ici et souhaitent désormais faire un apprentissage. Si ce parcours semble évident à nombre d’entre nous, il ne l’est cependant pas pour beaucoup de gens dans ce monde.
Un avenir grâce à la formation
L’année dernière a dénombré plus de 60 millions de personnes déplacées. Ces personnes ont quitté leur environnement habituel pour fuir la guerre ou la pauvreté dans l’espoir d’un avenir incertain. Un avenir dans un pays dont elles ne parlent pas la langue et dans lequel elles n’ont aucune perspective économique. C’est précisément là qu’intervient le projet de formation et d’intégration «Maflü». Le projet a été créé il y a un an par l’entreprise industrielle Micarna et a pour objectif d’offrir non seulement une formation linguistique, mais aussi professionnelle aux réfugiés arrivés en Suisse. Dans ce contexte, les réfugiés (catégories B et F) devraient bénéficier d’une perspective à long terme en Suisse.
Un maximum de 30 réfugiés
Pour ses efforts déployés dans le domaine de la formation et de l’intégration, Micarna se voit décerner le Prix Migration et emploi par la Commission pour l’intégration des migrant-e-s et contre le racisme du canton de Fribourg. Les responsables soulignent l’importance d’un projet de ce type développé par l’économie. Par ailleurs, l’aspect durable du projet est particulièrement louable. L’objectif du projet «Maflü» est en effet de permettre aux collaborateurs de rester dans l’entreprise après leur formation. «Nous avons besoin de professionnels qualifiés», souligne Benoît Berset, chef de projet. «Le projet Maflü devrait non seulement nous permettre d’offrir une perspective professionnelle aux réfugiés arrivés en Suisse, mais aussi de s’attaquer au problème de la pénurie de personnel qualifié en assurant à long terme un nombre suffisant de collaborateurs qualifiés.» Les premiers stages se déroulent déjà à Courtepin et Bazenheid. A long terme, le projet «Maflü» devrait permettre de former jusqu’à 15 réfugiés par site.
Micarna en bref
Les entreprises des segments viande, volaille, poisson, oeufs de la M-Industrie produisent des produits de haute qualité issus de la transformation de la viande, de la volaille et du poisson. Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Le segment englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna, Favorit Geflügel, Gabriel Fleury, Lüchinger + Schmid, Mérat & Cie., Optisol, Rudolf Schär et Tipesca. Les entreprises situées en Allemagne KM Seafood et Stauss Geflügel appartiennent également à Micarna. Grâce à des installations de production parmi les plus modernes et les normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises de Micarna atteignent l’excellence. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3000 collaborateurs, Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2016.
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Au 1er janvier 2017, l’entreprise de poissons tessinoise Tipesca et tous ses collaborateurs ont été intégrés à Mérat et continuera en tant que filiale autonome. L’entreprise Mérat & Cie. SA développe ainsi son offre dans le domaine des poissons et consolide sa compétence logistique en Suisse méridionale.
Tipesca, entreprise familiale en activité depuis 30 ans et dont le siège principal est situé à Monteceneri, se distingue par sa vaste palette en produits de pêche frais, fumés et transformés. Il y a quelques années, l’entreprise a développé son offre avec des spécialités de viande. En l’espace de trois décennies, Jaime Diaz, son propriétaire, a fait de la poissonnerie régionale une manufacture de poissons importante pour la Restauration suisse. Afin d’assurer l’avenir à long terme, l’entreprise a été intégrée au 1er janvier 2017 à Mérat, en tant que filiale autonome. L’entreprise Mérat & Cie. SA développe ainsi son offre dans le domaine des poissons et consolide sa compétence logistique en Suisse méridionale.
«Nos entreprises entretiennent depuis longtemps une collaboration étroite. Cette évolution permettra de garantir la pérennité et le développement de notre entreprise», explique Jaime Diaz, qui continuera d’assumer la direction de Tipesca. «Avec Tipesca, nous intégrons dans nos rangs un spécialiste compétent en produits de la mer pour le marché de la restauration suisse. Les deux entreprises profitent non seulement du savoir-faire des autres mais aussi d’une stratégie d’approvisionnement cohérente», explique Hans Reutegger, directeur de Mérat.
L’entreprise en bref: Mérat & Cie. SA
Spécialiste de la restauration en Suisse depuis plus de 70 ans, Mérat & Cie. SA fournit aussi bien les restaurateurs, les grands cuisiniers que les établissements de restauration collective. Entreprise suisse de tradition, elle est reconnue comme l’un des partenaires majeurs de la restauration et des collectivités. Le petit restaurant de quartier figure parmi ses clients, au même titre que les meilleures adresses de la cuisine gastronomique et que la restauration collective hospitalière ou en entreprise. Le personnel qualifié à l’oeuvre chez Mérat & Cie. SA prépare la viande fraîche, la charcuterie, les produits de la mer et à base de volailles pour les livrer quotidiennement aux restaurateurs. Des spécialités sur mesure, élaborées selon des exigences individuelles, viennent compléter une vaste gamme de produits standard. Grâce à ses centres d’abattage et de production situés à Bazenheid (Est) et à Courtepin (Ouest), à huit boucheries de restauration régionales ainsi qu’à neuf plates-formes de vente, Mérat & Cie. SA est en mesure d’assurer une proximité immédiate avec ses clients et ses fournisseurs. Des infrastructures de production parmi les plus modernes et le respect de normes particulièrement exigeantes en matière d’hygiène sont le garant du meilleur niveau possible de sécurité des produits et de leur excellence. Par ailleurs, Mérat & Cie. SA est membre de l’alliance des spécialistes du Saviva (Swiss Food Services) depuis 2013. www.merat.ch
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2016

Micarna offre une ferme de jeux au centre pour requérants d’asile Sonnenberg à Vilters. Les enfants auront ainsi de quoi s’amuser durant les mois d’hiver.
Regards pétillants, éclats de rire et premiers mots en allemand: les signes de joie et de reconnaissance des enfants du centre pour requérants d’asile Sonnenberg sont aussi visibles qu’audibles! Soixante requérants d’asile, dont plusieurs familles avec enfants, vivent actuellement au-dessus du village de Vilters. Ce sont à ces enfants que Micarna a décidé d’offrir sa ferme de jeux. «Notre ferme a voyagé dans toute la Suisse au cours des trois dernières années et a fait plaisir à de nombreux enfants dans les supermarchés Migros. Nous sommes heureux qu’elle ait trouvé une deuxième vie à Sonnenberg», explique Roland Pfister, porte-parole de Micarna.
Une ferme pour jouer à l’intérieur en hiver
Grâce à cette ferme de jeux, les enfants peuvent désormais jouer au fermier, conduire un tracteur et vivre des aventures passionnantes. «Ce cadeau nous fait très plaisir», déclare Friederike Jerger, directrice suppléante du centre. «En été, les enfants peuvent se défouler à l’extérieur. En hiver par contre, nous n’avions que peu de jouets et les enfants jouaient souvent seuls dans leur chambre. La ferme de jeux leur permettra de jouer ensemble.» Ce qui se vérifie immédiatement. «Une fois installée, la ferme a été immédiatement adoptée par les enfants», se réjouit Roland Pfister.
Apprendre l’allemand en jouant ensemble
Outre une place de jeux, la nouvelle ferme encourage également les efforts des enfants dans leur apprentissage de l’allemand. Les enfants proviennent de pays et de cultures diverses et parlent des langues variées. Ils partagent néanmoins le défi de s’approprier un nouvel environnement, de laisser derrière eux la peur des derniers mois et de se faire de nouveaux amis. «L’allemand est la langue centrale chez nous», explique Friederike Jerger. «Il lie tous les requérants d’asile et c’est dans cette langue que communiquent les enfants entre eux.» Le jeu permet d’abattre bien des frontières: à peine la ferme est-elle montée que les enfants commencent à parler allemand, essaient les tracteurs et se recréent un univers familier. La ferme de jeux de Micarna a définitivement trouvé de nouveaux fermiers à Sonnenberg.
La ferme de jeux
La ferme de jeux de Micarna occupe une superficie d’environ trente mètre carrés. Au cours des trois dernières années, elle a fait le bonheur de plus de 40’000 enfants dans une soixantaine de supermarchés Migros de toute la Suisse. Après avoir effectué plus de 20’000 kilomètre en Suisse, elle vivra de nouvelles aventures: la ferme de jeux a été remise officiellement au centre pour requérants d’asile Sonnenberg à Vilters. L’entreprise AST Messebau a pris les coûts de transport à sa charge et assuré le montage de l’aire de jeux, secondée par les requérants du centre Sonnenberg.
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna SA, Mérat & Cie. SA, Favorit Geflügel AG, Rudolf Schär AG et Gabriel Fleury SA ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2015.
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Le groupe Micarna intégrera au 1er janvier 2017 le secteur production / transformation de la société Lüchinger + Schmid AG. Les contrats de travail de l’ensemble des 120 collaborateurs seront repris sous leur forme actuelle.
Lüchinger + Schmid AG, dont le siège se trouve à Kloten, est une entreprise commerciale et de production et le principal commerçant d’oeufs en Suisse. En 2015 l’entreprise a été reprise par la M-Industrie et gérée par Saviva SA. En 2017 suivre des modifi cations structurelles. Les secteurs commerce et production seront séparés. Tandis que le secteur commerce sera intégré à Saviva SA, le groupe Micarna reprendra le secteur production / transformation. En tant que fi liale indépendante, Lüchinger + Schmid AG sera intégrée au groupe Micarna et continuera de perdurer sous l’appellation existante. Tous les collaborateurs seront reconduits dans leur fonction actuelle au sein du groupe Micarna.
En tant que leader suisse dans le domaine de la viande et de la volaille, le groupe Micarna dispose d’une vaste expérience dans la production de denrées alimentaires et la détention des animaux. L’objectif de cette intégration au groupe Micarna est de créer des synergies d’une part, et de permettre un suivi optimal des clients et des producteurs d’autre part. Les responsables de Micarna et de Lüchinger + Schmid AG sont ainsi persuadés d’apporter une plusvalue aux deux entreprises et à leurs partenaires.
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna SA, Mérat & Cie. SA, Favorit Gefl ügel AG, Rudolf Schär AG et Gabriel Fleury SA ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: Stauss Gefl ügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2015.
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Quelque 600 visiteurs ont participé au premier «Mazubi Day» du groupe Micarna samedi à Courtepin. A cette occasion, les apprentis et leurs formateurs ont présenté les diverses professions disponibles à Micarna, leurs exigences ainsi que le nouveau concept de formation «Mazubi Island».
Comment fabrique-t-on une saucisse à rôtir et qu’est-ce qui la différencie d’un saucisson? Que fait un polymécanicien et qu’entend-on exactement par médiamaticien? Voilà un exemple de questions qui se trouvaient au centre du premier «Mazubi Day» à Courtepin, auquel le groupe Micarna avait convié les futurs apprentis, leurs parents et amis. Cette journée portes ouvertes a également permis de présenter le nouveau concept de formation «Mazubi Island» au public.
Aujourd’hui, 130 apprentis suivent une formation dans l’un des 18 métiers proposés sur les sites de Bazenheid (SG) et Courtepin (FR). Avec une telle palette d’apprentissages, il n’est donc pas étonnant que le «Mazubi Day» ait attiré quelque 600 visiteurs à Courtepin samedi. «Nous sommes très satisfaits de cette journée», explique Benoît Berset, responsable du développement du personnel. «C’est la première fois que la formation professionnelle organisait un tel événement et nous ne savions donc pas à quoi nous attendre. L’intérêt des visiteurs et surtout les nombreux échanges que nous avons eus avec les jeunes sont particulièrement réjouissants.»
Personne ne peut prédire qui, parmi ces jeunes, effectuera sa formation à Micarna au cours des années à venir. Mais ce qui est sûr, c’est que «Mazubi Island», le nouveau concept de formation dévoilé par le groupe Micarna à l’occasion de ce premier «Mazubi Day», a rencontré un grand succès. Les sets de cartes présentant les diverses formations, le nouveau Mazubi Game et la visualisation moderne, humoristique et accrocheuse des diverses professions ont été particulièrement appréciés. «Nous sommes très heureux de l’écho positif qu’a rencontré notre concept de formation et nous nous réjouissons d’accueillir de nombreux futurs apprentis», ajoute Benoît Berset. La question de savoir si le «Mazubi Day» sera reconduit à l’avenir et étendu à d’autres sites est encore ouverte. L’intérêt de la population pour le groupe Micarna en général et «Mazubi Island» en particulier souligne cependant l’importance d’une telle manifestation. Au Forum des métiers START!, qui se tiendra à Fribourg du 31 janvier au 5 février 2017, Micarna présentera «Mazubi Island» à un public plus large encore.
Pour de plus amples informations sur la formation professionnelle à Micarna et «Mazubi Island»:
www.mazubi-island.ch
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna SA, Mérat & Cie. SA, Favorit Gefl ügel AG, Rudolf Schär AG et Gabriel Fleury SA ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: Stauss Gefl ügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2015.
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Mission remplie pour Micarna: le record du monde du plus grand nombre de poulets grillés le même jour a été battu lors de la Fête fédérale de lutte et des jeux alpestres.
Il a fait chaud à la Fête fédérale de lutte et des jeux alpestres à Estavayer. Et cela non seulement à cause des températures estivales mais également du Gril Royal Optigal. Les dimensions du plus grand gril du monde sont impressionnantes: 21 mètres de long pour 3 mètres de haut. A l’occasion du plus grand rassemblement sportif et populaire de Suisse, le groupe Micarna s’était fi xé pour objectif d’établir un nouveau record pour le Livre Guinness: griller 1,8 tonne de viande de poulet, soit 5’000 portions, en une journée. Les poulets ont été servis aux 200’000 personnes qui se sont rendues à la «Fédérale».
Ambiance festive
L‘objectif fi xé à 1‘800 kilos de viande blanche était atteint le samedi après-midi déjà. «Ce fut une fête sensationnelle», se réjouit Lukas Aeberhard, responsable de la gestion des événements du groupe Micarna. «Non seulement parce que nous avons dépassé notre objectif, mais également parce que l‘ambiance était des plus positives et que notre Gril Royal a suscité un énorme intérêt.» Les responsables du Livre Guinness des records doivent maintenant confi rmer que le nombre de portions préparées permet de battre le record du monde établi en Russie en 2014. «Mais vu la quantité de viande grillée, nous pouvons partir du principe que c‘est le cas», ajoute Lukas Aeberhard. «Selon nous, la tentative de record du monde s‘est déroulée dans les règles et sans encombre.»
Produits régionaux
Tous les poulets qui ont été servis aux visiteurs de la Fête fédérale de lutte et des jeux alpestres sont de la marque Optigal et proviennent de la région de Fribourg. Les poulets Optigal sont élevés dans des conditions particulièrement respectueuses de l‘espèce, qui dépassent les exigences de la Protection suisse des animaux. Outre davantage d‘espace et des zones de repos avec perchoirs surélevés, ils ont constamment de l‘eau et de la nourriture à disposition et peuvent accéder librement à l‘aire de sortie. De plus, aucun antibiotique ne leur est administré à titre prophylactique. «Il nous tenait particulièrement à coeur d‘établir ce nouveau record du monde avec des produits de qualité, régionaux et respectant les critères du développement durable», souligne Lukas Aeberhard.
Le groupe Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartient au groupe Migros, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin, dans le canton de Fribourg. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Il englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna SA, Mérat & Cie. SA, Favorit Gefl ügel AG, Rudolf Schär AG et Gabriel Fleury SA ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: Stauss Gefl ügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3’000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2015.

La troisième journée du sport Micarna s’est déroulée le 2 juillet 2016 à Chiètres. Plus de 300 participants ont répondu présent, rejoints par des représentants de la direction et de la célèbre équipe Micarna. La journée du sport devait clôturer le projet «Notre voyage vers la Lune», qui s’est étalé sur plusieurs mois.
Le groupe Micarna s’est fixé comme objectif d’atteindre la Lune dans un effort commun. Pour ce faire, l’entreprise a remis gratuitement un podomètre à tous ses collaborateurs et organisé, avec ses clubs de sport, de nombreux événements réunissant collaborateurs et célèbres sportifs nationaux. «Entre mars et juin, nous avons parcouru les 384’000 kilomètres qui séparent Micarna de la Lune», raconte Albert Baumann. Pour le directeur du groupe Micarna, il était primordial que tous les collaborateurs puissent apporter leur pierre à l’édifice. «Il ne s’agit pas de faire du sport à haut niveau, juste de contribuer tous ensemble à atteindre un tel objectif. Je suis très fier de mon équipe et de ce que nous avons accompli ensemble.»
Trucs et astuces de professionnels
Au cours des trois derniers mois, les collaborateurs du groupe Micarna ont parcouru 384’000 kilomètres, soit près de 400 millions de pas. De nombreux événements ont été organisés dans ce but, en plus du quotidien et des activités sportives pratiquées en privé. L’équipe Micarna comptait également des pointures du sport national. C’est ainsi que les collaborateurs de Micarna ont notamment pu faire du vélo avec Jolanda Neff, championne d’Europe de cross-country, ou encore se frayer un chemin à travers la forêt avec Daniel Hubmann, champion du monde de course d’orientation. «Ces événements étaient autant de moments forts pour mes collaborateurs et pour moi-même. Faire du sport ensemble est un plaisir. Et nous ne pouvions que nous réjouir de la présence de grands sportifs dans notre équipe Micarna», explique Albert Baumann.
Une journée du sport dans la bonne humeur
La journée du sport Micarna à Chiètres est venue clôturer ce voyage commun vers la Lune. Samedi dernier, plus de 300 participants se sont retrouvés pour disputer des épreuves de quadrathlon, de biathlon et de course d’orientation, ensemble ou les uns contre les autres. La natation, le VTT, le roller et la course ont été pratiqués en individuel, en équipe ou en famille. Nombreux sont ceux qui ont profité de l’occasion pour se mesurer à la forêt lors de la course d’orientation. Là aussi, «l’important était de participer.» Pour Albert Baumann, qui, en tant que directeur, a accompli tout le quadrathlon, l’enthousiasme des participants était palpable. «C’était fantastique de voir tous ces gens se soutenir mutuellement. Chacun a donné le meilleur de lui-même, en tant qu’athlète individuel ou en tant que membre d’une équipe.»
Des prix superbes pour finir la journée
De fantastiques prix ont été mis en jeu parmi les participants: des jours de vacances supplémentaires, un VTT Stöckli et de nombreux bons d’achat. Et comme pour le voyage vers la Lune, le but n’était pas de battre des records mais de susciter l’enthousiasme des collaborateurs pour le sport. La journée n’a pas été clôturée par l’annonce du classement, mais par une remise de prix. «Il ne s’agissait pas pour nous de savoir qui était le meilleur ou le plus rapide, mais de montrer l’importance et le caractère divertissant du sport. Il n’est pas nécessaire de pratiquer du sport à haut niveau, il est surtout important de faire du sport ensemble, d’être en bonne santé et de s’amuser», explique Albert Baumann. Le directeur ne cache pas sa fierté: «Ensemble, nous sommes allés jusqu’à la Lune. 384’000 kilomètres ont été parcourus! C’est une belle performance de la part de mon équipe.» Cet enthousiasme pour le sport doit perdurer une fois le projet terminé: «Nous continuerons de retrouver nos collaborateurs et nos clubs de sport pour pratiquer des activités sportives et échanger. Cet esprit d’équipe nous caractérise», se réjouit Albert Baumann.
Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, appartenant lui-même à la M-Industrie, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Le groupe englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna SA, Mérat & Cie. SA, Favorit Geflügel AG, Rudolf Schär AG et Gabriel Fleury SA ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production parmi les plus modernes et au respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna élaborent des produits d’excellence. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2015.
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L’association romande de défense des animaux «PEA – Pour l’Egalité animale» a annoncé un rassemblement pour la nuit de jeudi à vendredi (30.06/01.07.2016) aux abords du site de production Micarna à Courtepin. La commune a rejeté la demande d’autorisation de manifestation. Depuis des années, le groupe Micarna s’engage par conviction en faveur de normes élevées en matière de bien-être animal et s’insurge contre les critiques de la PEA qu’il estime être injustifiées.
Avec ce rassemblement devant le site de production du groupe Micarna de Courtepin, l’association romande de défense des animaux PEA entend protester contre les conditions d’élevage et l’abattage des animaux. Dans son courrier, l’organisation rappelle sa position selon laquelle l’alimentation humaine ne légitime pas le fait de tuer des animaux. Le groupe Micarna défend la liberté d’expression, mais il tient aussi à rappeler que, du fait de sa richesse en protéines, la viande joue un rôle important dans une alimentation équilibrée. Les produits carnés suisses rencontrent une grande popularité et la consommation par habitant est en constante augmentation. Les produits d’origine suisse, en particulier, occupent une place privilégiée dans l’alimentation. Cela s’explique, d’une part, par le fait qu’en Suisse, la production de denrées alimentaires répond à des prescriptions extrêmement rigoureuses sur le plan de la fabrication comme sur celui de l’hygiène et que, d’autre part, les directives en matière de protection animale sont particulièrement strictes.
Normes en matière de bien-être animal à la ferme
Consommer de la viande nécessite que des animaux soient abattus. En raison des limites posées à la vie animale dans la production industrielle de denrées alimentaires, il est primordial de veiller à ce que les animaux puissent jouir d’une vie agréable à la ferme et bénéficier de conditions d’élevage respectueuses. C’est exactement ce pour quoi le groupe Micarna s’engage en mettant en oeuvre des normes strictes allant au-delà des prescriptions légales en matière de bien-être animal. La gestion durable des ressources représente un enjeu majeur, notamment en ce qui concerne l’interaction entre agriculture et industrie agro-alimentaire. Dans cette perspective, il existe par exemple des labels tels que TerraSuisse et Optigal. Ces derniers ne se contentent pas d’offrir plus de place dans leurs bâtiments d’élevage mais aussi et surtout des espaces de plein air et des endroits en retrait.
Transformation effectuée par des professionnels
Si les normes en matière de bien-être animal appliquées dans les exploitations agricoles sont d’une grande importance, d’autres aspects tels qu’un transport engendrant le moins de stress possible et une transformation effectuée par des professionnels dans l’abattoir le sont eux aussi. Le groupe Micarna transforme uniquement des animaux qui ont été étourdis et abattus de manière professionnelle, sous la surveillance de collaborateurs de l’Office vétérinaire cantonal. L’ensemble du processus se déroule de manière calme et contrôlée; le facteur de stress pour les animaux est maintenu à un niveau aussi faible que possible. Afin de pouvoir tenir compte des aspects du bien-être animal tout au long de la chaîne de valeur ajoutée, le groupe Micarna emploie, en plus de vétérinaires qualifiés, des experts qui se penchent jour après jour sur la question du bien-être animal dans l’industrie alimentaire.
Le plaisir en toute bonne conscience
Le groupe Micarna élabore des produits de qualité à partir de viande suisse. Grâce à des liens étroits avec ses producteurs, à des normes élevées en matière de bien-être animal et à une gestion durable des ressources, l’entreprise peut proposer ses produits à ses clients en toute bonne conscience. La viande constitue un élément important de notre alimentation. Dans le même temps, les animaux ont le droit de bénéficier d’une vie respectueuse de leur bien-être et d’un traitement digne dans le processus d’étourdissement et d’abattage. Le travail du groupe Micarna dans les domaines de la durabilité et du bien-être animal reflète précisément ces thèmes.
Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, appartenant lui-même à la M-Industrie, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de qualité supérieure. Le groupe Micarna a été fondé en 1958 par Gottlieb Duttweiler à Courtepin. A l’époque, il s’agissait d’une entreprise de transformation de viande de Migros. Le groupe englobe aujourd’hui les entreprises suisses que sont Micarna SA, Mérat & Cie. SA, Favorit Geflügel AG, Rudolf Schär AG et Gabriel Fleury SA ainsi que deux entreprises situées en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production parmi les plus modernes et les normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna atteignent l’excellence. Elles s’engagent systématiquement en faveur de conditions d’élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité complète de chaque produit. Comptant près de 3000 collaborateurs, le groupe Micarna a réalisé un chiffre d’affaires de 1.5 milliard de francs en 2015.
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Le groupe Micarna a présenté pour la première fois «Maflü», son projet destiné aux réfugiés, à l'occasion d'une séance d'information à Courtepin. Cette séance a réuni une trentaine de participants potentiels ainsi que des représentants du canton de Fribourg et des organisations d'utilité publique Caritas et ORS.
Originaires d'Erythrée, de Somalie ou de Syrie, ils ont dû quitter leur pays en raison de la guerre ou pour des motifs économiques. Tous les réfugiés qui ont participé à la séance d'information ont un passé difficile, qui souligne l'importance d'un tel projet d'intégration. Lancé au début de l'année par la direction de Micarna, le projet Maflü a été élaboré au cours des derniers mois en étroite collaboration avec le canton de Fribourg et les organisations d'utilité publique Caritas et ORS. «Pour réussir l'intégration d'immigrants en Suisse, il ne suffit pas d'attendre que la politique règle nos problèmes; il faut proposer nous-mêmes des solutions», explique Albert Baumann, directeur du groupe Micarna.
En collaboration avec des partenaires régionaux
Les partenaires du projet ont participé avec la trentaine de réfugiés, tous admis à titre provisoire, à la séance d'information. Etienne Guerry (canton de Fribourg), Patrick Bussmann (Caritas) et Véronique Ineichen (ORS) ont ainsi saisi la possibilité de visiter les locaux de production de Micarna avec les réfugiés. «Le canton salue l'initiative prise par l'économie. Une intégration réussie des réfugiés profite à tous; dans ce contexte, la formation initiale joue un rôle clé», souligne Etienne Guerry, coordinateur des tâches d'intégration du domaine de l'asile du canton de Fribourg.
Formation professionnelle et linguistique
Le projet Maflü repose sur une formation professionnelle initiale et des mesures destinées à faciliter l'intégration linguistique et sociale dans les communes. La formation initiale consiste en une formation avec attestation fédérale ou un préapprentissage et est destinée à des personnes qui ne connaissent ni la Suisse ni ses langues nationales. Contrairement à un apprentissage classique (niveau de compétences linguistiques B1), un niveau A1/A2 est suffisant pour une formation avec attestation fédérale. L'objectif de Maflü est de former les réfugiés dans plusieurs professions à Micarna et de leur permettre d'obtenir une formation initiale ainsi que des perspectives professionnelles en Suisse.
Une question de volonté
La formation est individualisée et comporte plusieurs paliers. Elle présuppose la participation à un programme d'intégration linguistique et culturel en collaboration avec le canton de Fribourg, Caritas et ORS. Les deux organisations d'utilité publique seront par exemple responsables de la formation linguistique des participants. Cet été déjà, le premier réfugié débutera une formation avec attestation fédérale d'opérateur de machines automatisées à Courtepin. Micarna et le canton de Fribourg poursuivent leur collaboration et des possibilités de formation pour d'autres personnes intéressées seront examinées pour la seconde moitié de l'année. Même si en principe, les dix-huit professions proposées à Micarna sont ouvertes aux réfugiés, les formations dans les domaines de la transformation de la viande, de la technologie des denrées alimentaires, de la technique et de l'intendance sont privilégiées. «L'important est de vouloir vraiment apprendre une profession», déclare Benoit Berset, chef du projet Maflü. «Il est toujours possible d'acquérir le reste.»
Micarna en bref
Les entreprises du groupe Micarna, qui appartiennent à M-Industrie, produisent de la viande, de la volaille et du poisson de première qualité. Fondé en 1958 à Courtepin (FR) par Gottlieb Duttweiler en tant qu'entreprise de transformation de viande de Migros, le groupe Micarna englobe aujourd'hui les entreprises sises en Suisse que sont Micarna SA, Mérat & Cie. SA, Favorit Geflügel AG, Rudolf Schär AG et Gabriel Fleury SA ainsi que deux entreprises dont le siège se situe en Allemagne: Stauss Geflügel GmbH et KM Seafood GmbH. Grâce à des installations de production à la pointe de la modernité et des normes extrêmement strictes en matière d'hygiène, de sécurité alimentaire et de sécurité au travail, les entreprises du groupe Micarna obtiennent un niveau de qualité en tout point remarquable. Elles s'engagent systématiquement en faveur de conditions d'élevage respectueuses des animaux et de transports engendrant le moins de stress possible. De plus, elles garantissent la traçabilité irréprochable de chaque produit. Le groupe Micarna et son l'effectif de quelque 3'000 collaborateurs, dont 122 apprentis, a réalisé un chiffre d'affaires d'1,5 milliard de francs en 2015.
Maflü en bref
Le projet Maflü a été lancé début 2015 par la direction de Micarna, pour laquelle la question des réfugiés n'est pas un phénomène temporaire mais s'inscrira durablement en Suisse. Micarna affirme sa volonté d'assumer sa responsabilité sociale et propose, avec le projet Maflü, un concept d'intégration. L'objectif du projet est de former les réfugiés dans plusieurs professions à Micarna et de leur permettre d'obtenir ainsi une formation initiale ainsi que des perspectives professionnelles en Suisse. Cette formation initiale est comparable à une formation avec attestation fédérale, c'est-à-dire à une formation pratique en entreprise. Les objectifs de la formation sont atteints par paliers et le processus est étroitement encadré par Micarna et les institutions cantonales. La formation dispensée par Micarna présuppose la participation à un programme d'intégration linguistique et culturel en collaboration avec les cantons respectifs. Micarna souhaite proposer un emploi fixe aux réfugiés qui ont suivi une formation initiale. L'objectif poursuivi est double: d'une part, le projet permet de favoriser l'intégration sociale et économique des personnes concernées et de leur offrir des perspectives professionnelles; d'autre part, il offre à Micarna la possibilité de pallier le manque de main-d'oeuvre qualifiée dans la branche. Les premiers réfugiés débuteront leur formation sur le site Micarna de Courtepin cet été déjà; quant à Bazenheid (canton de St-Gall), les premiers entretiens sont menés avec les organes concernés.
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23.03.2016: Un engagement commun pour des jeunes actifs – Micarna SA remet un chèque de 3'500 francs
Micarna SA a remis un chèque de 3'500 francs aux responsables du projet «Midnight Games Courtepin».Ce montant, récolté lors de la fête du personnel, dois permettre de soutenir financièrement des loisirs actifs et ludiques.
Promouvoir, former et accompagner les jeunes sur leur chemin vers l'âge adulte: aussi bien Micarna SA que «Midnight Games Courtepin» accordent une grande importance au bien-être et au développement harmonieux des jeunes. Il n'est donc pas étonnant que les responsables de Micarna SA, dont le siège se situe à Courtepin, aient décidé d'octroyer la recette de la fête du personnel de cette année au projet «Midnight Games Courtepin», dont l'objectif consiste à faire bouger les jeunes.
Des collaborateurs en faveur d'un projet régional
Le projet propose aux jeunes une autre façon de concevoir leurs loisirs du samedi soir. En effet, le sport est un moyen de prévention de la violence et de la toxicomanie ainsi que de promotion de la santé et de l'intégration sociale. Or de nombreux collaborateurs de Micarna SA habitent à Courtepin et beaucoup ont des enfants qui profitent régulièrement de l'offre du projet «Midnight Games Courtepin». «Que ce soit des apprentis qui ont proposé d'octroyer la recette de la fête du personnel de cette année à un projet de prévention en faveur de la jeunesse me fait particulièrement plaisir», déclare Roula Gaytanidis, responsable du projet «Midnight Games Courtepin».
Des apprentis en bonne santé
«Les jeunes de la région doivent savoir que Micarna SA s'intéresse à eux et met tout en oeuvre pour que ses apprentis soient en bonne santé et cherchent constamment à élargir leurs connaissances», souligne Alain Tinguely, responsable RH Ouest. Les responsables de Micarna SA, en accord avec les représentants de la commission du personnel, ont donc décidé d'octroyer la recette de la fête du personnel au projet «Midnight Games Courtepin». Un chèque d'un montant de 3'500 francs a ainsi été remis à Roula Gaytanidis et Ronny Scullionaux, responsables du projet, ainsi qu'à Julia Nusslé Jaton, responsable de Suisse Romande IdéeSport, à l'occasion d'un petit apéritif. «Il s'agit là d'un beau geste, qui récompense notre projet et tous ceux qui s'engagent pour son succès», souligne Roula Gaytanidis.
Micarna SA en bref
Depuis plus d'un demi-siècle, Micarna SA est la principale entreprise de production de viande, de volaille et de poisson en Suisse. En sa qualité d'entreprise de M-Industrie, elle contribue grandement au succès du groupe Migros. Plus de deux millions de consommateurs, en Suisse et en Europe, savourent quotidiennement les produits haut de gamme et d'une qualité irréprochable de Micarna SA. Soumise en comparaison internationale à des directives très sévères en matière de protection des animaux et de l'environnement, l'agriculture suisse assure une production respectueuse de l'environnement et socialement acceptable. Micarna SA entretient par conviction des liens étroits avec l'agriculture du pays et s'engage en faveur de la viande suisse et de sa plus-value. Près de 70% de tous les animaux transformés à Micarna SA sont labellisés (TerraSuisse ou Bio, par exemple) et élevés selon des directives qui vont au-delà des exigences de la législation suisse sur le bien-être animal. Avec plus de 4'800 articles et solutions globales pour des groupes de clients spécifiques en Suisse et à l'étranger, Micarna SA est la principale entreprise de production de viande en Suisse en termes de ventes.
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